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Résumé
Immer noch Sturm, publié en allemand en 2010, s’inscrit dans la continuité des grands récits au souffle épique – à la John Ford – écrits par Handke ces dernières années. Mais, comme l’écrit un critique de l’influent Neue Zurcher Zeitung, ce texte peut aussi apparaître « comme la fin d’une ligne qui passe par son précédent coup de génie, Le Malheur indifférent, et son meilleur roman à ce jour, Le Recommencement ».
Ce texte, d’une exceptionnelle qualité littéraire à laquelle rend justice la traduction d’Olivier Le Lay, est construit comme une succession de monologues alternés où interviennent sept personnages : le narrateur (« moi ») qui se présente comme un vieil écrivain, auquel Handke prête de nombreux traits de sa propre biographie, la mère, les grands-parents maternels, les trois frères et la sœur de la mère.
Le narrateur va à la rencontre des personnages qui surgissent du passé et racontent leur histoire, depuis 1936, chaque voix conservant sa singularité. Récit d’une tragédie familiale – deux des trois oncles maternels sont morts pendant la guerre – c’est aussi l’épopée d’un peuple, le peuple slovène, emblématique des éternels perdants de l’Histoire, de sa résistance à l’occupation nazie et à la germanisation, et une nouvelle réflexion de l’auteur sur ses origines et sa propre biographie.
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