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- Et le lion s'éprit de l'agneau....
- Quel imbécile cet agneau!
- Quel fou ce lion..... quel masochiste!
Afficher en entierSi je savais rêver, je ne rêverais que de toi. Et je n'en aurais pas honte.
Sa bouche se tordit en ce sourire en coin si craquant, et mon coeur eut un raté.
Afficher en entier- Je t'agace? demanda-t-il, l'air soudain amusé.
Sans réfléchir, je lui jetais un coup d'oeil... et lui avouais une fois de plus la vérité.
- Pas vraiment, maugréais-je. Je m'agace moi-même. Je suis tellement transparente! Ma mère m'appelle son livre ouvert.
- Je ne suis pas d'accord. Je te trouve au contraire très difficile à déchiffrer.
Afficher en entierJessica m'attendait sous l'auvent de la cafétéria, les yeux exorbités. sur le bras elle avait mon coupe vent.
_ Salut Jess! Merci d'y avoir songé.
Elle me tendit mon vêtement sans mot dire.
_ Bonjour, Jessica, salua Edward poliment.
Après tout ce n'est pas vraiment sa faute si sa voix était aussi irrésistible. Ou ses yeux capables de vous éblouir ainsi.
_ Euh... salut, balbutia mon amie en se focalisant vers moi pour tenter de rassembler ses idées. Je te vois en math ajouta-t-elle avec un regard lourd de sens. Je retins un soupir, que diable allais-je lui raconter?
_ C'est ça, à plus.
Elle s'éloigna, non sans nous lancer, par deux fois, des coups d'oeils inquisiteurs par dessus son épaule.
_ Qu'est-ce que tu vas lui dire? murmura Edward.
_ Hé! Je croyais que tu n'arrivais pas à lire dans mes pensées.
_ Ce n'est pas le cas, se défendit-il, étonné par cette attaque. Mais je décrypte les siennes, et je peux t'affirmer qu'elle a l'intention de te cuisiner.
Gémissant, j'ôtai sa veste et la lui rendis pour la remplacer par mon coupe vent.
_ Alors répéta-t-il, que va tu lui dire?
_ Donne moi donc un coup de main. Qu'attend-elle de moi?
_ Ce ne serait pas du jeu objecta-t-il en secouant la tête, un sourire malicieux aux lèvres.
_ Parce que refuser de partager ce que tu sais, c'est du jeu?
Il y réfléchit tout en m'accompagnant jusqu'à mon premier cours.
_ Elle désire apprendre si nous sortons secrètement ensemble. ET ce que tu ressens pour moi.
Je décidai de jouer les gourdes.
_Zut! Comment pourrais-je qualifier notre relation?
_ Voyons...médita Edward en remettant une de mes mèches folles (je frôlai la crise cardiaque).J'imagine que tu pourrais répondre par l'affirmative à sa première question... si ca ne te dérange pas, naturellement. Ce sera plus facile que toute autre explication.
_ Ca ne me dérange pas du tout, chuchotai-je.
_ Quand à la deuxième... eh bien, disons que je t'acherai de l'écouter pour en connaître la teneur.
Un coin de sa bouche s'étira pour former ce sourire tordu que j'aimais tant. Le souffle coupé, je ne sus que rétorquer à cette dernière perfidie. Tournant les talons, il me laissa en plan.
Afficher en entierEdward,
Je t'aime. Je suis vraiment désolé.
Il tient ma mére, et je dois tenter quelque chose.
Je suis consciente des risques.
Je suis tellement, tellement désolée.
N'en veux pas a Alice et Japer. Si j'arrive a les semer ce sera un miracle.
Remercie-les de ma part. Surtout Alice s'il te plait.
Et je t'en prie je t'en supplie ne le cherche pas. c'est ce qu'il veut, je crois.
Je ne supporterais pas que quElqu'un coure a sa perte a cause de moi, surtout toi.
Comprends bien : c'est la seule chose que je peux te demander a présent.
Fais-le pour moi.
Je t'aime.
Pardonne-moi.
BELLA.
Afficher en entier- Qui sont ces gens ? demandai-je à ma voisine, dont le nom m'échappait toujours.
Au moment où elle se redressait pour voir de qui je parlais, bien qu'elle l'eût sûrement deviné rien qu'à mon ton, il leva brusquement la tête - le plus mince, le gamin, le benjamin sans doute. Il s'attarda moins d'une seconde sur ma collègue d'espagnol, avant de m'aviser.
...
-Edward et Emmett Cullen, Rosalie et Jasper Hale, récita-t-elle. Celle qui est partie, c'est Alice Cullen. Ils vivent avec le docteur Cullen et sa femme.
Tout cela dans un souffle.
Je jetai un coup d'œil à la dérobée en direction de l'Apollon qui, maintenant, s'intéressait à son plateau, réduisant en charpie un beignet avec ses longs doigts pâles. A peine entrouverte, sa bouche admirable remuait à toute vitesse.
Afficher en entier"- Je t'aime, murmura-t-il.
C'était la première fois qu'il le disait, si lui n'en était pas conscient, moi si ..."
Afficher en entierLa mort est paisible, simple. C’est beaucoup plus difficile de vivre.
Afficher en entier-j'ai appris que tu allais à Seattle,ce jour-là,et j'ai pensé
que tu avais besoin d'un chauffeur.
Voilà qui était inattendu.
-Quoi?balbutiai-je,pas sûre de comprendre ou il voulait en venir.
-as-tu envie qu'on t'accompagne là-bas?
-qui donc?
-Moi,évidemment .
Il articula chaque syllabe,comme s'il s'adressait à une demeurée.
-pourquoi?m'écriai- je,ébahie.
-Disons que j'avais l'intention de me rendre à Seattle dans les semaines à venir et, pour être honnête, je ne suis pas perdusuadé que ta camionnette tiendra le coup.
-ma camionnette marche très bien,merci beaucoup!
Je repris mon chemin,même si j'étais trop ahurie pour être en colère. Une fois de plus,il me rejoignit facilement.
-Mais un seul réservoir te suffira-t-il?
-je ne vois pas en quoi ça te concerne.
Crétin de propriétaire de Volvo.
Le gaspillage des ressources naturelles devrait être l'affaire de tous.
Afficher en entier-Je ne t'effraies pas ? plaisanta-t-il.
Je sentis pourtant une réelle curiosité derrière le badinage affiché.
-Pas plus que d'habitude.
Son sourire s'élargit, et se dents miroitèrent au soleil.Je me rapprochai, osant tracer les contours de son avant-bras du bout de mes doigts, qui tremblaient, ce qu'il n'allait sûrement pas manquer de remarquer.
-Je t'embête? murmurai-je, car il avait refermé les yeux.
-Non. Tu n'imagine pas les sensations que tu me procures.
Je fis courir ma paume légère le long des muscles incomparables de son bras, suivant le réseau bleuâtre des veines au creux son coude. Mon autre main avait entreprit de retourner la sienne. Devinant mais intentions, il s'exécuta en l'un de ces gestes d'une rapidité aveuglante et déconcertante, et je me figeai.
- Désoler, marmonna-t-il. J'ai tendance à me laisser aller à ma vraie nature, avec toi.
Soulevant son poignet, je l'orientai de-ci de-là afin de voir le soleil ricocher dessus. Je le collai tout près de mon visage, cherchant à distinguer les facettes cachées de son derme.
-Dis-moi à quoi tu penses, murmura-t-il. L'ignorer est si étrange, ajouta-t-il.
-Je te signale que c'est notre lot commun, à nous autres.
-Votre existence est dure. Dis-moi, répéta-t-il.
-Je songeais que j'aurais aimé savoir ce que toi tu pensais...
-Et?
-Je songeais que j'aurais aimé croire en ta réalité. Et ne pas avoir peur.
-Je ne veux pas que tu aies peur.
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