Commentaires de livres faits par Amy23
Extraits de livres par Amy23
Commentaires de livres appréciés par Amy23
Extraits de livres appréciés par Amy23
_ Mon dieu, Sage! tes yeux. Comment ai-je pu passer à coté?
Je ressentis de nouveau un certain malaise.
_ Qu'ont-ils?
_ Leur couleur, souffla-t-il. Avec la lumière. Ils sont incroyable... on dirait de l'or en fusion. Je pourrais les peindre... (il tendit la main vers moi mais se ravisa.) Ils sont magnifiques.
Tu es magnifique.
(...)
_ Maigre? m'étonnai-je en espèrant ne pas être en train de rougir.
(...)
- Je dis juste se qu'il en est.
Je faillis éclater de rire.
Cléo gémit dans son sommeil. Se tourna et se retourna désireuse d'échapper à l'emprise de son affreux rêve.
... Les flammes lèchent la tôle noir de suie les silhouettes enlacées se consument, se racornissent, se transforment... Le feu se recroqueville, prend les reflets fauve et turquoise des fillettes qu'il dévore. Au pied du brasier, des figures aux chairs phosphorescentes dancent une sarabande grotesque.
Cléo s'éveilla en hurlant. (...)
Ellana apparut sur le seuil.
_ Je veux savoir ce qui s'est passé ! jeta-t-elle dans le silence de mort qu'avait créé son intrusion.
Elle fis un pas en avant.
Sur un signe de tête de Riburn Alqin, les deux marchombres les plus proches se levèrent et bondirent.
Le plus rapide posa la main sur l'épaule d'Ellana dans le but de lui interdire le passage. Son poignet se brisa net quand elle le lui tordit sans pitié.(...)
_ Je ne suis pas venus me battre, clama Ellana, mais chercher une réponse. Je veux savoir qui a tué Jilano !
La rage brulait dans sa voix. Une rage froide qui, loin de lui nuire, se mettait au service de ses incroyables capacités.
(...)
_ Emparez-vous d'elle ! vociféra Riburn Alqin. Les marchombre encore assis se levèrent. Des lames jaillirent. Ellana fléchit les genoux, posa la main sur le manche de son poignard...
Dressé non pour Ellana mais pour lui.
Jilano bondit vers la porte.
Verrouillée, elle l'aurait à peine ralenti. Elle s'ouvrit sans difficulté.
Sur un mur de pierre.
Il leva les yeux. La même substance huileuse qui l'avait fait glisser recouvrait tous les murs. La gouttière gisait au sol. Inutile de l'observer pour savoir qu'elle avait été sabotée.
Du joli travail.
Jilano inspira profondément, ralentissant son rythme cardiaque jusqu'à ce que son corps élimine l'injonction de survie induite par le danger.
Ce n'était plus la peine.
Il s'assit en tailleur contre un mur et attendit que la silhouette apparaisse au-dessus de lui.
Elle ne tarda pas.
Un sourire pâle erra sur les lèvres du mâitre marchombre lorsqu'il reconnut l'assassin. La guilde était donc tombée si bas?
Il faillit parler, non pour tenter de convaincre, encore moins pour supplier, mais pour chercher à comprendre. Il préféra détourner les yeux afin de se consentrer sur l'essentiel.
Alors que l'assassin bandait son arc, les pensées de Jilano s'envolèrent vers Ellana.
Bonheur.
Gratitude.
Amour.
_ Garde-toi, murmura-t-il, et que ta route soit belle.
_ Madame ! Que vous arrive-t-il ?
Ellana était brusquement devenus livide.
Elle poussa un cri rauque, leva la main à son coeur et, avant qu'Aoro ait pu intervenir, elle s'effonfra.
Son intérêt s'éveilla. _ Ah oui? Comme quoi?
La porte s'ouvris à cet instant. Je bondis sur mes pieds, prête a affroter n'importe quel élève, voire une surveillante. Mais je n'étais pas prête a affronter Dimitris.....
Lorsque Patridge entre à nouveau dans le réfectoire décoré, il a l'impression d'être une personne différente. Il ne fait que passer. Il part. Ceci ne durera pas. Sa vie va changer.
Lyda et lui s'avancent au milieu de la piste, sous les étoiles dorées factices accrochées au plafond, là où dansent les autres couples. Elle lève les bras et croise ses doigts derrière la nuque de son partenaire. Il pose les mains autour de sa taille. la soie de la robe est fine. Il est plus grand et penche la tête pour se rapprocher d'elle. Les cheveux de la jeune fille sentent le miel, sa peau est chaude, peut-être que le contact l'a fait rougir. à la fin de la chanson, il s'apprête à quitter la piste, mais s'arrête et ils se retrouvent face à face. Elle se soulève sur la pointe des pieds, l'embrasse. Ses lèvres sont douces. Elle a un parfum de fleur. Il l'embrasse à son tour, remonte un peu ses mains.
Alors, comme si elle venait de se rappeler qu'ils sont dans une pièce bondée, elle s'écarte et regarde alentour. Glassings pioche dans une assiette de gâteaux et s'empiffre. Près de l'entrée, Mlle Pearl est désœuvrée
" Il est tard, dit Lyda.
_ Une dernière dance? " demande Partridge.
Elle acquiesce.
Cette fois, il lui prend la main, la pose sur son épaule et laisse retomber sa tête contre la sienne. Il ferme les yeux parce qu'il ne veut pas se souvenir de ce qu'il voit, seulement de ce qu'il ressent.