Dean Ray Koontz
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Note moyenne : 7.64/10Nombre d'évaluations : 891
0 Citations 583 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Et bien oui ! Bof ! Pour Dean Koontz qui manie habituellement l'étrange et le dangereux à la perfection. Et là... outre le fait que bon la fin ne m'a pas particulièrement surprise, il y a des exagérations de langage qui appelle un déferlement d'un je-ne-sais-quoi de terrifiant et en fait je n'ai pas été terrifiée...
Afficher en entierUn roman qui semble intéressant au début mais l'intérêt retombe bien assez vite. J'adore cet auteur mais je suis déçu de ce roman.
Afficher en entierJ'avoue que je suis vraiment troublée par cette lecture... Après lecture de la quatrième de couverture, je m'attendais à de la terreur, à un bon vieux policier mais je ne connaissais pas cet auteur. Ce livre a été plein de surprises et a mélangé le fantastique, la science-fiction, les troubles mentaux et le genre policier. J'ai très peu retrouvé la terreur (juste à la fin) et je ne comprends pas trop comment ce bouquin a pu être un best-seller....
Ce "thriller" est assez comique, mais le suspense, comme la terreur, n'est pas au rendez-vous. J'ai dû m'accrocher pour finir ce livre car il part vraiment dans tous les sens.
Les thèmes de l'amnésie, de l'autisme, des anomalies génétiques et de la trisomie 21 m'ont beaucoup plu.
Je ne sais pas si je conseille ce livre mais si vous cherchez un livre qui part dans tous les sens, celui-ci est fait pour vous.
Afficher en entierEn Californie, deux étudiantes en psychologie, Laura et Chyna, sont invitées à passer le week-end dans la résidence des parents de Laura. Si celle-ci a eu la chance de bénéficier d’une enfance heureuse et équilibrée, ce ne fut pas le cas de son amie Chyna qui grandit sans père, avec une mère alcoolique, instable, sans emploi et souvent accompagnée de personnages peu recommandables. Elle a passé toute son enfance et sa jeunesse dans la peur, souvent en se cachant dans les endroits les plus improbables pour échapper aux avances des amis ivrognes ou drogués de sa mère. Accueillie chaleureusement par la famille, Chyna monte se coucher et peine à trouver le sommeil. Et soudain, elle entend un cri strident dans la nuit, suivi d’un bruit de chute bien inquiétant. Elle entend aussi des pas dans le couloir et en conclut qu’un inconnu s’est introduit dans la maison. Elle a l’excellent réflexe de se cacher sous son lit. Un inconnu aux bottes tachées de sang entre dans sa chambre mais ne la trouve pas. Quand le calme revient, elle sort de sa cachette. Mais c’est pour découvrir que toute la famille a été sauvagement assassinée et que son amie vient d’être violée. Le tueur l’embarque dans son camping-car. Chyna s’y glisse également dans l’espoir de sauver la vie de Laura. Mais quand elle s’aperçoit que celle-ci est déjà morte, il est déjà trop tard pour s’enfuir…
« Intensité » est un thriller d’assez bonne facture avec tous les ingrédients du genre : meurtres, tortures physiques et psychologiques, psychopathe aussi inquiétant que répugnant et suspens soigneusement entretenu. Peur et écœurement garantis presque à tous les chapitres. Dommage que tous ces ingrédients ne soient en fait que de grosses ficelles. L’intrigue manque de finesse et parfois même de rythme. Le lecteur tremble avec l’héroïne et est révulsé par le sadisme et la cruauté malsaine du tueur fou. Mais parfois la lassitude vient avec le dégoût. Trop, c’est trop… On patauge un peu trop dans l’hémoglobine et les sanies et tous les ressorts psychologiques sont autant usés qu’outrés. À déconseiller aux âmes sensibles bien évidemment. Mais également aux amis du rationalisme et de la vraisemblance. Sans parler des connaisseurs en psychologie humaine. À vouloir trop forcer le trait, on tombe dans l’outrance et la caricature. L’intrigue démarre assez lentement après une intro bien gore, puis monte crescendo pour une fin dantesque de bataille avec une meute de dobermans dressés à tuer. Dean Koontz est un maître du genre. Il maitrise son sujet. Mais là, il a sans doute trop chargé la mule. Conclusion : pas le meilleur de ses opus !
Afficher en entierDés le début du roman, on est dans l'ambiance, une petite ville de montagne tranquille... beaucoup trop tranquille en vérité ! L'ambiance pesante, angoissante et poisseuse est bien rendue et on est nous aussi transportés à Snowfield. Que se passe-t-il ? Des revenants comme le suggère le titre ou quelque chose de plus sournois. Quelle peut être la nature de l'ennemi de toujours ? Est-ce le Diable ou autre chose ? L'angoisse monte crescendo et j'ai beaucoup aimé découvrir la théorie de Flyte, qui au final n'a rien d'idiot et pousse à se poser des questions. J'ai beaucoup aimé les passages avec les ordinateurs et les moments où ils communiquent avec ce fameux ennemi de toujours. On tremble pour les personnages car on comprend vite que tous ne s'en sortiront pas indemnes et on craint pour Jenny et Lisa. A raison ! L'ennemi de toujours s'avère redoutable et comme les personnages, on est surpris quand il frappe sans crier gare. On passe par toutes les émotions et il faut admettre qu'il faut avoir le cœur bien accroché pour certaines descriptions particulièrement détaillées par l'auteur qui met haut le curseur "horreur".
Ce que j'aime : toute la théorie de Flyte et la nature de l'ennemi de toujours. Les descriptions détaillées et la manière dont l'auteur instille l'ambiance angoissante.
Ce que j'aime moins : j'ai eu du mal avec les deux débiles du coin.
Pour résumer
Un excellent roman d'horreur dont on se dit à la fin que somme toute... c'est possible après tout !
Ma note
8/10
Afficher en entierLes personnages sont trop caricaturaux
Afficher en entierC'est mon 1er Koontz, je l'ai adoré, mon préféré jusqu'ici
Afficher en entierComme toujours cette auteur nous embarque dans le scenario. Un lieu, des gens, un contexte, et bam on est ficelé dans l'intrigue, et on s 'enfonce avec l heroine dans cette enigme.
Et le melange des technologies, pour le meilleur et le pire.. et c est souvent cet aspect dystopiquement dangereux qui retient l imagination.
Jusqu ou la realité nous maitrise t elle sans que nous ne nous en rendions compte apres tout..
Afficher en entierSi je devais décrire ce roman en un mot : long.
Trop long... J'ai déjà trouvé l'écriture lourde et j'ai eu beaucoup de mal a plonger dans le roman car on saute trop d'un personnage a l'autre sans qu'il n'y ait de réel intérêt a avoir les pensés de chacun.
Je n'ai pas réussi a m'accrocher non plus aux personnages qui ne m'ont pas émus plus que ça.
Rien ne m'a convaincu dans ce roman malheureusement, qui n'est finalement pas du tout mon style.
Afficher en entierDean Koontz est un auteur que je qualifierais de visionnaire ou en tout cas de précurseur. Pourquoi me demanderez-vous ? J’ai déjà eu l’occasion de lire plusieurs de ses livres et j’en suis souvent ressortie en trouvant qu’il avait imaginé des thématiques ou des choses, dont on ne parlait pas forcément à l’époque où il l’avait écrit. Mais des années plus tard, elles sont devenues monnaies courantes (notamment lors de la traduction francophone).
C’est encore ce ressenti éprouvé pour « Spectres », son dernier ouvrage paru au format « poche » chez ArchiPoche des Editions de L’Archipel, durant l’été 2023.
« Spectres » est un roman fantastique où une angoisse vous étreindra tout du long. L’ambiance et l’atmosphère, telles que décrites dans la petite station de montagne américaine de Snowfield, vous fileront – j’en suis certaine – des sueurs froides, comme cela a été mon cas. Pourtant je l’ai lu sous les tropiques à près de 30° à l’ombre, fin décembre…
Dean Koontz est un écrivain talentueux pour faire monter son suspens au travers de petits détails (un bruit, une odeur évoquée, …) qu’il laisse soudainement s’échapper, sans que le lecteur ne l’ait vu forcément venir. J’ai vraiment été tenue en haleine tout du long de ces presque 600 pages.
L’habilité de l’écriture de cet auteur est de rendre ses mots de façon très visuelle, donnant l’impression aux lecteurs de regarder un film ou une série. C’est comme si le scénario se déroulait très aisément et qui – de la sorte – serait déjà pensé et imaginé.
Beaucoup de choses y passent comme les mythes et légendes, des crimes horribles, des mystères scientifiques… Franchement, ce livre est palpitant ! Je vous conseille de le lire et de le découvrir au coin du feu, cet hiver en lumières tamisées. Frissons garantis !
Afficher en entierOn parle de Dean Ray Koontz ici :
2018-01-01T12:42:09+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Dean Ray Koontz
et autres évènements
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Editeurs
Pocket : 42 livres
J'ai lu : 13 livres
LGF - Le Livre de Poche : 10 livres
JC Lattès : 10 livres
Albin Michel : 9 livres
France Loisirs : 8 livres
L'Archipel : 7 livres
Robert Laffont : 7 livres
Biographie
Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Everett, Pennsylvanie , le 09/07/1945
Biographie :
Dean Ray Koontz est un auteur américain de fiction à grand succès.
Il est issu d'une famille désespérément pauvre et placée sous la tyrannie d'un patriarche alcoolique et violent. En dépit de son enfance traumatisante, Koontz prit l'initiative de suivre ses études à l'université Shippensburg, de Pennsylvanie et, en 1967 débuta sa carrière en tant que professeur d'anglais à la Mechanicsburg High School. Dans son temps libre, il écrivit son premier roman, "Star Quest", qui fut publié en 1968. Après cela, il s'ensuivit plus d'une douzaine de romans de science-fiction.
Dans les années 1970, Koontz commença à publier des romans grand public de suspense et d'horreur, sous son propre nom ainsi que sous plusieurs noms de plume.
Les pseudonymes connus incluent Deanna Dwyer, K. R. Dwyer, Aaron Wolfe, David Axton, Brian Coffey, John Hill, Leigh Nichols, Owen West, Richard Paige et Anthony North. Certains des romans publiés sous ces pseudonymes sont maintenant vendus sous le véritable nom de l'auteur.
Le roman qui a révélé Koontz au grand public est "La Nuit des Cafards" (Whispers, 1980). Depuis, vingt-deux œuvres écrites par Koontz ont atteint la première place de la liste des best-sellers publiée par le New York Times.
Certains de ses ouvrages sont délibérément en rupture d'impression : Koontz a racheté les droits de publication de plusieurs de ses premiers écrits qu'il considère comme étant de qualité inférieure. Il a cependant suggéré qu'il pourrait éventuellement retravailler et publier à nouveau certains d'entre eux, au moins la collection "Dean Koontz Companion" écrite durant le milieu des années 90.
Amoureux des chiens et des golden retrievers en particulier, il a même publié un livre, "Life is Good: Lessons in Joyful Living" (2004), sous le nom de sa chienne Trixie qui est décédée.
Dean Koontz réside à Newport Beach, au sud de la Californie, avec sa femme Gerda et leur golden retriever.
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