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J’ai adoré vivre à bord, dans l’univers clos de sa coque, au milieu d’un espace sans limites. Sur son pont, j’ai vécu des moments de recueillement face à un océan gigantesque, et j’ai compris que ma place d’homme était insignifiante dans ce monde, et que seule une vie en harmonie avec la nature et le vivant pouvait avoir un sens.
Maxime se précipite sur la carte, à son tour, je le rejoins et nous découvrons ce qui a déclenché la colère du capitaine. « Fishing prohibited, coral reefs », un rectangle entouré de pointillés sur la carte marine avec cette inscription au milieu.
Nous avons retrouvé le poisson dans une zone grande comme un
département français mais interdite à la pêche.
Tu sais, Fred, on n’attend que ça de rentrer. Moi je compte les jours. Et curieusement, le jour où on rentre, le moment où l’on monte dans la voiture avec sa femme, après deux mois de mer, on ne sait plus quoi se dire. Pourtant, on devrait avoir des milliers de choses à se raconter. Eh bien non, on ne se parle pas. C’est presque comme si on était gênés de se revoir. Les mois sans l’autre sont perdus. On ne les rattrape jamais.
Là-haut sur le portique, l’aigle des mers nous observe. Il se sait hors d’atteinte, il est venu en pirate reconstituer ses réserves de graisses. Quand il sera prêt, il repartira cap à terre ou à la recherche d’un autre perchoir.
Alors apprenez, consommateurs de surimis, que derrière vos
bâtonnets se tient au milieu de l’océan un bal tragique, où des oiseaux, des marins, des mécaniciens et un capitaine jouent leur survie face aux forces liquides d’une planète restée sauvage.
Now I think it’s one of the most useless questions an adult can ask a child—"What do you want to be when you grow up?" As if growing up is finite. As if at some point you become something and that’s the end.
But it was the same thing affecting all the girls. It was radium, heading straight for their bones—yet, on its way, seeming to decide, almost on a whim, where to settle in the greatest degree. And so some women felt the pain first in their feet; in others, it was in their jaw; in others still their spine. It had totally foxed their doctors. But it was the same cause in all of them. In all of them, it was the radium.
The world will fracture, splinter in two,
One made of gray, the other of blue,
Beasts will emerge, filled with fury and scorn,
Fighting to recover what from their claws we have torn.
"Do you want to know what I think? The Truth?"
"Yes." He gazed unabashedly into my eyes. "Make it scandalous too. This is bit too serious for my tastes."
You've stared fear in its nasty face and made it tremble. You will make it through this, Wasdworth. We will make it through this. That is a fact more tangible than any dream or nightmare. I promised I'd never lie to you. I intend to honor my word.
I needed to be something they would love. And so when I got out of bed, I left behind anything I wanted and slipped into sweetness as softly as I slipped into my warm socks.
Perhaps that was why Victor was so desperate to imitate life with his own twisted version. He had never been able to feel things as deeply as he should; he had been raised in a home where everything was pretense and no one spoke the truth. Not even me. I had accused Victor of creating a monster, but I had done the same.
All our rituals as humans seemed to revolve around birth and death—marriage being the exception, though my wedding had been a ritual intimately connected to death, given my choice of partner.
Elizabeth,” he said, his tone firm and chiding. He lifted my chin and fixed my eyes with his. “You are mine. You have been since the first day we met. You will be mine forever. My absence should not have caused you to doubt the firmness and steadfastness of my attachment to you. It will never fade.
"Someday death will claim you. And I will not allow it." His eyes narrowed, and his voice trembled with fury and determination. "You are mine, Elizabeth Lavenza, and nothing will take you from me. Not even death."
Le réveil, après tout, s'apparentait presque à une naissance. On venait au monde sans passé, puis on reconstituait son histoire personnelle entre deux clignements d'yeux et trois bâillements, on remettait les morceaux dans l'ordre chronologique pour trouver la force d'affronter le présent.