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Commentaires de livres faits par seve61300

Extraits de livres par seve61300

Commentaires de livres appréciés par seve61300

Extraits de livres appréciés par seve61300

Un leader charismatique dont la voix, identifiable à la première écoute, vous décolle de grands lambeaux de peau pour vous toucher au plus profond. Capable de générer attirance et répulsion en l’espace d’une même seconde. Qu’on rêve d’embrasser, puis de gifler dans la foulée.
– C’est bien résumé.
– Une guitariste surdouée, au physique de panthère noire. Un bassiste haut sur patte, moche mais déjanté, paré à rendre sulfureuses les tournées futures. Un batteur fragile et mystérieux, qui plus est frère cadet du chanteur.
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La prostituée avait raccroché son téléphone. Elle se tenait maintenant bras croisés, en me dévisageant consternée. – Monsieur Leveneur, dit Jan en prenant l’air offusqué. Un peu de tenue voyons… Votre membre indispose les dames.
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Lille fut à la hauteur, la quitter nous pinçait le cœur. Pourquoi s’appesantir, nous quitterions une autre ville le lendemain pour une troisième, puis pour encore une autre. Remettre l’ouvrage sur le métier. Le nom des lieux n’avait plus vraiment d’importance. Il m’arrivait même de ne découvrir où nous jouions qu’une fois sur scène, en lisant la setlist que mon factotum avait gaffée au sol pendant la balance.
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Le tourbus m’attendait devant l’hôtel, au point mort. Un Van Hool à étage, laqué noir et chromes fraîchement lustrés. Le modèle seize couchettes avec le fameux salon en rotonde. Équipé wifi, écran large, console et DVD. À l’intérieur, nous étions comme des gosses au matin de Noël les premiers temps. Avec l’habitude, le bus était devenu à nos yeux aussi morne et banal qu’un studio HLM.
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Entre les arabesques de la calligraphie, je me dévisageai dans le miroir. Ma groupie avait laissé un souvenir.

QUE TON PROCHAIN SOMMEIL
À CENT LIEUES DE MA VILLE
S’ALLUME DE VERMEIL
DESSOUS MES LÈVRES VILES

Pendant un court instant, je trouvai la vie belle.
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Recouvrer la mémoire. Comme souvent, l’enjeu n’était plus de savoir ce que j’avais fait, mais de reconstituer celui que j’étais. La soirée de la veille comportait des zones d’ombre, mais à première vue j’y avais survécu en un seul morceau.
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page 84:

- Vous pouvez me donner la position et la distance de l'endroit où vous m'avez trouve?
- La position et la distance?
Eclatant de rire, elle s'assit près de la rive d'un torrent.
- Si je vous dis c'est par là, ça vous va?
Elle pointa le doigt en direction du sud-est.
- Quinze kilomètres à vol d'oiseau, le double par la piste.
Il se laissa tomber à côté d'elle. Son parfum était aussi frais que celui des fleurs sauvages, et bien plus troublant.
- Je croyais que vous étiez une scientifique.
- Cela ne veut pas dire que je peux vous fournir une latitude et une longitude. Interrogez-moi sur les Papous de Nouvelle-Guinée et je vous en mettrai plein la vue.
- Quinze kilomètres...
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- Non! hurla Finn derrière elle. Ne fais pas ça!
Mais elle refusa de l'écouter. Elle avait fait son choix.
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Suite du 1er extrait, mais qui en révèle un plus sur l'histoire ( page 124):

Elle bondit dans la cage de verre, si brusquement qu'elle heurta le mur du fond. La porte se referma instantanément derrière elle, obligeant Koskay à reculer. Derrière lui, Finn, à genoux, la bouche grande ouverte sur un cri qu'elle ne pouvait entendre, dardait sur elle des yeux horrifiés.
Le temps semblait s'être arrêté, et elle lui adressa un sourire.
Je t'aime, prononça-t-elle silencieusement, espérant qu'il pouvait lire sur ses lèvres. C'est toi que j'aime.
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- Dean, je donnerais tous les sous que je gagnerai jusqu'à mon dernier jour, si ça pouvait garantir ta sécurité.
Avec ça, vous pouvez vous acheter à manger, de l'eau, de l'essence. Dieu sait quoi vous aurez besoin !
- Je m'en veux, ai-je répété pour la centième fois.
- Tâche d'arriver sain et sauf. Ou bien je ne te le pardonnerai jamais. Je suis sérieux : si tu meurs en route, ou si tu ne te pointes pas à la ferme, je passerai le reste de mes jours à expliquer à tout le monde que mon grand frère était un connard.
Il jouait les durs, il dissimulait sa douleur, et moi je commençais à me détester sérieusement.
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La Josie qui prenait soin de tout le monde? Cette fille-là est morte.
Elle s'est fait tuer dans un bosquet de trembles en bordure de l'autoroute, quelque part entre Monument et Denver.
Elle s'est fait tuer en même temps qu'un soldat détraqué.
(Je l'ai tuée quand j'ai tué le soldat.)
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- Tante Pam! On est là! cria Faye en ouvrant la porte en bois du magasin, suivie de Liz.
Personne ne lui répondit mais Pamela McCarron surgit de l'arrière-boutique pendant que les jeunes filles tapaient des pieds sur le paillasson pour se débarrasser de la neige. Une écharpe aux motifs africains retenait sa chevelure rousse, et malgré le froid qui régnait dehors, elle était vêtue comme à son ordinaire d'une longue jupe et d'un tee-shirt.
- Ce n'est pas la peine de crier, dit calmement tante Pam. Tu vis ici depuis assez longtemps pour savoir que je ne suis jamais bien loin, non?
Faye vient l'embrasser sur la joue.
- Désolée. Des nouvelles de papa?
Tante Pam pencha la tête et serra le bras de la jeune fille.
- Pas encore. Essaie de ne pas t'inquiéter.
Faye acquiesça, mais son estomac se noua. C'était la première fois que son père restait silencieux aussi longtemps.
- Je sais que c'est dur, mais tu sais bien comment il est. Il va réapparaître dans un jour ou deux, affirma tante Pam avec tendresse. Pour l'instant, il y a des biscuits au gingembre pour vous dans la cuisine. Dites-moi quels livres vous manquent pour faire vos devoirs, et j'essaierai de vous les trouver.
Liz sauta au de Pam.
- Est-ce que ça existe, un livre qui explique comment faire pour que le garçon de vos rêves tombe amoureux de vous?
- Mais de quoi parles-tu?
- Ne l'écoute pas, soupira Faye. Elle n'a pas arrêté de parler du nouveau depuis qu'elle l'a vu ce matin.
- Oh? s'enquit tante Pam. Quel nouveau?
-Lucas Morrow. Il est formidable, tante Pam, vraiment, commença Liz, tout excitée. Il est beau, intelligent, drôle...
- Et agaçant, ajouta Faye.
Liz leva les yeux au ciel.
- Faye ne l'aime pas.
- Ce n'est pas que je l'aime pas. Je ne le connais pas, et franchement, je n'ai pas envie de le connaitre.
- Faye ne sois pas comme ça. Il vient juste d'arriver en ville. Tu devrais être un peu plus accueillante.
- Il m'a surnommé Flash! protesta Faye. C'est vraiment énervant, et Liz le fait aussi maintenant. Si ces deux-là continuent, tout le lycée va se mettre à m'appeler Flash. J'aurais bien voulu ne jamais le rencontrer!
Faye vit que sa tante Pam avait du mal à garder son sérieux.
- Flash? Ecoute, en réalité, c'est plutôt...
- Ne commence pas, s'il te plaît, protesta Faye.
- Si c'est le pire surnom qui lui soit venu à l'esprit, je pense que tu peux lui accorder le bénéfice du doute, déclara tante Pam en riant.
- Est-ce que je t'ai dit qu'il était vraiment sublime, tante Pam? ajouta Liz. Ses cheveux sont magnifiques et...
- Arg! gémit Faye, les mains sur les oreilles. Pitié, arrête avec ce nouveau garçon si merveilleux. Est-ce qu'on pourrait changer de sujet au moins pendant une demi-heure? S'il te plaît?
- Oh, c'est d'accord, soupira Liz. Allez, viens, j'ai envie d'un biscuit...
Une pétarade de puissants moteurs lui coupa la parole et brisa soudain le silence paisible qui régnait dans le quartier, au-dehors.
- Mais qu'est-ce qui se passe? s'étonna Faye.
Elle alla ouvrir la porte, suivit de Liz et de sa tante, et toutes trois regardèrent dans la rue enneigée.
six énormes motos noires descendaient lentement la rue en vrombissant, faisant voler la neige sur leur passage.
Elles roulaient en formation, un large V qui prenait toute la chaussée, ne laissant de place pour aucunes voiture. Les conducteurs, tous vêtus de cuir noir, dissimulaient leur regard sous des lunettes aux verres fumés. Une barbe poivre et sel ornait le visage du chef de la bande, et le vent de la course soulevait derrière lui une longue chevelure grise et négligée.
Dans la rue, les habitants de Winter Mill sortaient de chez eux, alertés par le rugissement des puissant deux-roues.
- Waouh! Quel vacarme§ s'exclama Faye, haussant la voix pour être entendue de Liz et Pam.
- C'est qui? cria Liz en retour. Je n'en reconnais aucun!
Tante Pam regardait attentivement les motos.
- Ça fait déjà quelques jours qu'ils sont dans le coin, répondit-elle, mais c'est la première fois qu'ils descendent en ville tous ensemble. Je crois que c'est leur façon de se présenter. Mais à mon avis, ils ne vont pas vraiment être les bienvenus ici.
La bande arrivait à hauteur de la librairie; Faye était fascinée. Elle n'avait jamais vu de vrais bikers auparavant. Elle se précipita pour attraper son appareil, avide de prendre une photo: ça ferait un super-article pour La Gazette de Winter Mill. A travers l'objectif, elle se rendit compte que l'un des motards la regardait. Il était plus jeune que les autres, et elle se dit qu'il devait avoir à peu près son âge. Sous son casque, on devinait ses cheveux bruns, coupés à ras, et les lunettes empêchaient de bien voir ses yeux. Néanmoins, quelque chose retint l'attention de Faye, qui baissa son appareil pour le regarder passer.
- Je crois que c'est celui qui est venu à la boutique il y a deux jours, déclara tante Pam, tout contre l'oreille de Faye. Il n'avait rien d'effrayant à ce moment-là.
Faye regarda sa tante.
- Tu ne m'en as pas parlé!
Tante Pam haussa les épaules.
- Ça m'était sorti de la tête.
- Regarde mon père est là avec la voiture de patrouille!
s'exclama Liz.
L'imposant sergent Wilson, qui dirigeait les forces de police de Winter Mill, roulait dans le sillage des motards. Il se gara avant de dépasser la librairie et sortit de son véhicule en retenant fermement son chapeau d'une main.
- Mitch, l'interpella Pam, on dirait que la ville compte de nouveaux habitant.
Le sergent Wilson hocha la tête, sourcils froncés.
- Ça ne me plaît pas beaucoup, si vous voulez mon avis.
- Peut-être viennent-ils nous annoncer leur départ?
Il secoua la tête.
- Ca m'étonnerait leur campement est toujours installé dans les bois. Je peux entrer, Pam?
-Bien sûr. Rien de grave, j'espère?
Le visage du segent Wilson avait une expression sérieuse.
- Je ne sais pas encore. Je dois parler aux filles.
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date : 24-04-2014
Nous avions à peine fait deux pas quand elle sourit gaiement et s'exclama:
- Grant. Salut. Qu'est-ce que tu en as pensé?
Le regard de Grant alla de l'une à l'autre avant de se poser sur moi.
- C'était un divertissement bon esprit, offrit-il, pince-sans-rire.
Bridgette lui fit un sourire tiède.
- Malin.
Grant se retourna vers moi.
- Est-ce que te faire rire est dans le spectre des possibles?
J'essayai d'avoir l'air sceptique.
- Peut-être, si tu continues à essayer.
Bridgette se détacha de mon bras.
- Je vous laisse tous les deux.
Elle hocha la tête discrètement pour m'encourager, comme pour indiquer qu'Aurora serait ravie de parler Grant.
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date : 16-04-2014
- Oh non, j'y crois pas !
Dès que j'ai ouvert la fermeture éclair de mon sac de sport noir, j'ai compris qu'il y avait un problème. Ces fringues, bien rangées sur deux piles, n'étaient pas les miennes. Mais alors, pas du tout.
Des tee-shirts aux couleurs vives (taille S). Des jeans repassés (Il y a encore des gens qui repassent leur jeans?)Une paire de tongs. Des sandales à talons. Une jupe. Une espèces de tunique style gitan. Des slips et des soutiens-gorge à fleurs.
- Oh, non, j'y crois pas ! ai-je grommelé, plus fort, cette fois.
- Qu'est-ce qui t'arrive? Drapé dans le peignoir en éponge de l'hôtel, mon père sortait de la salle de bains en s'essorant les cheveux.
- C'est pas mes fringues.
- Comment ça?
- Ce sac, c'est pas mon sac. J'ai dû prendre celui de quelqu'un d'autre, à l'aéroport.
- Oh, bon Dieu, Webb !
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date : 08-04-2014
Il ne dit plus un mot avant d'avoir allumé sa clope et pris une longue bouffée. La moitié de la clope se transforme en cendres.
- Il a fait venir spécialement pour moi un médecin qui me trouvait tout ce dont j'avais besoin, tout ce dont Grohman pensait que j'avais besoin. Mais il fallait que je monte sur scène, c'était impératif. Si j'étais malade, si j'avais une fracture, il me bourrait d'anti-douleurs. Je n'avait pas le choix.
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