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Le Meilleur des mondes
Tout d’abord, je dirais que pour l’époque l’idée est assez incroyable, on est vraiment sur quelque chose de très novateur. Cependant, j’ai trouvé l’histoire affreusement longue et la somme de détails me faisait me perdre dans ma lecture. Je dois avouer que je ne suis pas du tout convaincu par le style d’écriture.
Concernant les personnages, je les ai trouvés très fades. L’époque “oblige” la femme est vu tout au plus comme un être immoral et pêcheur, donc je ne vais pas m’attarder sur leurs personnages. Concernant le personnage de Bernard, je le trouvais au début sympathique avec ses idées à contre-courant de la société mais, au final, il y a beaucoup trop d’ambivalence et de “je retourne ma veste” dès que l’occasion se présente.
Pour ma part, je n’ai absolument pas compris cette fin. J’ai beau retourner le problème dans tous les sens, je ne comprends pas.
Pour conclure, je suis assez déçue. Je me suis vraiment ennuyée, c’était une lecture vraiment lourde.
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Par certains aspects, j'ai préféré cet essai au roman en lui-même. Je le trouve plus juste à posteriori et j'ai même parfois eu du mal à me rappeler qu'il avait été écrit en 1957 tant certaines réflexions sonnent encore très juste à l'heure actuelle avec cette campagne présidentielle 2017 aux allures de mascarade.
Je ne regrette pas du tout cette lecture même si j'avoue qu'il faut être bien concentré pour tout comprendre. Je pense que je le relirai dans quelques années.
Retour au meilleur des mondes
L'idée est bonne et la société qu'il dépeint est très intéressante, surtout en ce qui concerne ce besoin de mettre des gens dans des cases, de les faire correspondre à des idéaux et de les manipuler. Les dénonciations véhiculées par ce livre sont justes et intéressantes, particulièrement bien développées dans l'échange avec John à la fin.
Mais même si je trouve le fond très intéressant, j'ai vraiment dû me forcer à arriver au bout tant les personnages sont inintéressants (hormis Bernard et John pour lesquels j'ai eu un regain d'intérêt) et tellement plat. J'ai conscience que c'est aussi ce qui est dénoncé mais ça m'a vraiment posé souci pour la lecture.
Et je finirai par dire que certains passages m'ont vraiment mises mal à l'aise, et que même si encore une fois je comprends la dénonciation, les séances sexuelles entre les enfants ça ne passe toujours pas !
Le Meilleur des mondes
Temps futurs
Le Meilleur des mondes
Dans cette société, rien n’est naturel. Tout le monde est conditionné pour aimer faire ci, éviter cela, penser ceci. Rien n’est dû au hasard : on est forcé à toujours acheter, à ne pas s’attacher sentimentalement, à ne pas s’interroger sur l’ordre établi. Cette société est plus qu’artificielle, elle est contre-nature : elle force les instincts des gens, afin de canaliser leur comportement et leur pensée.
C’est assez flippant. Jusqu’à quel point sommes-nous nous-mêmes influencés, conditionnés, par la société ? Nous n’aimons pas les mêmes choses que ce que l’on aimait il y a 100 ans, l’Humanité évolue toujours, mais pour le meilleur ou le pire ?
Encore une fois dans un roman SF, le fond est passionnant. Mais encore une fois, j’ai du mal avec l’histoire en elle-même : le style (beaucoup de jargon scientifique), les personnages (si je n’arrive pas à m’y attacher, c’est dur de plonger dans l’histoire) et au final, l’intrigue en elle-même. Car dans ce roman, il ne se passe pas grand-chose. Des personnages ont conscience dès le début du non-sens de leur vie, mais ils ne font rien de spécial pour y remédier. Tout au plus, ils apprennent à vivre avec cette conscience-là.
Et franchement, je pense que la société n’en arrivera jamais là. C’est contre la morale la plus basique, ça n’a strictement aucun intérêt de vivre de cette manière. Ca équivaut un peu à Matrix, les gens ne vivent qu’un substitut de vie : ils existent, mais n’agissent pas en tant qu’eux-mêmes.
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Le Meilleur des mondes
Les Portes de la perception
Le Meilleur des mondes
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