Luc Brahy
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Note moyenne : 7.33/10Nombre d'évaluations : 123
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Les derniers commentaires sur ses livres
#03 Quel plaisir de re"lire" #Atom[ka] de Mr Thilliez en BD !
(Dernier tome de la "trilogie de la violence")
📕Dessin de #LucBrahy & scénario de #SylvainRunberg
🧐09/10 🧐
📚#PALÀJour2023📚
Afficher en entierj'avais un peu peur de me lancer dans la BD, alors que le roman avait été un coup de coeur, et finalement c'est une bonne adaptation ! Les dessins sont très sympas !
Afficher en entierUne super BD !
L'histoire, je la connaissais, les dessins sont excellents et illustrent parfaitement de roman d'Olivier Norek.
Bravo !
Afficher en entierJ'ai adoré redécouvrir ce livre sous ce format. L'histoire, l'ambiance et l'horreur y sont parfaitement retranscrites. Les aménagements par rapport au roman ne choquent pas et sont effectivement nécessaire pour le format bd. La bd reste très compréhensible. J'ai commencé par ce tome mais j'aimerai bien découvrir les 2 premiers tomes également .
Afficher en entierCette bande dessinée centrée sur la course à l'étoile pour un jeune chef n'a pas suscité un grand enthousiasme de ma part. L'intrigue est rapide et les personnages ne parviennent pas à susciter un attachement particulier. Je me demande si les tomes suivants pourraient présenter une intrigue plus captivante.
Afficher en entierDans ce deuxième tome, l'histoire se concentre davantage sur le couple. Malheureusement, l'intrigue demeure fade et les personnages ne parviennent pas à susciter un réel intérêt. Le scénario semble manquer de profondeur. Malgré cela, on observe la femme se relever après le coup de couteau de son partenaire et réussir à trouver les bonnes personnes pour avancer dans ses projets, ce qui constitue une belle revanche.
Afficher en entierLe troisième tome de la série se maintient à la hauteur des précédents : ennuyeux et dénué d'intérêt à mes yeux. Cette série a été abordée dans le cadre d'un challenge, mais je n'ai ni apprécié l'intrigue ni les personnages.
Afficher en entierJ'ai beaucoup apprécié la version BD de ce roman!
J'ai préféré lire le roman avant, et au final j'ai adoré la BD. J'adore le style de dessins, c'est exactement ce que j'aime. On est pas trop dans le glauque, mais on a un peu de sanglant quand même... Le mélange parfait!
Malgré quelques raccourcis (nécessaires j'imagine pour se faire au format BD!) l'histoire est très fidèle à celle de base!
Et les représentations de Hennebelle et Sharko représentent bien ce que j'avais en tête!
Afficher en entierLe Tome 3 de Destins est le début du chemin où Ellen ne se dénonce pas. Elle garde malgré tout un fort sentiment de culpabilité, qui est bien retranscris dans ce tome.
Il y a 2 dessinateurs différents dans ce tome, différents aussi du dessinateur du tome 1, mais on reconnait bien les personnages.
L'histoire est palpitante, on a hâte de connaître la suite.
Afficher en entierN'ayant pas lu le roman, je ne ferai pas de comparatif et je jugerai seulement sur la BD. J'ai beaucoup aimé l'intrigue de base surtout au niveau des thématiques de la reconstruction de soi et du regard des autres. Toutefois, je trouve que l'enquête était un peu tirée par les cheveux à certains moments. Je ne me suis pas attachée aux personnages. C'était un bon moment de lecture, mais sans plus.
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Biographie
Il est de ceux dont les bios peuvent débuter par " Déjà tout petit...", ce qui est au monde de la b.d. ce que "il était une fois..." est aux contes pour enfants. Cette histoire-ci commence à Istres, où Luc Brahy est né en 1964.
Le dessin l'a toujours passionné : la publicité et le dessin de presse lui permettent d'être publié - un encouragement salutaire pour les artistes du crayon. Il n'a pas trente ans quand un éditeur (Vent d'Ouest) publie son premier album : "Zoltan", sur un scénario de Frank Giroud (1993).
Il mettra sept ans avant de voir concrétisé un projet plus personnel, "Ynfinis", en deux tomes (" Mayrim " et " Duel ", aux éditions Clair de Lune), qu'il signe seul, mais sous le pseudonyme de Dust. On y voit une évolution vers un style de plus en plus personnel, se réclamant à la fois du réalisme classique et d'une modernité avant tout efficace.
Une rencontre va décider de son avenir : avec Eric Corbeyran ("Le Cadet des Soupetard" et "Lie de Vin" chez Dargaud) va naître une solide amitié. Plusieurs projets sont mis en chantier. Le premier paraît en 2003, "Imago Mundi", pour lequel un autre ami, Achille Braquelaire, apporte la caution scientifique.
(Source : Éditions Dupuis)
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