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J'ai trouvé la première partir du livre assez ennuyeuse, bien que très intéressante pour ce qui est de planter le décor, de montrer quel est ce monde, comment il fonctionne. Mais c'est peut-être pour ça que j'ai mis si longtemps à le lire. En revanche, tout devient différent quand le véritable cœur de l’œuvre se met en place avec le Sauvage.
En bref, quoi qu'il en soit, un très bon livre surtout très intéressant ; surtout parce qu'il offre une peinture sans jugement, mais juste une description de la vie, de la société, telle qu'elle est dans le "Meilleur des Mondes". C'est à nous de juger, de nous faire nos propres avis. Le Sauvage n'est pas exempt non plus de reproches et de critiques. La vie pour le Mieux, le Bonheur, ou la Vérité ? Ce qui m'a ennuyé toutefois, c'est la part de Dieu qui vient foutre sa merde et gâche un peu le tableau, mais bon, je suppose que c'est l'auteur et l'époque qui veut ça. Et puis Shakespeare, bien sûr, qui est la principale éducation du Sauvage.
Mais on trouve ici une vision très pertinente, ça, assurément, et un écho très net avec notre société actuelle ; pas toujours en négatif, comme je l'ai dit, il est parfois difficile de juger négativement telle ou telle dimension du Meilleur des Mondes, mais à la fois, on ne peut s'empêcher de voir qu'il y a là quelque chose qui... cloche. Enfin c'est la façon dont moi je l'ai vu du moins. Assez dérangeant, donc, et faisant réfléchir, justement parce que le livre ne réfléchit pas à notre place ; il ne nous offre pas sur un plateau les réflexions, les critiques, les détails qui tuent, tout ça. Non, c'est à nous seuls de comprendre et de ressentir le malaise, le côté bancal de cette société.
Et ce genre de liberté laissée au lecteur est quelque chose de rare aujourd'hui dans la littérature, où on a tendance à faire passez le message parfois trop directement, au risque qu'il en deviennent peut-être juste un ersatz propagandiste qui n'aura pas l'impact souhaité.
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Sommes-nous prêt à renier notre liberté d'agir et de pensée pour accéder au bonheur ? Mais qu'est-ce que le bonheur sans sentiments forts ? sans passion ?
Mais si l'on accepte de ne plus disposer de notre cerveau comme on le veut, alors sommes-nous toujours humains ? A quoi sert-il de vivre ainsi ?
Ce livre nous pousse à réfléchir sur beaucoup de thèmes différents : la liberté, le bonheur, le plaisir, la monogamie/fidélité, etc... A réfléchir à tout ça, on en apprend plus sur l'humanité, sur la société et sur nous même. C'est toujours grandissant pour soi même.
Par contre, l'histoire en elle-même et les différents personnages ne m'ont pas séduite. La fin avait même tendance à sérieusement m'agacer, voilà pourquoi j'ai mis ce livre en Bronze.
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Je regarde autour de moi : on nous mets quelques artistes qui sont hors norme, mais les individus dans la société sont formatés au maximum...
On n'est pas si loin du meilleur des mondes possibles...
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Je suis déçue car ce livre est un classique du genre et j'ai forcément dû passer à côté de quelques chose. L'histoire était prometteuse mais la façon de la raconter ne m'a pas permis d'accrocher malheureusement.
En revanche, j'ai beaucoup apprécié le commentaire de l'auteur inséré à la fin de la réédition du livre 15 ans plus tard où il revient sur des passages du Meilleur des mondes et sur l'évolution des sociétés modernes depuis l'écriture du roman (la seconde guerre mondiale étant passée par là entre temps).
Le Meilleur des mondes
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire, à m'attacher aux personnages (on ne peut pas s'y identifier), j'ai le trouvé le récit très hermétique. On manque d'informations concrètes sur certains éléments (qui était vraiment Notre Ford, invention du soma, la relation vis à vis du sexe est à peine expliquée, etc...). L'auteur a voulu nous dépeindre une société, mais a négligé beaucoup de détails qui selon moi étaient capitaux. La fin est un peu décevante aussi, quoiqu'intéressante.
Cependant, c'est un livre qui pose des réflexions intéressantes et profondes.
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Si Huxley invente son utopie, ce n'est que pour en dénoncer les défauts et les travers. Et à travers cet exemple, j'ai réalisé que les utopies sont toutes bancales, qu'elles ont toutes des défauts quelques part, et que finalement ce ne sont que de belles idées vaines et stériles parce qu'un monde parfait est impossible.
Après bien des années, même si je réalise que ce roman est très bon, j'ai toujours du mal à l'apprécier parce que je n'oublie pas que c'est lui qui a détruit mon rêve de vivre un jour dans un monde de bisounours. :'(
Le Meilleur des mondes
Le livre commence par la découverte d'un scénario par deux hommes travaillant dans le Cinéma. Ceux-ci décident de nous exposer le texte et l'originalité du roman tient dans le fait que l'histoire soit écrite de façon scénarisée (bien que le côté littéraire reste tout de même primordiale, et qu'on garde un côté plus romanesque que scénaristique).
Commence alors la lecture d'un monde lointain dans l'avenir, où la plupart des hommes sont devenus des créatures barbares aux pulsions animales. La plupart, car en effet, seule la Nouvelle-Zélande semble avoir gardé un semblant d'humanité. Et c'est donc dans un groupe de scientifiques néo-zélandais partis explorer l'Amérique que l'on rencontre le protagoniste de cette histoire. Ainsi, le Dr Poole va être enlevé par une horde de survivants et va découvrir le monde barbare et primaire dans lequel ils vivent.
C'est un réel roman d'anticipation post-apocalyptique que nous livre ici Aldous Huxley. On y retrouve ce qui a fait son sucés dans Le Meilleur des Mondes avec ses réflexions sur l'homme et sa nature, ainsi que sur le fanatismes lié aux cultes et aux croyances.
Un très bon roman, à lire et à savourer doucement pour en assimiler toutes les idées.
Temps futurs