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Commentaires sur ses livres

Dean Ray Koontz

Par nala74 le 6 Avril 2022 Editer
nala74
La peste grise de Dean R.Koontz chez Presses Pocket


La 4 eme de couverture dévoilant à peu près 80 % de l’histoire, et en plus à moitié fausse , je ne la mettrai pas ici.

Un roman de SF qui dans l’ensemble a été une lecture plutôt interessante.
J’ai immédiatement aimé le sujet : La manipulation mentale, et la façon dont l’auteur à posé cette thématique : non pas en la balançant comme un postulat de base à son histoire, en considérant que le lecteur n’a qu’à l’admettre, mais plutôt en détaillant les explications scientifiques concernant le conscient et le subconscient et les exemples sur le sujet, ce qui apporte une crédibilité au propos , une grande accessibilité du sujet également, tout en étant passionnant.

L’écriture est fluide, claire , parfois un peu trop descriptive quand même , j’en comprends l’importance et l’utilité pour l’immersion dans ce vase clos, mais on aurait pu se passer de certains détails superflus comme la taille et le poids de chaque personnage et la décoration exacte de chaque pièce : cela ralenti un peu le rythme .

Le roman part sur un développement assez classique mais efficace . Jusqu’à ce que …. À un moment l’histoire prenne une direction qui m’a un peu déstabilisée … pour finalement intégrer un aspect psychologique assez interessant et plutôt bien amené, même si la thématique psy reste assez classique , çà donne une autre dimension et une autre perspective au roman.

Concernant les personnages, à part un en particulier, je les ai trouvé plutôt creux et assez stéreotypés.

Quand à la fin…. Je ne suis pas entièrement convaincue ; il y a quand même des choses qui me paraissent très tirées par les cheveux dans le déroulé des évênements….

Donc une lecture en demi teinte, mais j’en garde quand même un sentiment plutôt positif, avec cette agréable surprise de l’aspect psychologique réussi à mon sens qui donne la touche d’originalité à ce roman de SF.
A propos du livre :
La Peste grise
La Peste grise
Par NicolaK le 26 Mars 2022 Editer
NicolaK
Après avoir lu le préquel au roman, je me suis précipitée sur The City, qui n'en est pas vraiment une suite, du reste, puisqu'on ne retrouve pas les jeunes héros de The Neighbor.
Ici, nous découvrons Jonah, fils de Sylvia Bledsoe Kirk, chanteuse talentueuse, et de Tilton Kirk, métier : bon à pas grand-chose, qui a réussi à séduire la jeune femme et l'a mise enceinte avant qu'elle ait pu entrer à l'université, bien qu'elle ait beaucoup travaillé pour obtenir une bourse. De ce fait, la maman de Jonah chante dans des cabarets, et la seule personne à véritablement s'occuper de l'enfant est son grand-père, Teddy Bledsoe, pianiste qui fascine son petit-fils.
Histoire banale à première vue, mais tout ceci se passe dans les années 60, et Koontz ne manque pas d'évoquer son opposition à la guerre du Vietnam, qui se déroule en toile de fond.
Le père de Jonah, voyou à la petite semaine, se trouve embringué dans un complot par des psychopathes se faisant passer pour des terroristes sans en avoir l'envergure... si tant est qu'on puisse parler d'envergure, mais vous voyez ce que je veux dire. En gros, ils pètent plus haut que leur c**, prétendant avoir de grands objectifs politiques et finissent par mettre la vie des parents de Jonah en danger.
C'est un roman atypique, l'auteur nous entraîne un peu dans tous les sens, donnant vie à ses personnages comme seul lui peut le faire, toujours avec cet humour que j'adore, et qui survient même lors des passages les plus crus et ardus, voire horrifiques. Des protagonistes improbables surviennent quand on ne s'y attend pas, et repartent aussi vite, mais leur portrait est néanmoins bien brossé, ce qui les rend visibles, malgré la briéveté de leur intervention. La ville, à savoir New York, a presque une existence propre, puisqu'une image métaphysique lui est fournie par l'auteur. Vous avez demandé Miss Pearl ? Ne bougez pas, elle ne va pas tarder à se pointer telle une super héroïne. Original, il fallait y penser.
J'ai bien accroché au récit, qui sort encore une fois des sentiers battus et se démarque dans la bibliographie de Dean Koontz. Encore qu'à force d'écrire des livres qui se démarquent, on s'aperçoit qu'il se renouvelle avec brio dans chaque récit et que même si ses thèmes et schémas de prédilection apparaissent toujours, il n'y a rien de répétitif et je ne m'en lasse jamais.
A propos du livre :
The City
The City
Par NicolaK le 26 Mars 2022 Editer
NicolaK
The Neighbor est un préquel au roman The City qui sortit un mois plus tard. Du moins en quelque sorte, puisque cette nouvelle est indépendante et peut se lire séparément, d'autant qu'elle est d'un excellent niveau.
Dean Koontz nous invite dans la vie de Malcolm et d'Amalia, aux parents démissionnaires, se fichant comme d'une guigne de leurs enfants, tout comme leur couple n'est qu'une façade. L'histoire se déroule au cours de l'été précédant le départ d'Amalia pour l'université, alors que Malcolm a 12 ans.
Vu le titre du roman, on se doute bien entendu que les voisins ne vont pas tarder à faire partie intégrante du paysage. Sauf qu'il n'y a pas de voisins, puisque la maison d'à côté est vide depuis très longtemps, son dernier propriétaire ayant été victime d'un infarctus. Mais une nuit, les gamins voient des lumières briller dans la maison, ce qui leur semble suspect.
Qu'à cela ne tienne, pour en avoir le coeur net, ils s'y rendent le lendemain armés de biscuits, pour faire mine d'accueillir les nouveaux voisins comme il se doit. Mais vous l'aurez deviné, tout comme moi, point de nouveaux voisins dans la maison... par contre Amalia croit voir quelque chose se mouvoir et ressent comme une présence...
C'est une nouvelle excellente, qui vaut vraiment le coup d'être lue, qu'on lise The City ou pas ensuite, vu qu'on ne reste pas sur un cliff de la mort qui tue. Parfois, quelques pages remarquablement écrites valent un énorme pavé. C'est le cas pour celles-ci.
Par NicolaK le 24 Mars 2022 Editer
NicolaK
Ce second roman de science-fiction de Dean Koontz n'est pas sans rappeler Dans l'ombre des bois, puisqu'on y retrouve un peu le même schéma. Il s'agit une fois encore de la fin de l'Humanité par la domination d'une autre espèce qui débarque sur terre. Mais un petit garçon, Léo, s'attache à l'un des Naoli, sorte de lézard géant, et l'attachement est réciproque, ce qui rend le non humain très humain, finalement. Par cette amitié, ils trahissent tous deux leur race. On s'y attendait, du reste.
L'histoire est brève, moins de 200 pages, mais néanmoins passionnante, et on s'attache nous aussi à ces deux parias. À défaut d'effet de surprise, si l'on a lu Dans l'ombre des bois, on est largement servis en émotions et en intensité. Dean Koontz est un merveilleux conteur et il nous le prouve encore une fois. J'en oublais même que c'était de la science-fiction et que les personnages ne pouvaient pas réellement exister, tant j'étais embarquée par la plume de l'auteur. J'en ai même oublié que je n'aimais pas la science-fiction. Mais tous les livres de SF de Dean Koontz me font cet effet. Quel dommage qu'ils n'aient pas été traduits en français, pour la plupart, et que les fans, aussi bien de l'auteur que du genre, en soient privés.
En tout cas, celui-ci, sautez dessus, il vaut vraiment le détour..
A propos du livre :
Le Monstre et l'enfant
Le Monstre et l'enfant
Par NicolaK le 24 Mars 2022 Editer
NicolaK
Quand Dean Koontz a écrit ce livre, il venait de perdre son propre golden retriever. Je comprends cette douleur, d'ailleurs l'auteur, encore maintenant, poste souvent des photos avec son chien et il en parle fréquemment. C'est peut-être pour cette raison qu'au lieu de nous plonger directement dans l'intrigue, comme il le fait régulièrement, il a pris cette fois le temps d'installer son histoire en commençant par nous présenter ses personnages principaux. On entre donc dans le récit en douceur, avec Amy, la sauveteuse de chiens, et son petit ami Brian qui ne cesse de s'inquiéter des risques pris par sa bien-aimée pour sauver ces animaux. Son dernier sauvetage de Nickie, retirée à un maître ivrogne et violent, n'a pas été aisé...
Puis, les choses s'accélèrent et l'étrange survient au-travers de mails suspects reçus par Brian, lequel voit ses aptitudes pour le dessin se développer de manière spectaculaire. Et puis Nickie a un comportement anormal envers Amy et les autres chiens. D'autres personnages entrent alors en scène, Reesa, une mystérieuse autiste, un détective privé, un tueur à gage... Quel est le lien entre tous ces gens ? Dean Koontz nous en délivre la clé par touches et les éléments s'imbriquent au fur et à mesure que le surnaturel prend plus de place.
L'humour de l'auteur est toujours présent et quand il décrit les protagonistes, on a volontiers le sourire aux lèvres, même quand ce n'est pas franchement drôle à la base, comme la fille qui ne fait l'amour que la nuit et fait passer le temps en brûlant les choses et les gens, par exemple. Que ne ferait-on pas pour ne pas s'ennuyer, n'est-ce pas ? On reconnaît les thèmes chers à l'auteur, la religion, la politique, l'amour, la vengeance ; il écorne un peu tout le monde au passage en étalant les secrets de chacun au grand jour, décortique et caricature la personnalité de chacun. Le chien a des aptitudes particulières et les handicapés sont dotés de pouvoirs.
Autre originalité de ce livre, les personnages les plus intéressants sont les "méchants" et on ne s'attarde pas vraiment sur nos deux héros du départ.
C'est un récit très touchant, je dirais "humain", qui m'a procuré diverses émotions, un peu la frousse quand même, de la tendresse, une forme d'attachement, surtout pour le chien évidemment. Ce livre est aussi une oeuvre à part dans la bibliographie de Dean Koontz, et je ne regrette pas de l'avoir lu (et relu). En plus je l'ai dévoré en très peu de temps, il se mange sans faim.
A propos du livre :
Un soir de cauchemar
Un soir de cauchemar
Par NicolaK le 23 Mars 2022 Editer
NicolaK
Mémoire truquée est encore un roman à part dans la bibliographie de l'auteur. Un bon thriller psychologique qui laisse des traces dans notre mémoire, à défaut de restaurer celle de l'héroïne de l'histoire.
Nous suivons donc Martie, qui elle-même promène son chien, et Koontz nous offre même un grand moment d'anthologie en narrant par le détail la façon dont la jeune femme ramasse les excréments du petit animal à l'aide d'un plastique, qu'elle va jeter dans une poubelle avec une satisfaction évidente, autant que surprenante. Il n'y a bien que lui pour rendre un tel passage passionnant. Mais bon, que n'écrirait-il pas pour réconforter ses personnages, n'est-ce pas ?
De plus, le bouquin compte 800 pages, donc il faut bien raconter des choses, et les mots truculents de Koontz font toujours mouche. Cette scène en particulier, il fallait oser la raconter en long, en large et en travers. Mais ce livre porte sur le lavage de cerveau, et on ne peut pas s'attendre à ce que les protagonistes aient un comportement dit "normal".
Notre Marnie, créatrice de jeux vidéo, a une curieuse phobie, la peur d'elle-même. Son beau-frère a vu un ange qui l'a incité à sauter d'un toit, parce que c'est vraiment plus beau là-haut, un agent immobilier a peur de se retrouver en plein air, et elle est persuadée que son ex-mari la viole toutes les nuits, parce que même si portes et fenêtres sont verrouillées et si elle a tout oublié des scènes en question, elle retrouve du sperme sur sa culotte. Elle installe donc un camescope pour capturer ses heures de sommeil et ce qu'elle va découvrir sera plus que surprenant... aussi bien pour elle que pour nous.
Bien entendu, tous les protagonistes voient le docteur Ahriman, psychiatre réputé, et nous on sait dès la 4e que toutes les phobies viennent de ses manipulations psychiques.
J'ai beaucoup aimé ce roman, j'en ai même supporté les quelques longueurs parce que la plume de Koontz est fabuleuse et rares sont ses livres qui m'ont semblé longuets. Sa façon de conter les événements est tellement magique que je me laisse facilement embarquer.
Pour les personnes normales donc, attendez-vous à estimer qu'il y a trop de longueurs et à ne pas trop apprécier ce fait. Mais ça reste un excellent bouquin et la manière de traiter le sujet est originale.
A propos du livre :
Mémoire Truquée
Mémoire Truquée
Par NicolaK le 23 Mars 2022 Editer
NicolaK
Cette fois, notre ami Koontz nous propose un sympathique thriller, pas horrifique du tout. Il est décidément très doué dans tous les genres, et c'est une plongée dans un roman qui pourrait très bien refléter la réalité.
Nous avons donc un maçon, Tim, qui se détend peinard dans son bar préféré, quand un homme s'approche de lui pour lui remettre une enveloppe contenant 10 000 dollars en acompte pour éliminer une certaine Linda... Bon, c'est un peu étrange que le type soit mal informé au point de prendre un simple pékin pour un tueur à gages, mais admettons. Le véritable tueur entre peu après, et Tim lui remet l'enveloppe en annulant le contrat. Bah voyons.
Après découverte du quiproquo, notre petit Tim est en très mauvaise position, bien entendu. Il décide donc de se rendre chez la fameuse Linda, romancière attirante et mystérieuse, pour la prévenir. Elle ignore complètement pourquoi on voudrait la tuer, probablement qu'elle en sait trop sur un certain sénateur... toujours est-il qu'elle s'enfuit avec Tim. Bien entendu, ils tombent amoureux l'un de l'autre... Si c'est pas trognon !
Raconté comme ça, on dirait une vaste blague qu'il vaut mieux éviter, mais c'est Dean Koontz qui raconte l'histoire, et ça fait toute la différence. Les personnages sont parfaitement décrits, y compris le tueur, Krait, qui a un goût très prononcé pour le luxe et squatte les villas cossues. On s'attache à nos amoureux, ce petit Tim qui veut se transformer en héros... n'oublions pas qu'à la base il est maçon et pas vraiment prédestiné à jouer ce rôle, mais ça le rend très touchant. Aucun des personnages secondaires n'est laissé de côté, y compris le chien Zoey, tout timide (je l'aime, ce chien).
On se laisse donc embarquer très facilement par la plume de l'auteur, ses remarques ponctuées d'ironie, son humour décapant et les piques qu'il décroche sans qu'on s'y attende sur la société, comme il aime à le faire. Sa patte est bien là, les fans apprécieront. Une très bonne lecture en somme, on ne voit pas le temps passer et si j'avais un peu redouté d'entamer ce roman parce que ce n'est pas du tout mon style de prédilection, je ne regrette pas d'avoir fait confiance à l'auteur.
A propos du livre :
Un type bien
Un type bien
Par NicolaK le 22 Mars 2022 Editer
NicolaK
Et me revoilà avec mon Dean Koontz, dont je ne m'éloigne jamais très longtemps, il faut dire. Le choix vous appartient nous relate l'histoire de Billy Wiles, qui tient un bar et devient romancier à ses heures perdues. Sa fiancée, Barbara, se trouve dans le coma depuis quatre ans, suite au botulisme, et il lui rend visite chaque jour. Il lui arrive de parler, mais sans toutefois se réveiller... Un jour, Billy trouve un mot sur son pare-brise. S'il ne donne pas ce mot à la police, le messager tuera une institutrice blonde à Napa, s'il le donne à la police, il tuera une dame âgée encore active dans une association caritative. Il a 6 heures pour se décider.
Billy pense trouver une solution en montrant ce mot à un ami flic, Lanny Olsen... mais la ruse ne marche pas et une jeune institutrice est tuée, comme l'a promis l'auteur du message.
Au fil des jours, Billy reçoit de nouveaux feuillets lui proposant toujours des choix à faire, tous plus aberrants les uns que les autres. Meurtre lent ou rapide, avec ou sans torture. Billy se demande si la soeur de Barbara n'a rien à voir avec toute cette histoire qui dépasse l'entendement. En effet, celle-ci aimerait bien qu'il débranche sa soeur. Mais ça reste une hypothèse et au départ, Billy choisit... de ne rien choisir. Mauvaise pioche, puisque les meurtres se poursuivent de plus belle et ses amis commencent à connaître un destin funeste...
Assez raconté l'histoire, je vous laisse découvrir par vous-mêmes. L'écriture est fluide, du grand Koontz, quoi, les chapitres très courts, ce que j'adore personnellement, les personnages sont fort bien décrits et ce qui leur arrive est presque "justifié", le suspense est vraiment prenant, on avale ce bouquin très vite et on n'aimerait vraiment pas être à la place de Billy. Qui peut bien lui en vouloir à ce point ? Le psychopathe qui tire les ficelles joue avec Billy, mais une fois l'effet dévastateur un peu émoussé, celui-ci va réagir.
On se demande quand même tout du long ce qu'on ferait à sa place, parce qu'on se glisse aisément dans sa peau. Vraiment un grand bravo à l'auteur, parce qu'on a notre dose d'adrénaline, de frissons, de tout ce qu'on veut. C'est un bouquin génial.
A propos du livre :
Le choix vous appartient
Le choix vous appartient
Par MillieDi le 14 Mars 2022 Editer
MillieDi
Suite aux morts atroces subies par les victimes, la grande question est : qui-quoi-pourquoi-comment ? Tout le roman est bâti sur le suspens entraîné par cette interrogation. Malheureusement j'ai très vite compris de quoi il retournait.
A partir de là j'ai espéré que l'histoire glisserait vers le noir puisqu'il était question d'occultisme. Mais le récit est finalement resté très sage.
Peut-être novateur dans les années 80 , je l'ai personnellement trouvé très prévisible. J'ai été gênée par sa façon de traiter certaines thématiques, mais sa date de publication y est sans doute pour beaucoup.
Il n'en reste pas moins que ce roman est un véritable page turner. Le style est fluide. L'aller-retour entre les points de vue amplifie encore cette impression.
Je serais curieuse de découvrir un des textes les plus récents de Dean Koontz afin de voir son évolution.
A propos du livre :
Une Porte Sur L'hiver
Une Porte Sur L'hiver
Par NicolaK le 26 Février 2022 Editer
NicolaK
Encore un Koontz qui décoiffe. Bibi Blair, écrivain à succès de 22 ans a un malaise. On l'hospitalise, et un cancer fulgurant, de forme rare, est diagnostiqué. Il ne lui reste plus qu'une année à vivre. Tout son entourage est sous le choc. Elle aussi, mais au lieu de se laisser abattre, elle décide de ne pas y croire.
Un homme étrange accompagné de son chien lui rend visite dans sa chambre d'hôpital et après son départ, les médecins stupéfaits réalisent que son cancer a disparu.
Retour à la maison, grande fête et tout le toutim, mais c'est là qu'on apprend que si Bibi a été épargnée, c'est parce qu'elle a une tâche à accomplir. Sauver Ashley Bell, qu'elle ne connaît ni d'Adam ni de la pomme. Et elle est apparemment la seule à pouvoir le faire.
Dean Koontz frappe très fort encore une fois, parce que tout du long, on ne sait pas si nous sommes dans la réalité ou bien si Bibi imagine tout ce qui se passe.
L'auteur flirte allègrement entre les genres, n'hésitant pas à mêler fantasy et paranormal à l'univers angoissant auquel il nous a habitués.
Certains peuvent se sentir perdus entre rêve et réalité, les personnalités complexes, surtout celle de Bibi, mais moi je l'ai trouvée très attachante et je me suis comme fondue dans son esprit.
Est-ce que sa farouche détermination de vaincre son cancer lui a donné des pouvoirs incommensurables ou bien est-ce qu'elle a tout imaginé, plongée dans le déni ? On passe d'une certitude à l'autre, et il faut se laisser porter sans chercher de réponses. C'est du paranormal, tout ne s'explique pas, après tout. Esprits cartésiens, vous risquez de ne pas trouver votre compte dans ce roman teinté de fantastique qui part un peu en tous sens.
Croyez-vous que la volonté et la force de votre esprit peut faire reculer tout envahisseur de votre organisme ? Si oui, ce roman est fait pour vous.
Personnellement, j'ai adoré.
A propos du livre :
Ashley Bell
Ashley Bell
Par NicolaK le 15 Février 2022 Editer
NicolaK
Ce roman, que j'ai d'abord lu en version originale, a été traduit en français et son titre en est La porte rouge. J'avais rédigé ce retour lors de ma première lecture en VO, et l'ai oublié dans mon cahier. Suite à ma lecture de la version française, j'en ai fait un autre retour, oubliant complètement celui-ci.
Ce qui m'amuse, c'est que je m'aperçois que ma façon d'aborder ce livre et mes impressions sont légèrement différentes d'une version à l'autre, mais pas mon avis, évidemment, alors je me suis dit que j'allais poster celle-ci quand même.
Les instances gouvernementales ont perdu la tête, tous semblent atteints d'une aliénation aussi subite qu'inexpliquable. Le couple de héros, vedettes du roman, sont poursuivis sans relâche parce que bien entendu, il faut les faire taire.
L'un d'eux, Spencer, est tombé amoureux d'une serveuse rencontrée dans un bar. Il se met à fréquenter l'endroit assidûment, mais un jour, elle ne vient pas travailler. Inquiet, il se rend à son domicile, pour s'apercevoir que le SWAT est sur place et qu'ils ne viennent pas gentiment faire la causette.
Spencer et sa chérie s'engagent dans une fuite désespérée pour échapper à leurs poursuivants, sans même comprendre ce qui leur arrive.
Pendant toute la première partie du livre, l'auteur ne nous parle que de Spencer et des secrets qui le hantent. Seul signe visible de ses stigmates intérieurs, une cicatrice.
Nous ne faisons la connaissance de sa chérie poursuivie qu'environ à la moitié du livre, mais cela ne pose aucun problème, puisque les descriptions de la vie du héros suffisent à nous tenir en haleine et à nous prendre aux tripes.Et nous ne connaîtrons la raison pour laquelle la jeune femme est poursuivie qu'en fin de récit.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Dean Koontz n'est pas tendre avec les organismes gouvernementaux et ces gens qui nous dirigent. Je n'aime pas trop la politique (et c'est un euphémisme), mais j'ai trouvé ce roman passionnant.
Comme d'habitude, personnages décrits à la perfection, on adore les gentils, on déteste les méchants et on sait pourquoi, l'atmosphère est assez pesante pour qu'on ait notre dose de sensatons et qu'on s'immerge dans le récit.
Encore une fois, du grand Koontz.
A propos du livre :
* Dark rivers of the heart
* Dark rivers of the heart
Par NicolaK le 15 Février 2022 Editer
NicolaK
Darkness comes (publié également sous le titre Darkfall) est l'un des premiers livres de Dean Koontz. À cette époque, je n'irais pas jusqu'à dire qu'il se cherchait, mais il a écrit dans de nombreux styles, les mêlant volontiers. On a vite vu que l'horreur lui plaisait davantage que l'anticipation, pour notre plus grand bonheur, et ce roman est une véritable réussite.
L'une de ses forces réside dans le fait que la plupart de ses récits sont réalistes, et qu'est-il de plus terrifiant que se dire qu'en fait, tout ce qu'il raconte pourrait arriver.. hormis dans celui-ci, puisque le surnaturel y a une grande place.
Quand on lit ce roman, on pourrait presque le prendre pour un Stephen King, sauf que l'univers de Dean Koontz est beaucoup plus sombre. le King délaie, suggère, fait souvent appel à notre imagination, tandis que Koontz nous met carrément le nez dedans. Il nous plonge la plume au plus profond et touille jusqu'à nous réduire en bouillie.
Dans ce livre, les victimes des meurtres horribles qui se produisent à New York sont tous membres d'une puissante famille de mafieux et la police pense à une rivalité entre gangs. Mais certains faits démentent cette théorie. de plus, les corps semblent avoir été dévorés par un animal d'une espèce inconnue. Histoire de corser les choses, les massacres se produisent dans des pièces ou maisons closes, et aucun signe d'effraction n'est remarqué.
Baba Lavelle, nouvellement arrivé en ville, décide de prendre l'affaire en main et son attention est attirée vers un personnage qui pratique le vaudou et semble aidé par de puissants démons qui font faire le sale boulot à d'autres démons de classe inférieure. En gros, y a du monde là-dedans. Aucun moyen traditionnel n'est susceptible de les atteindre, et le héros de l'histoire doit trouver une façon de fermer cette porte ouverte sur l'enfer.
Encore un très bon Koontz que je ne peux que conseiller aux amateurs du genre.
A propos du livre :
* darkness comes
* darkness comes
Par NicolaK le 14 Février 2022 Editer
NicolaK
Eh bien en voilà un qui n'est pas tout récent, retrouvé dans ma bibliothèque.
Baker St Cyr est un cyber détective dont la particularité est qu'il est une sorte d'ordinateur humain. Cela l'affecte dans son quotidien et le poursuit jusque dans ses rêves. Un milliardaire dont la famille a été assassinée l'engage pour enquêter et retrouver les coupables, puisque la police patauge allègrement et ne trouve aucune piste. Mais les assassinats se multiplient autour de notre ami et ses jours même sont en danger.
Le peu d'indices qu'il recueille le guide vers des humains ayant été transformés en loups-garous. Et c'est là qu'on a la dosette de romance, Baker tombant amoureux de la fille de son client. Nous voilà bien. Mes passages préférés... Notre détective finit par découvrir qui est responsable de tous ces meurtres. Et non, je ne vous dirai pas qui c'est.
L'histoire est plutôt plaisante, pour ne pas dire amusante. On n'est pas sur le qui-vive, on n'est pas terrifiés non plus, j'ai beaucoup souri. Beaucoup de choses étaient un peu prévisibles également, ce qui peut en rebuter plus d'un. Quant aux combats qui viennent en fin de bouquin et le final, ils sont un peu décevants, mais c'est un livre très ancien, ne l'oublions pas.
Je dirais divertissant, mais néanmoins toujours aussi bien écrit.
A propos du livre :
A Werewolf Among Us
A Werewolf Among Us
Par NicolaK le 14 Février 2022 Editer
NicolaK
What the night knows est l'un des meilleurs romans de Dean Koontz. Oui, je sais, c'est ce que je dis de presque tous. Ce livre vous prend aux tripes dès le départ et ne vous lâche pas une seule seconde. Je me suis interrogée tout du long et n'ai vraiment su ce qui se passait qu'à la toute fin. Même si je ne cherche quasiment jamais de réponses et préfère me laisser emporter, dans celui-ci, j'ai essayé en vain de deviner où l'auteur voulait m'embarquer.
John Calvino a survécu au massacre de sa famille lorsqu'il avait 16 ans, commis par Alton Turner Blackwood. Deux décennies plus tard, l'esprit de l'assassin revient "finir le job", et John, devenu détective entretemps ne peut s'empêcher de remarquer la similitude entre ce qui est arrivé à sa propre famille et l'assassinat de toute une autre famille par le plus jeune des enfants. Bien entendu, personne ne croit John quand il narre sa propre histoire et affirme que c'est lui-même qui s'est chargé d'éliminer le tueur de ses proches.Il pense qu'Alton est revenu pour se venger, en s'en prenant à la famille qu'il s'est constituée, femme et enfants.
Comment les protéger contre un fantôme, d'autant que pour passer le temps, celui-ci commet d'autres meurtres aux alentours. Bien sûr, Koontz nous sert de l'action à gogo, mais les descriptions sont également magnifiquement rendues. Encore une fois, la psychologie de chaque personnage est fouillée et on apprend très vite à les connaître.
Si John est comme quasiment tous les héros de l'auteur, l'assassin et l'un des plus cruels de toute l'histoire de la littérature d'horreur. Les rebondissements incessants nous font sursauter à maintes reprises, même si à force on s'y attend. En tout cas, la fin m'a laissée pantelante et je ne m'attendais pas à un tel final. Je croyais ne plus pouvoir être surprise et je me suis trompée. Je n'ai absolument rien vu venir.
Un bouquin impossible à lâcher au point que j'en lisais dehors en marchant quand j'ai dû sortir. Chapeau bas, maître (eh oui, encore une fois.)
A propos du livre :
What the night knows
What the night knows
Par NicolaK le 13 Février 2022 Editer
NicolaK
Dernier tome de la série Jane Hawk écrite par Dean Koontz, celui-ci n'a été traduit en français que récemment, et bien évidemment je m'étais précipitée pour lire ce roman.
Notre Jane court toujours après les Arcadiens, qui injectent des nanoparticules à leurs victimes pour leur laver le cerveau et les réduire à leur merci. On sait depuis longtemps que le mari de Jane s'est suicidé sans raison apparente et qu'elle n'a jamais cru au suicide, tout comme on sait que les manipulateurs sont les responsables de son acte tragique. Jane est donc toujours en cavale, avec pour double objectif, éliminer les coupables et protéger son fils Travis.
Son ami hacker Vikram Rangnekar est toujours à ses côtés. Jane est persuadée qu'un psychopathe milliardaire du nom de Warwick Hollister, finance toute l'opération. Mais un énorme problème vient se greffer à leurs mésaventures, quelqu'un aurait reconnu Travis, et l'angoisse de Jane monte d'un cran. Je ne veux pas trop en raconter parce que la version française venant tout juste de sortir, j'imagine sans mal la déception des fans s'ils étaient spoilés.
On aime Jane. Je crois bien que c'est la protagoniste préférée de tous les romans de Dean Koontz et je suis persuadée que c'était el but recherché par l'auteur, donc bingo. On a tellement tremblé pour elle qu'on est rassurés qu'elle puisse enfin faire confiance à quelqu'un, ou même qu'elle "ose" enfin faire confiance à quelqu'un.
La construction du roman est un peu différente, on voit que l'auteur aura voulu nous apporter toutes les réponses et on voit un tout petit peu moins Jane, mais on n'a pas le temps de s'ennuyer et comme d'habitude avec Koontz, on passe un moment d'exception.
En tout cas le livre termine bel et bien la série et on ne reste pas sur notre faim... bien que certaines rumeurs laissent entendre qu'un sixième tome pourrait bien voir le jour dans un futur indéterminé. Mais ce ne sont que des rumeurs et cette fois, la boucle est bouclée.
Merci Dean Koontz pour ces merveilleux moments.

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