Maurice Maeterlinck
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Note moyenne : 7.22/10Nombre d'évaluations : 91
5 Citations 51 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
L'auteur nous transmet sa fascination des abeilles et on comprend mieux ce petit monde passionnant. Parfois il est un peu difficile de s'y retrouver dans les appellations scientifiques des différentes espèces.
Afficher en entierDes choses que je pensais savoir sur les fourmis sont finalement fausses et j'ai appris beaucoup. Maintenant je trouve que ces insectes sont très proches de l'Homme.
Afficher en entierUne pièce assez moyenne dans l'ensemble. J'avoue ne pas avoir été transporté tant par l'écriture que par l'histoire. J'étais un peu en dehors. Le sort des amants m'importait peu. Mais je ne peux pas nier que les symboles et nombreuses métaphores sont très intéressantes. Cependant, j'étais extérieur à l'intrigue, aux personnages et à ce qui leur arrivait. Une lecture ennuyante.
Afficher en entierDu même auteur, encore une pièce moyenne et qui ne m'a pas tellement intéressé. Mais un peu plus intéressant quand même que Pelléas et Mélisande. Trois petites histoires plutôt angoissantes mais il se passait pas non plus grand-chose donc ça reste ennuyeux.
Afficher en entierC'est une pièce très intéressante. Entre des dialogues discontinus, les personnages qui sont eux-même spectateurs de leur situation, les métaphores qui retranscrivent l'invisible et l'inaudible et la place qu'est accordée au silence, cette pièce est une lecture riche qui nous plonge dans le drame symboliste.
Afficher en entierCe n'est pas la meilleure pièce de Maeterlinck mais elle mérite quand même d'être lue. Le point de vue de voyeurs adopté par les personnages est très intéressant et offre une vraie réflexion autour de l'arrivée soudaine d'un malheur.
Afficher en entierUne pièce intéressante qui m'a beaucoup fait penser à Pelléas et Mélisande.
Afficher en entierC'est une pièce qui se lit rapidement mais je n'ai pas spécialement apprécié cette lecture là.
Afficher en entierUne pièce assez spéciale, où au final il ne se passe pas grand-chose. Difficile de savoir si j’ai apprécié ma lecture ou non.
Afficher en entierSublime et juste. C'est la première pièce du dramaturge Maeterlinck que je lis et je dois avouer que je ne suis pas déçue. Tout simplement incroyable.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Maurice Maeterlinck
et autres évènements
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Editeurs
Transatlantiques : 6 livres
Editions Labor : 4 livres
Abeille et Castor : 2 livres
Bibliothèque Charpentier : 2 livres
Editions Fasquelle : 2 livres
Nabu Press : 2 livres
Le Cri : 2 livres
Slatkine : 2 livres
Biographie
Suivant le désir de sa famille, Maurice Maeterlinck fait, après une scolarité chez les Jésuites, des études de droit à Gand et embrasse très brièvement la carrière d'avocat. Il se tourne dès 1885 vers la littérature, et au contact de Mallarmé et Villiers de l’Isle-Adam qu'il rencontre à Paris, se consacre à la poésie. Son premier recueil, Serres Chaudes, qui emprunte la voie du symbolisme et de la mélancolie, est publié en 1889. Suivent des pièces de théâtre, marquées par un romantisme sombre et la volonté de mettre en scène les tourments de l'âme au moyen de légendes et de mythes. Sa Princesse Maleine (1889), est saluée par un article dithyrambique d'Octave Mirbeau dans le Figaro, qui offre à Maeterlinck une renommée immédiate en France. Pélléas et Mélisande (1893), son plus grand succès, élargira sa reconnaissance à l'international, notamment après que Debussy en a fait un drame lyrique en 1902.
Son œuvre prend ensuite un tour de plus en plus mystique et tourné vers la retranscription quasi scientifique des forces de la nature et de la vie, sans rien sacrifier de son écriture poétique et musicale. Que ce soit à travers les insectes (la Vie des Termites, en 1927) ou les plantes (l'Intelligence des fleurs, en 1907), on retrouve sa langue simple, belle et rythmée. Un an avant sa mort, sa dernière publication, Bulles bleues, relate ses souvenirs d'enfance. Maurice Maeterlinck reçoit le prix Nobel de littérature en 1911, alors qu'il est au plus haut de sa gloire, et est anobli par Albert 1er en 1932.
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