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Sa main libre se plaça délicatement sur mon cou. Je ne bronchai pas. La froideur de ses doigts me fit vibrer, comme si la nature exigeait que j'eusse peur.
Afficher en entier"-Tu devrais arrêter de faire ça aux gens, reprochai-je à Edward. Ce n'est pas du jeu.
- Faire quoi?
- Les éblouir ainsi. A l'heure qu'il est, elle est en train de suffoquer dans les cuisines.
Il eut l'air ébahi.
- Oh s'il te plait, m'énervai-je. Tu es quand même conscient de l'effet que tu produis !
- J'éblouis les gens, moi? reprit-il, tête penchée sur le coté, le regard curieux.
- Tu n'as pas remarqué? Tu crois donc que tout le monde obtient ce qu'il veut aussi facilement que toi?
- Est-ce que je t'éblouis? demanda-t-il en ignorant ma question.
- Fréquemment."
Afficher en entier- Isabella...
Il prononça mon nom en entier, soigneusement, puis m’ébouriffa gentiment les cheveux de sa main libre. Un frisson secoua mon corps.
- ... Bella, je ne me supporterais plus si je le faisais. Tu ne devines pas à quel point cela m’a torturé. (Il baissa la tête, de nouveau honteux.) T’imaginer immobile, blanche, froide... ne plus jamais te revoir rougir, ne plus jamais revoir cet éclat d’intuition allumer tes yeux quand tu pressens mes mensonges... ce serait intolérable. Tu es désormais l’élément le plus important de ma vie. De toute ma vie.
Afficher en entier- C’est parti !
- Ouais... Tu sais tout le monde nous regarde.
- Pas lui en tout cas ! Ah ça y est il nous regarde. De toute façon j’ai brisé toute les règles, quitte à finir en enfer.
Twilight - Chapitre 1 : fascination, Edward et Bella.
Afficher en entierJe n'étais sûr que de trois choses:
un, Edward était un vampire deux, une partie de lui, et j'ignorais encore sa taille, voulait s'abreuver de mon sang.
trois, j'étais incontestablement et irrévocablement amoureuse de lui
Afficher en entierTout à coup, le plus jeune d'entre eux, un des Cullen, plongea ses yeux dans les miens. Son expession était, cette fois, celle d'une franche curiosité. Je me dérobai vivement, mais pas avant d'avoir décelé en lui une sorte d'espérance à laquelle je n'avais pas de réponse.
-Qui c'est, ce garçon aux cheveux blond-roux ? m'enquis-je.
Mine de rien, je constatai qu'il poursuivait son examen de moi.Contrairement aux autres élèves, il ne se montrait pas indiscret au point d'être impoli.En revanche, ses traits étaient empreints d'une sorte de frustration que je ne compris pas. Je baissai la tête.
-Edward. Il est superbe, mais inutile de perdre ton temps. Apparament, aucune des filles d'ici n'est assez bien pour lui.
Jessica renifla avec une telle rancoeur que je me demandai quand il avait refusé ses avances. Je me mordis les lèvres pour cacher mon sourire avant de m'interesser de nouveau à eux. Edward avait beau s'être détourné, il me sembla que sa joue tressaillait, comme si lui aussi avait étouffé un rire.
Afficher en entier- C’est donc ce à quoi tu rêves ? Devenir un monstre ?
- Pas tout à fait, mon rêve c’est surtout d’être avec toi pour l’éternité.
Afficher en entier- Qui sont ces gens ? demandai-je à ma voisine, dont le nom m'échappait toujours.
Au moment où elle se redressait pour voir de qui je parlais, bien qu'elle l'eût sûremement deviné rien qu'à mon ton, il leva brusquement la tête - le plus mince, le gamin, le benjamin sans doute. Il s'attarda moins d'une seconde sur ma collègue d'espagnol, avant de m'aviser.
...
-Edward et Emmett Cullen, Rosalie et Jasper Hale, récita-t-elle. Celle qui est partie, c'est Alice Cullen. Ils vivent avec le docteur Cullen et sa femme.
Tout cela dans un souffle.
Je jetai un coup d'oeil à la dérobée en direction de l'Apollon qui, maintenant, s'intéressait à son plateau, réduisant en charpie un beignet avec ses longs doigts pâles. A peine entrouverte, sa bouche admirable remuait à toute vitesse.
Afficher en entier- A ton avis, pourquoi est-ce que tu ne m'entends pas, moi ?
- Je n'en sais rien, avoua-t-il en me lançant un regard énigmatique. J'imagine que ton eesprit ne fonctionne pas de la même manière que celui des autres. Disons que tu émettrais sur des ondes courtes alors que je serais branché sur les grandes.
Cette comparaison me fit sourire. Je m'insurgeai.
- Mon esprit est détraqué, c'est ça ? Je suis dingue ?
J'étais plus embêtée que de raison, sans doute parce qu'il avait touché un point sensible. J'avais toujours soupçonné ma différence, et j'étais gênée qu'il la confirmât.
- C'est moi qui décrypte les cerveaux ds autres, et c'est toi qui te crois folle ! s'esclaffa Edward. Ne t'inquiète pas, il s'agit juste d'une théorie... Ce qui nous ramène à toi, ajouta-t-il en se fermant soudain.
Je poussai un soupir. Par où commencer ?
- Franchise, franchise, chantonna-t-il.
Afficher en entier- C’est ça que tu veux ?
- C’est toi que je veux, pour toujours.
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