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— Tout cela est vraiment très attendrissant, mais je suis venu pour faire de la musique, intervint Mal.
— Alors tu vas devoir patienter, rétorqua David. Ev et moi avons des projets pour ce matin.
— Ça fait deux ans que j’attends que tu nous pondes quelque chose !
— Pauvre chéri. Tu peux bien attendre quelques heures de plus.
David me prit par la main et m’entraîna vers l’escalier. L’excitation m’envahit. Il m’avait choisie, moi, et c’était un sentiment merveilleux.
— Ev, je suis désolé de t’avoir embrassée de force, déclara Mal, accroupi à côté d’un des cartons.
— Tu es pardonné, répondis-je, magnanime, alors que nous arrivions en haut des marches.
— Tu vas t’excuser de m’avoir mordu ?
— Nan.
— Ce n’est pas très gentil.
David ricana sous cape.
Afficher en entier"J'allais le tuer. Lentement. L'étrangler avec le string hors de prix. Une mort digne d'une rock star."
Afficher en entier"Me tortillant de mon siège, je retirai le monstre de la poche de mon jean avant de l'essuyer. Le diamant brilla d'un air accusateur dans la lumière aveuglante.
A coté de moi, Lauren se mit à s'agiter. Un rire étouffé s'échappa de ses lèvres.
-Elle est énoooorme!
-Je sais.
-Non, mais sérieusement!
-Je sais.
Merde. Je crois que je vais me faire pipi dessus."
Afficher en entier« — Dommage. (Elle eut un large sourire.) En tout cas, félicitations. Tu es mariée à une rock star.
Je rempochai la bague.
— Merci. Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire ?
— J’en sais rien du tout, répondit-elle, puis elle secoua la tête en me regardant, des étoiles dans les yeux. Tu as dépassé toutes mes espérances. Je voulais que tu te lâches un peu. Que tu t’amuses et que tu donnes une deuxième chance à la gent masculine. Mais là, tu as atteint un niveau de folie inédit. Tu as vraiment un tatouage ?
— Oui.
— Avec son prénom ?
Je hochai la tête en soupirant.
— Et on peut savoir où ?
Je fermai les yeux.
— Sur la fesse gauche.
Lauren ne put se contenir plus longtemps. Elle explosa si fort de rire que les larmes se mirent à couler sur son visage.
Génial… »
Afficher en entier- Tu as vraiment un tatouage?
- Oui.
- Avec son prénom?
Je hochais la tête en soupirant.
- Et on peut savoir où?
Je fermais les yeux.
- Sur la fesse gauche.
Lauren ne put se contenir plus longtemps.
Elle explosa si fort de rire que les larmes se mirent à couler sur son visage.
Génial...
Afficher en entierJe me rapprochai, recherchant la chaleur de son corps. Il passa un bras par-dessus ma taille, m’attirant à lui. Me faisant savoir que j’étais désirée.
Afficher en entierDavid me regarda, un sourire approbateur sur le visage. On aurait presque dit un petit garçon qui essaierait de contenir son excitation. Comme si je venais de lui annoncer que son anniversaire était avancé. Qui que soient ces gens, ils étaient importants pour lui.
J’avais l’impression que je venais de réussir à un test.
Afficher en entier— Je suis étonnée que tu sois resté avec moi.
Abasourdie était plus proche de la vérité.
— Pourquoi ça ? Tu m’as traité comme un être humain. On a parlé de tout et de rien. Tu n’avais pas d’idées derrière la tête. Tu ne t’es pas comportée comme si j’appartenais à une autre espèce. Lorsque tu me regardais, j’avais l’impression…
— L’impression que quoi ?
Il s’éclaircit la gorge.
— Je ne sais pas. Ça n’a pas d’importance.
— Si.
Il poussa un petit grognement.
— S’il te plaît ?
— Putain, grommela-t-il en se tortillant dans le siège conducteur, visiblement mal à l’aise. J’avais l’impression que c’était réel. Comme… une évidence. Je ne sais pas comment l’expliquer autrement.
Afficher en entierMal ricana de nouveau.
— Tu es impressionnée que j’aie rencontré Miranda Lambert mais tu ne savais même pas qui j’étais il y a quelques heures. Franchement, ma p’tite dame, vous êtes dure pour mon ego.
— J’ai vu les disques d’or et de platine alignés dans l’entrée, mon pote. Je pense que tu vas t’en remettre.
Afficher en entier— Je le savais ! Je savais que tu allais nous pondre un truc comme ça, David, dit Mal en secouant la tête. Vous, les guitaristes, vous n’êtes qu’une bande de frimeurs. Si tu avais ne serait-ce qu’un peu de jugeote, jeune fille, tu aurais épousé un batteur.
Je ris et essuyai les larmes sur mes joues.
— Pourquoi est-ce qu’elle pleure ? Qu’est-ce que tu lui as dit ?
David resserra son étreinte. Dehors, les gens tambourinaient aux vitres tandis que la voiture démarrait lentement.
— Tu vas bien ?
— Je n’ai dit que la vérité, qu’elle aurait dû épouser un batteur, renchérit Mal. Putains de concerts improvisés !
— Ferme-la un peu.
— Comme si tu n’avais jamais sorti le grand jeu pour impressionner une nana, rétorqua Ben.
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