Commentaires sur ses livres

Dean Koontz commence par nous présenter ses personnages, ayant tous vécu des événements particuliers. Seule leur souffrance leur est commune, puisqu'ils ne se connaissent pas. On apprend donc tranquillement à les connaître, voire à s'y attacher et l'auteur nous immerge totalement dans chacune de leurs histoires, faisant grimper la tension. On se sent comme impliqué directement, tout en étant dans le flou total. J'assimilerais ce livre à un puzzle dont on doit laisser les pièces se mettre en place. J'aime bien ce genre de roman, qui nous tient en haleine sans qu'on sache trop à quoi s'attendre.
L'assassin est imprévisible et cela nous apporte notre dose de suspense et de frissons, d'autant qu'on n'a aucune idée de la raison pour laquelle il tue. D'ailleurs, il est à souligner qu'on se pose beaucoup de questions auxquelles nous n'aurons pas les réponses. Le plus étrange est que l'auteur ait cru bon d'ajouter une pointe de fantastique dont le roman n'avait nul besoin à mon sens, mais perdue pour perdue, pourquoi pas. Le personnage principal étant en pleine démence, pourquoi chercher une logique, après tout.
Pour résumer, j'adore l'auteur et sa plume, et j'ai apprécié ce "pavé" très complexe. Hormis l'éternelle lutte entre le bien et le mal, les destins croisés des personnages apportent leur lot de questionnements On plonge dans l'angoisse et la folie, mais avec délectation. Il faut bien prendre son temps et être concentré pour lire ce roman. Rien ne nous est servi sur un plateau d'argent, et les méninges chauffent.
En bref, j'ai adoré.

- Parution : 1986
- Pages : 639

OMG c'était la pire lecture de ma vie bordel ><

Ça faisait longtemps que je ne vous avais pas parlé de Dean Koontz, autre de mes chouchous.
Jour fatal est un excellent roman, trop peu connu à mon avis (lequel n'engage que moi). Nous faisons donc la connaissance du petit Jimmy le jour de sa naissance. Malheureusement, à la même minute, son grand-père trépasse. Mais avant de mourir, papi prend soin de prédire cinq jours d'horreur pour son petit-fils. Chacun de ces jours est minutieusement décrit par l'auteur et le récit nous tient en haleine.
De plus, la narration (par des narrateurs différents) en est très originale, puisqu'on passe de l'humour au drame et du bien-être au plus tragique, ce qui nous fait voyager en mode montagnes russes; à force de moult rebondissements qu'on ne voit pas venir.
Jimmy connaît la date exacte des jours maudits et on pourrait croire qu'il serait plus facile de les éviter, mais c'est loin d'être le cas. La tension et l'angoisse sont rendues sur un ton plaisant, puisque l'humour inégalable de Koontz fait passer toutes les pilules et allège le récit au point que l'aspect brutal de certaines scènes passe presque au second plan.
Une lecture que j'ai adorée et que je recommande.

J'avais ce livre qui traînait dans ma PAL depuis des années et je me suis enfin lancée. Au début je n'ai pas trop accroché, les 40 première pages j'avoue avoir lu un peu en diagonale, je faisais pas trop attention. Puis, quand on est enfin entré dans le vif du sujet, je me suis laissé emporter.
C'est l'histoire de Tina qui a perdu son fils dans un tragique accident, un jour, elle reçoit un message de son fils.
Tina est un personnage fort, elle ne se laisse pas faire et est déterminé.
J'ai bien aimé cette histoire même si j'ai trouvé la fin un peu expédiée.

La vie de Jimmy Tock va connaître cinq événements particulièrement éprouvants, que la plupart des gens n'auront jamais à subir. Là où le concept est merveilleusement original, c'est qu'il connaît les dates à l'avance ! Mais hors de question de rester terré chez soi, le destin trouve toujours le moyen de s'accomplir. Saupoudré d'humour, le récit se lit avec empressement et il aurait même pu être plus long.

J'ai découvert cette série par le tome 3 et devant un tel coup de coeur, j'ai décidé de reprendre tous les tomes. Cette lecture est totalement addictive, un vrai turn-pages, les chapitres d'à peine 1 ou 2 pages défilent à un rythme haletant. Le personnage de Jane est juste parfait à mon goût, on ne peut que s'attacher à elle. Ce qui me fait le plus peur dans cette intrigue, c'est que d'ici quelques temps ça risque de ne plus être de la fiction, le monde hyper-connecté dans lequel nous vivons et l'évolution des nano-technologies nous rapproche d'un monde qui j'avoue ne me tente pas du tout.

Second bouquin de littérature horrifique que j'ai pu lire étant gamin avant même de poser mes mains sur un Stephen King.
Car oui Koontz est le grand rival de King aux États-unis même si il a une notoriété moindre dans notre hexagone.

C'est un très bon livre mais à l'époque je ne devais pas être assez mature pour bien apprécier ce roman, je devais avoir onze ou douze ans.

J'apprécie le travail de Koontz et "La Cache du Diable" est une bonne entrée en matière pour découvrir le style d'écriture de l'auteur.

L'une des qualités de cet auteur c'est de garder le lecteur en haleine dés le début jusqu'à la fin sans aucun temps mort, et c'est là ou parfois le King Stephen m'a souvent épuisé en chapitres entier à décrire des détails ne servant nullement à la suite de l'histoire, mais c'est là un avis perso, je dis bien d'en certains livre car je tire ma révérence pour ce génie de S.King. Mais revenons à D.Koontz car même si comme le dit un lecteur , il c'est inspiré de l'oeuvre de G.Wells , (qui ne s'inspire pas dans ce monde et heureusement d'ailleurs) il là tout de même adapter à ce qui fait notre quotidien et notre avenir, je parle de l'univers cyber ou la technologie envahie de plus en plus le monde qui nous entoure.

Koontz nous entraîne dans une poursuite effrénée et rocambolesque, une course haletante contre le temps, où le suspense et la science fiction sont bien présents, mais jouent un second rôle : s'éloignant un temps du mariage efficace entre le suspense et le fantastique auquel Koontz a habitué ses lecteurs, l'auteur choisit d'ancrer son histoire autour du surnaturel et de la comédie burlesque. Les personnages, (Del et sa mère surtout, mais aussi Mme Phan ) sont d'une originalité déconcertante et dynamisent l'intrigue (bien faible, il faut l'avouer) avec une légèreté et une distance qui fonctionnent bien au grès de quelques répliques aussi piquantes que savoureuses.
Une autre facette de cet auteur qui aime marier les genres littéraires les plus incompatibles et qui nous plonge dans un univers autre, étrange, poétique, effrayant et haletant à la fois. Un bel exercice de style à lire, même si on préfère un Koontz un peu plus... terrifiant.

Mon premier Dean Koontz et probablement pas le dernier, j'ai adoré.

Dévotion est un roman addictif au style simple, fluide et agréable à lire.

Un très bel hommage aux chiens à leur dévouement envers leur maître et à l'amour qu'ils partagent.

C'est aussi un regard touchant sur la différence.

La haine, la folie et la mégalomanie d'un homme vont tuer et mettre en danger beaucoup de monde. Lee Shackett qui a échappé à cette tuerie veut retrouver Megan, mais il aura bien du fil à retordre car c'est une mère prête à tout pour protéger son fils. Ce dernier, Woody, autiste de haut potentiel cherche à venger la mort de son père et a déchainé des tueurs du dark net.

Pendant ce temps, Kipp, un golden retriever, veut sauver Woody et va entrainer Ben Hawkins dans son sillage. C'est un auteur, ancien navy seal, qui sera d'une grande aide. Kipp connecté mentalement avec Woody va devoir dévoiler le secret du mystérium et du circuit.

À Pinehaven, le shériff est corrompu jusqu'à la moêlle, il est zélé, malin, retors, vise un plus haut poste. Pour éviter tout danger il s'est entouré d'une bande d'incapable, arme à double tranchant. Nos amis seront tous seuls face à l'adversité.

Les chapitres sont courts et ça n'est pas du luxe face à un être abject qui pue le mal et l'inflige avec des scènes à la limite du supportable .Tout est très rythmé.

Les caractères des personnages suffisamment travaillés pour qu'on s'y attache. L'autisme, la télépathie, l'amour des chiens apportent beaucoup de tendresse à cette histoire . L'espoir, l'empathie, le souci d'humanité de l'auteur font que ce roman oscille entre thriller, fantastique et merveilleux .

Malgré toute les horreurs commises, les héros ne s'abaisseront pas au niveau de leurs ennemis et la fin sera pour le moins inattendue.

Merci aux éditions L'Archipel pour cette histoire que je ne suis pas prête d'oublier.

#Dévotion#NetGalleyFrance

Entre chasse à l'homme et dérapage scientifique vous suivrez une aventure intense et sanglante.

Très bon tome final. Réponse à toutes les questions et la fin du livre est vraiment bien choisi selon moi. Ça me donne envie de lire d'autres ouvrages de cet auteur!

L'histoire prend son temps pour démarrer, ce qui ne me dérange nullement, mais il faut quand même parvenir jusqu'à la moitié pour qu'enfin le rythme s'accélère.

Ce thriller empreint d'une touche de fantastique se révèle finalement très moyen, tant au niveau du scénario que des personnages.

Blindé de situations convenues, d'un manichéisme grossier et de protagonistes stéréotypés, le suspense en prend un sérieux coup, et c'est avec détachement que cette lecture se déroule.

De peu d'intérêt.

Victor Helios, Frankenstein pour les intimes, ne connaît plus de limites. Ses machines "humaines" remplacent peu à peu toutes les personnalités haut placées, et ils sont impitoyables dans l'exécution de leur tâche.
Seuls pour lutter contre le malfaisant personnage, nos deux inspecteurs rencontrés dans le premier tome, Michael et Carson, n'ont que le géant Deucalion à leurs côtés. Rappelons qu'en fait, il est la toute première créature du milliardaire.
Mais l'armée invincible en laquelle Victor avait toute confiance commence à se rebeller. Ils ont des désirs humains, veulent être "normaux", avoir des enfants, se révoltent... et... la suite et fin dans le tome 3.
On s'y rejoint ?

Roman plein de rebondissements, où se mélangent suspense et fantastique. une grande réussite pour Dean Koontz que cette revisite du mythe de Frankenstein.
L'histoire commence par une présentation de plusieurs personnages qu'on suit au fil des pages. Un géant tatoué et défiguré de 2 siècles, Carson et Michael, inspecteurs de la New Orléans qui mènent l'enquête sur d'horribles crimes, des morceaux de leur corps étant prélevé aux victimes, Arnie, frère de Carson, autiste, Victor, milliardaire qui crée une nouvelle race. Frankenstein, en fait. Et puis on fait la connaissance de certaines des créatures, dotées d'un minimum de conscience, qui s'interrogent sur leurs lacunes à côté des autres humains.
Un très bon premier tome, qui donne vraiment envie de sauter sur le second.