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Orgasme
Outre la perspective d'une suite à un livre qui n'appelle à aucune suite, le format de ce deuxième tome était également surprenant : d'un roman, on se retrouve à un comics. Palahniuk, connu pour son trash et sa verve venimeuse à souhait, imagé sur papier ? Ça avait de quoi laissé les lecteurs songeurs, moi la première. Et au terme de ma lecture, je dois avouer être toujours aussi songeuse.
Ai-je aimé ou non Fight Club 2 ? Autant le dire directement : à la sortie de ma lecture, je n'en avais pas la moindre idée.
Côté graphisme, et pour illustrer les idées tordues de Palahniuk, on retrouve Cameron Stewart, dont le nom vous sera sans doute connu si vous êtes férus de comics, et spécialement de Batman. Si ses dessins m'ont parus assez quelconques, il faut bien avouer qu'il y a quelque chose de très percutant dans le style de Stewart, que ce soit dans sa façon de faire surgir les émotions des personnages à travers les planches ou dans le côté très méta-textuel de son coup de crayon qui insert des objets (pilules, pétales de roses) sur les planches pour nous empêcher de lire certaines bulles ou de reconnaître certains personnages (coucou Tyler, on sait que c'est toi !).
Au niveau du scénario, il n'était pas forcément évidemment de reprendre l'histoire là où Palahniuk l'avait laissé, on se retrouve donc projeté des années plus tard et il n'est pas toujours facile de se faire aux nouvelles facettes des personnages (dont la vraie nature repointe tout de même assez vite le bout de son nez). On se laisse malgré tout assez vite prendre au jeu de ce nouveau récit qui joue encore une fois sur l’ambiguïté entre Tyler et Sébastian (nouveau prénom de vous-savez-qui), mais également sur l’ambiguïté entre réalité et fiction grâce à des passages dans lesquels Monsieur Palahniuk se met lui-même en scène entouré d'un groupe d'auteurs qui semblent incider sur toute l'histoire de Tyler.
Ce livre va faire partie de ceux qui demandent du temps, un délai de décantation pour faire le point, pour revenir dessus, pour se décider et finalement faire pencher la balance. C'est le genre de livre dont on sort sans avis fixe et qu'on découvre avoir adoré des mois plus tard après avoir relu deux, trois planches ou quelques chapitres. Adoré, ou détesté.
Quelques semaines plus tard, je me suis enfin fait un avis sur la question et pour ma part, je serais un peu moins catégorique cette fois : pas d'avis tranché, plutôt un ressenti en demi-teinte car non, je n'ai pas adoré cette suite sous forme de comics, mais sur certains points, j'ai trouvé cette lecture à la fois intelligente, surprenante et, il faut l'avouer, rudement bien foutue.
Fight Club 2
Le style de l'auteur est très étrange ; du coup je n'ai pas réussi à venir au bout de cette lecture.
Dommage.
Le Purgatoire
Fight Club
Argent pour l'originalité et la façon dont l'intrigue se déroule, après, pour moi, ça ne mérite pas plus car on sent bien que c'est une histoire barrée (comme souvent chez cet auteur) et qu'on a parfois du mal à savoir où il veut nous emmener...
Snuff
Fight Club
Fight Club
Fight Club
Fight Club
Orgasme
L'histoire est finalement davantage centrée sur l'évolution et la prise d'indépendance de l'héroïne.
Un bon moment tout de même, surtout dans la seconde partie du livre,
Damnés
Damnés
Le Festival de la couille
Bon je viens de finir mon premier livre de Chuck Palahniuk avec Fight Club. Bon je connaissais l'histoire puisque j'avais vu le film et qu'il s'agit de l'un de mes films préférés et javais d'être déçu. Que le film n'est pas grand chose à voir avec le livre et au film j'adore le film et j'ai adoré lire le livre. J'ai accroché avec le style de l'auteur, c'est sans fioriture, c'est efficace, c'est brut. L'ambiance y est excellente alors du coup je vais me lancer dans un autre livre du même auteur. J'en ai trois sous le coude, ce sont Pygmy, Peste ou Damnés. Je ne sais pas encore lequel je vais lire mais en tout cas ce sera l'un des trois.
Fight Club
Malgré tout, c'est une autre approche, et des éléments supplémentaires sur l'origine de Tyler chez Sébastian, et un jeu différent qui se joue, puisque l'existence de Tyler en tant que personnalité du protagoniste est avérée, connue, et du coup elle sert l'intrigue de façon plus explicite, là où dans le premier on ignorait sa nature.
Fight Club 2