Frédéric Beigbeder
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Note moyenne : 6.64/10Nombre d'évaluations : 795
3 Citations 418 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
deuxieme livre que j'ai lu de cet auteur, je n'ai pas ete embarqué par l'histoire un peu plate a mon gout
Afficher en entier"Ce livre est celui d'un enfant gaté, dédié à tous les gens trop purs pour être heureux". Pour avoir personnellement beaucoup souffert de la fin d'une relation, ce que je peux en dire à titre personnel, c'est ce que ce livre est resté à mon chevet pendant de longs mois voilà quelques années, que je l'ai lu, relu... Le cynisme comme dernière barrière de protection ? On peut être d'accord ou pas, mais lorsque c'est si joliment dis, pensé et couché sur papier on ne peut que se laisser happer par ce Marc Marronnier qui a tout, en veux encore plus et se plait à se complaire dans son chagrin qu'il a lui-même provoqué. Pour les grands romantiques qui n'y croient plus, ou encore un tout petit peu quand même.
Afficher en entierJe n'ai pas aimé ce livre. J'ai eu énormément de mal à m’accrocher pendant ma lecture et l'humour de l'auteur dans le roman m'a plus fait froncer les sourcils que sourire. Je pense que ce n'est tout simplement pas mon style de lecture.
J’ai trouvé ce livre dans une boîte à livre, dans laquelle je vais rapidement y retourner pour la déposer…
Afficher en entierÇa partait pourtant pas mal. Un point de vue différent’ nuancé et intéressant sur le féminisme et le wokisme. Mais ça finit un peu en couplet masculiniste geignard. Dommage. Beigbeder garde son sens inné de la formule
Afficher en entierMon 1er livre de cet auteur et à mon avis le dernier.
Déjà, on a ici le dernier tome d'une trilogie et que je n'ai rien lu de cet auteur auparavant, mais ce n'est pas ça qui m'a dérangée le plus.
Le style de l'auteur, si on peut parler de style dans son cas, m'a beaucoup déplu, les phrases sont simples et plutôt faciles à lire, mais le contenu, est à gerber (un terme visiblement très apprécié de l'auteur. Il veut choquer, percuter et il écrit de la même manière qu'il se montre au public, cynique, vulgaire, blasé (pas étonnant que sa femme l'ait quitté et qu'il ait galéré à se mettre avec sa 2nde). Ce mec est détestable au possible.
Je me suis sincèrement demandé, au regard de sa vision du monde et des gens ce qu'un mec pareil peut bien foutre sur Terre, à part nous emmerder, il est complètement inutile et n'apporte rien de bon aux autres. Drogué, danger public, une loque bourré 3 soirs par semaine au minimum et qui couche avec tout et tout le monde, je ne vois pas comment on peut crier au génie en parlant d'un type pareil.
Seul point positif que j'ai relevé et qui fait que je suis allée au bout de son livre, il a aimé un livre que j'ai moi-même adoré : la séparation de Dan Frank.
Alors peut-être qu'en tant que critique littéraire, ses choix sont meilleurs que ceux de sa vie.
Pour finir, le livre est court c'est déjà en cela qu'il nous épargne.
Afficher en entierUn roman à lire un chapitre sur deux, l'histoire du 11 septembre est intéressante mais Beigbeder se sent toujours obligé de parler de son égo. Je dois quand même le remercier, grâce à lui je suis sorti à l'époque de la sortie de ce livre, de m'intéresser à des auteurs moins mainstream. Celà à été un adieu sans rancune.
Afficher en entierCe lit facilement, je ne sais pas quoi en penser, vérité ou inventé . Premier livre de Beigbeder. Un peu vulgaire sur la fin.
Afficher en entierIci, Beigbder nous offre un livre-parenthèse. Pas de Marc Marronnier, pas de publicité, etc. Juste toujours cette révolte qui n'appartient qu'à Beigbeder. Dans l'ensemble, c'est très bon. Le seul point négatif de "Windows on the world", c'est la fascination de son auteur pour les Américains. Un peu, c'est passable. Mais beaucoup, c'est trop. Il rejete même tout l'art des autres pays. Frédéric, bravo pour votre nouvelle cuvée, mais attention : Pas trop de fanatisme pour ce peuple très médiatisé ces temps-ci.
Afficher en entierà mettre dans toutes les mains l'auteur nous propose une liste de livres (non exhaustive) a lire j'avoue que certains me sont inconnus....
Afficher en entierTrop en vrac, avec toujours cette pointe d'ironie et de gestes assez déplacés. Cependant, ce livre permet de prévenir la jeunesse des méfaits de la drogue grace à des nouvelles teintés de vérité mais difficile de se mettre dans la tete des personnages quand il s'agit par exemple de Brilliant: fils à papa plein d'argent. Quelle est l'utilité??
Afficher en entierOn parle de Frédéric Beigbeder ici :
2020-04-11T19:08:34+02:00
2016-03-15T18:18:33+01:00
2014-08-19T11:24:10+02:00
2012-03-17T14:21:31+01:00
2011-09-09T22:23:31+02:00
2011-09-07T20:07:18+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Frédéric Beigbeder
et autres évènements
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Editeurs
Grasset : 17 livres
LGF - Le Livre de Poche : 14 livres
Gallimard : 8 livres
Le Livre de Poche : 3 livres
Editions de La Table Ronde : 2 livres
Assouline : 1 livre
Calmann-Lévy : 1 livre
France Loisirs : 1 livre
Biographie
Frédéric Beigbeder naît dans une famille d'origine béarnaise. Sa mère, Christine de Chasteigner de La Rocheposay, est traductrice (elle traduit entre autre les romans de Barbara Cartland) et son père, Jean-Michel Beigbeder, est recruteur (« chasseur de têtes »). Son frère, Charles, est le fondateur de la société de courtage en ligne Selftrade, puis de la société Poweo. Leurs parents divorcent rapidement (vers 1970) et les deux enfants vivent entre deux maisons, essentiellement chez leur mère qui refait sa vie, en 1974, avec le baron Pierre de Soultrait1.
En avril 1979, âgé alors de treize ans, il fait une apparition sur TF1, interviewé sur la science-fiction lors de l'émission Temps X des frères Igor et Grichka Bogdanoff qui fréquentent la maison paternelle et lui demandent de participer1.
Il effectue sa scolarité aux lycées Montaigne et Louis-le-Grand à Paris. Diplômé de Sciences Po Paris (section service public), il achève ses études par un DESS en marketing – publicité au Celsa.
En 1990, âgé de vingt-cinq ans, il publie son premier roman, Mémoires d'un jeune homme dérangé. Il devient ensuite concepteur-rédacteur dans l'agence de publicité CLM/BBDO tout en étant critique littéraire ou chroniqueur nocturne dans les magazines Elle, Paris Match, Voici ou encore VSD. Il fait également partie de l'équipe des critiques littéraires de l'émission Le Masque et la Plume et de Rive droite / Rive gauche sur la chaîne câblée Paris Première.
En mai 1991, il épouse Diane de Mac Mahon avant de divorcer en mars 19962.
Frédéric Beigbeder à Cracovie, en octobre 2004.
En 1994, paraît son deuxième roman, Vacances dans le coma puis, en 1997, L'amour dure trois ans, qui clôt la trilogie de Marc Marronnier. Suit un recueil de nouvelles chez Gallimard en 1999, Nouvelles sous ecstasy.
L'année suivante, Beigbeder est licencié pour faute grave de chez Young & Rubicam, peu après la parution de son roman satirique 99 francs (depuis réintitulé 14,99 €) qui se vend à 380 000 exemplaires[réf. nécessaire] (ce qui en fait le roman contemporain français le plus vendu à l'étranger), roman qui épingle les travers de la publicité. Le roman est adapté au cinéma par Jan Kounen, dans un film sorti le 26 septembre 2007. L'écrivain, qui a participé activement à l'écriture du film et au tournage, y joue également un petit rôle.
Entre-temps, Frédéric Beigbeder obtient sa propre émission littéraire, Des livres et moi, sur Paris Première. En 2002, durant la campagne présidentielle, il s'occupe de la campagne médiatique du candidat du Parti communiste, Robert Hue. La même année, il accepte de co-animer avec Jonathan Lambert une émission quotidienne d'access prime-time sur Canal+, l'Hypershow, qui compte moins de 500 000 téléspectateurs en moyenne et dure moins de trois mois3.
En 1999 naît sa fille Chloé de son union avec Delphine Vallette.
En janvier 2003, Flammarion propose à l'écrivain de passer « de l'autre côté du miroir » et de devenir éditeur. Le premier roman qu'il choisit s'appelle Une fièvre impossible à négocier de Lola Lafon, sur son engagement alter-mondialiste et son appartenance au groupe anarchiste des « Black Blocs ». En trois ans, il publie environ vingt-cinq livres pour le compte de Flammarion, avant de quitter ses fonctions en 2006.
Son roman Windows on the World, qui se déroule dans les tours jumelles du World Trade Center durant les attentats du 11 septembre 2001, reçoit le prix Interallié en 2003, et sa traduction anglaise (par Frank Wynne) est récompensée de l'Independent Foreign Fiction Award en 2005. Il publie en 2005 L'Égoïste romantique et, en 2007, Au secours pardon (suite des aventures d'Octave, le héros de 99 francs).
Entre septembre 2005 et mai 2007, il est chroniqueur dans Le Grand Journal, présenté par Michel Denisot.
Frédéric Beigbeder est également animateur de l'émission hebdomadaire de critique littéraire et cinématographique Le Cercle sur Canal+ Cinéma et est par ailleurs chroniqueur à Lire et intervieweur pour GQ.
Le 28 janvier 2008 à Paris, Frédéric Beigbeder et un ami, sont surpris, penchés sur le capot d'une voiture, par une patrouille de police peu après 3 heures du matin dans le VIIIe arrondissement de Paris. Dans les poches de l'écrivain, la police trouve deux sachets contenant l'équivalent de 2,6 grammes de cocaïne4. Ils sont relachés le surlendemain5. Cet épisode est à l'origine d'une polémique impliquant le procureur de la République de Paris : Jean-Claude Marin est, en effet, placé « en détention non provisoire » au chapitre 27 de Un roman français de Frédéric Beigbeder, paru le 18 août 2009 chez Grasset. Invoquant la peur des conséquences judiciaires, l'éditeur demande à l'écrivain de retirer certains passages du livre6,7.
Récompensé du prix Renaudot le 2 novembre 2009, Frédéric Beigbeder remercie ironiquement Jean-Claude Marin « pour l'avoir mis en garde à vue »[réf. nécessaire].
Frédéric Beigbeder fonde le Prix de Flore en 1994 et préside son jury depuis lors. Ce prix a couronné notamment Michel Houellebecq, Virginie Despentes, Amélie Nothomb, Christine Angot et Guillaume Dustan. Il crée également le Prix Sade en 2001 avec Lionel Aracil et siège dans le jury du Prix Décembre.
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