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Héloïse Guay De Bellissen

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Biographie

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Note moyenne : 7.85/10
Nombre d'évaluations : 41

0 Citations 36 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Héloïse Guay De Bellissen

Sortie France/Français : 2020-11-26

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Spika 2020-12-28T18:12:01+01:00
Des mots par la fenêtre

J'ai acheté ce livre pour soutenir les hôpitaux durant le premier confinement. Après... En cette période... Vu qu'il parle beaucoup du confinement... Ça ne remonte pas vraiment le moral.

Entre une élève qui décroche scolairement durant le confinement, la vie pendant le confinement d'une célibataire, les leçons de moral sur l'éducation des enfants (car les parents devraient mettre à profit le confinement et blah blah blah), les nouvelles sur le voyage alors qu'on ne peut plus vraiment partir et que je trouve donc à contre-pied, et celles qui parlent des morts de la peste ou de la grippe espagnole... JOIE.

Bref, il n'est pas spécialement mauvais, et si c'était à faire je le rachèterai pour supporter les hôpitaux, mais je crois que le moment était juste mal choisi pour le lire, car remuant le couteau dans la plaie encore un peu plus.

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Commentaire ajouté par alyssa2410 2021-02-03T16:36:33+01:00
Des mots par la fenêtre

Il n’y a pas a hésité à se procurer ce recueil de nouvelles, une bonne action associée à une cinquantaine de grands noms de la littérature qui ont répondu présent afin d’écrire une nouvelle, un petit texte, une chanson ou un poème au profit des Hôpitaux de France-Hôpitaux de Paris sur le thème de la liberté, l’évasion, l’espoir, et la solidarité. Avec autant de style de texte, dommage que tous n’ont pas profité de tous les thèmes proposés puisque se sont bien souvent les mêmes qui reviennent. De plus, en ces moments où l’on a justement besoin d’évasion, on dénotera que la plupart des auteurs ont plutôt choisi d’écrire un texte personnel aux limites de l’essai plutôt que d’imaginer une histoire dépaysante.

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Le Dernier Inventeur

Septembre 1940, quatre enfants et un chien réalisent le vœu d’une personne comme moi : découverte de LA grotte. La plus fabuleuse qui soit : Lascaux. La narratrice est jalouse de Maria, comme je l’ai été d’eux.

Héloïse Guay de Bellissen va côtoyer Simon Coencas (mort en février 2020) et sa femme dans leur appartement parisien. Un échange plein de tendresse et de confiance où Simon y parlera de ses parents déportés. Un livre court et intense où LA grotte est une personne. Une interprétation intéressante qui renforce ce qui, pour moi, a été la grande découverte du siècle dernier.

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Crions, c'est le jour du fracas

Je connais déjà Héloïse Guay de Bellissen pour avoir lu son roman paru l’année dernière, Le dernier inventeur. Elle revenait sur l'histoire du groupe de jeunes gens qui ont découvert la grotte de Lascaux. J'avais beaucoup aimé ce roman, la façon d’écrire de l'autrice et de relater une histoire. J’étais donc très contente de la retrouver dans ce nouveau roman sorti à cette rentrée littéraire. Une nouvelle fois, elle s'appuie sur des faits réels, et j'aime énormément quand la fiction rejoint la réalité.

 

On va donc suivre ici deux groupes de jeunes gens en parallèle, séparés par cent trente années. Le premier est un groupe de jeunes adolescents, paumés pour beaucoup, orphelins ou petits délinquants, des laissés pour compte. Ils se retrouvent emprisonnés dans un bagne sur l'ile du Levant, en face de Hyères. Officiellement, ce lieu existait pour éduquer les enfants, pour les remettre sur le bon chemin. En réalité,  c’est surtout le moyen de débarrasser les villes de ces jeunes qui dérangent. Comme dans tout lieu où des personnes vivent ensemble, les uns sur les autres, des petits chefs apparaissent, des conflits aussi, jusqu’à en arriver à un drame.

Cent trente ans plus tard, dans les années 1990, on retrouve un autre groupe de jeunes adolescents qui se retrouvent à un endroit qu'ils appellent « la Table ». Ils vont au lycée, sèchent certains cours, se moquent, rigolent, fument des joints, des cigarettes, écoutent Nirvana ou les Pixies. L'autrice fait partie de ce groupe. Un jour, un de leur copains revient d'un cours d'histoire qu'il n'a pas séché et qu'il a même trouvé très intéressant. Dans ce cours, il était alors question des adolescents de l’île du Levant. Et ce jeune de notre époque a trouvé plein de similitudes entre eux et ceux du passé, dans leurs agissements, leurs pensées.

 

Héloïse Guay de Bellissen a eu l’idée de raconter la vie de ces adolescents lors du premier confinement, où, comme les jeunes sur leur île, on pouvait se sentir en prison. Elle a eu la très bonne idée de faire une sorte de comparaison entre les deux époques. Et on se rend vite compte que ce sont les mêmes jeunes, avec les mêmes blessures, les mêmes espérances dans la vie, les mêmes relations avec les adultes. Les punitions ne sont plus les mêmes, quoique le bagne pour enfant n'existe plus, seulement, depuis 1977, c’est quand même encore tout récent. L'autrice parle et raconte avec beaucoup de justesse et de franchise, elle n'embellit rien, même dans les moments les plus cruels, elle reste vraie.

 

Je ne connaissais pas du tout ces faits se passant au temps de Napoléon. Ces faits m'ont beaucoup intéressée. Je me suis beaucoup retrouvée dans les jeunes de notre époque, je ne faisais pas partie de mêmes groupes, mais j'avais des connaissances qui écoutaient la même musique, se comportaient de la même façon, et j'ai beaucoup aimé retrouvé cette ambiance. Celle où les réseaux sociaux n'existaient pas, où les jeunes se retrouvaient entre eux pour discuter, où les téléphones n'existaient pas non plus, c’est un monde complètement autre que ce que l'on connait aujourd’hui. Il n'y a que trente ans qui nous séparent, mais que de changements ont eu lieu dans la vie et dans les mœurs.

 

J'ai beaucoup aimé suivre tous ces jeunes gens, que ce soit en 1860 ou en 1990. Ils m'ont tous marquée. J'ai aimé les surnoms qu'ils se donnent suivant leurs personnalités, le Rom's, Boule de Neige, Alors quoi, etc…que ce soit à notre époque ou avant. Que ce soit au passé ou au présent, certains ont eu des destinées tragiques. L'autrice parle de ses amis avec beaucoup d’émotion. Le titre « Crions, c’est le jour du fracas » a été prononcé par un des jeunes de l’île quand ils se sont soulevés et provoqué une révolte, et on se rend compte que ces mots auraient pu être prononcés en 1990 ou même maintenant….finalement, la jeunesse se ressemble à travers les âges et les siècles...

J'ai également beaucoup aimé la construction du roman. Les chapitres alternent entre les jeunes de l’île du Levant et ceux de 1990. La narration est double, et ça j'ai adoré, ça correspond tout à fait à ce qu'a voulu faire l'autrice. Les parties se passant dans le passé sont écrites à la troisième personne du singulier, celles se déroulant en 1990 sont à la première personne du singulier. Ce qui est tout à fait logique puisque l'autrice se raconte. Ce « je » m'a permis de me mettre encore mieux dans la peau de l'autrice, de ressentir ses émotions, ses joies, ses peines, j'ai pu ainsi vivre au sein de son groupe de copains et j'ai eu l’impression de faire un bond dans le passé et de me retrouver dans mes propres années lycée. Mes souvenirs se sont mêlés aux siens, pour mon plus grand plaisir.

 

Les chapitres sont intercalés avec des extraits du jugement et des dépositions faites après le drame que l’île du Levant. Ce sont des vrais, l'autrice a fait des recherches à Draguignan. On sent d’ailleurs tout son travail de recherche pour relater avec le plus de justesse possible les faits. En plus de ces extraits, il y a aussi des phrases de chansons qui ont marqué l'adolescence de l'autrice. Tout est fait pour mettre dans l'ambiance, soit du passé soit du présent. J’ai aussi aimé le personnage insolite représenté par le feu, qui prend la parole pour expliquer sa fonction dans la vie humaine.

 

Le livre s'est lu rapidement et facilement. Le sujet m’intéressait beaucoup d'une part, et la fluidité du texte a beaucoup aidé d'autre part. C’est un sujet que j'ai rarement rencontré, que je ne connaissais pas bien. C’est troublant de se rendre compte que de tels endroits existaient pour des enfants qui auraient pu mieux tourner s'ils n’étaient pas passé par là. Les chapitres courts et leur alternance donnent beaucoup de rythme à la lecture et le sujet est tellement passionnant que j'ai eu beaucoup de mal à quitter mon livre qui s'est lu presque d'une traite.

 

C’est le second roman que je lis de Héloïse Guay de Bellissen et il confirme ma première très bonne impression. C’est une autrice que je vais continuer de suivre avec beaucoup d’intérêt et de plaisir. Si j'ai le temps, je lirai un de ses anciens romans, sinon, je serai au rendez-vous de sa prochaine parution. Je ne sais pas si elle s'inspirera à nouveau de faits réels, mais en tout cas, elle les relate très bien. Elle montre avec beaucoup de justesse les ressemblances entre ces deux jeunesses, leur vulnérabilité, leur force, leurs envies et toute l’espérance qu'ils mettent dans la vie et que les adultes savent casser si facilement.

J’aime quand mes lectures ont ce double rôle de me divertir et de me pousser à la réflexion, ces livres sont marquants pour moi, j'aime alors les relire, les prêter pour que d'autres aient connaissance de pans de l'Histoire peu connus.

 

Pour tout ça, je ne peux que vous conseiller ce roman. Si vous ne connaissez pas encore Héloïse Guay de Bellissen, n’hésitez pas à le faire, c’est une autrice à lire. Pour ma part, j’attends déjà le prochain avec impatience.

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Crions, c'est le jour du fracas

Voilà une histoire qui, comme j'aime, démarre sur les chapeaux de roues !

Héloïse Guay de Bellissen, l'esprit vagabond pendant le confinement, s'est rappelée son adolescence à La Seyne-sur-Mer dans le années 90 avec ses potes, leur esprit rebelle, leur soif de liberté et puis l'évocation de l'histoire de la colonie pénitentiaire de l'île du Levant lui est revenue, ce bagne pour enfants... une centaine d'années auparavant, des enfants à l'esprit parfois rebelle étaient envoyés arbitrairement dans des colonies pénitentiaires. le parallèle était fait, le récit pouvait commencer.

Trois narrateurs se succèdent :

Le feu, celui qui réchauffe, purifie, mais aussi détruit tout.

Héloïse elle-même, adolescente en révolte contre la société.

Boule de neige, enfant bagnard de treize ans, livré en pâture à un "no future" instauré par une structure sociale inique et indécente.

L'autrice alterne les chapitres entre sa "carrière" d'adolescente et le sort des enfants dont la société s'est débarrassée au XIXème siècle en se donnant bonne conscience, et le tout entre en résonance.

Grâce à ses recherches aux Archives départementales de Draguignan, elle a réussi donner corps à ces pauvres gosses rejetés, à les faire revivre, à les faire exister pour nous au XXIème siècle, à leur rendre leur nom.

Ce roman parle d'une réalité historique totalement révoltante pas si loin de nous, parce qu'en fait c'était quasiment hier...

C'est un livre qui se dévore, qui nous parle d'une époque passée qui ne protégeait pas ses enfants, mais aussi, plus près de nous, de la génération grunge, ces ados mi Peter Pan, mi Gremlins qui ne voulaient pas grandir, pas ressembler à leurs parents avec leurs vies absurdes.

L'écriture est vraiment belle, très rock, à l'image de l'autrice.

J'ai adoré le rythme narratif d'Héloïse Guay de Bellissen, qui m'a rendue nostalgique de ma propre adolescence, et ça c'est vraiment un exploit car c'est une période de ma vie que je n'ai pas vraiment aimée... et l'analogie ainsi que les antagonismes faits avec ces enfants que la société avait jetés aux oubliettes.

C'est un livre qui vous avale dès la première page mais ne vous recrache pas à la fin car je suis bien convaincue que tous ces adolescents vont m'habiter encore longtemps.

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Le Roman de Boddah

J'étais le public parfait pour ce livre, et je ne comprends pas très bien pourquoi je ne l'ai pas tant apprécié que cela. Pourtant, "sur papier", tout me plaisait ! Mais voilà, cela n'a pas marché pour moi. Je ne peux le nier : l'écriture est originale et fluide, et nous transporte certainement dans une autre période, du moins un autre cadre de vie. Il se lit facilement et rapidement.

Cependant, quelques petits points m'ont fait tiquer dès le début de la lecture, et c'est sans doute pour cela que je n'ai pas pu rentrer dedans pleinement. Je pense ici notamment où Boddah, ami imaginaire de Kurt, décrit Tracy, la petite amie (réelle) du chanteur comme un "cochon". Dans tous les cas, que le personnage soit inventé ou non, qu'elle soit grosse ou non, le fait de parler d'une femme que l'on présente comme "rondelette" comme un cochon m'a fortement gênée. C'est peut-être pour cela que je n'ai trouvé aucun personnage de véritablement attachant tout au long de la lecture.

Ce livre m'a peut-être tout simplement trouvé à un mauvais moment, et je l'aurais peut-être mieux apprécié dans d'autres circonstances. Dans tous les cas, c'est une lecture qui marque et dont l'originalité doit être notée.

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Le Dernier Inventeur

Moi qui pensai changer d'horizon, voilà que sans le faire exprès je suis encore en phase avec @lemoislitterart puisqu'il est question ici d'art pariétal. L'art de la nuit des temps.

Ce que j'aime avec Héloïse Gay de Bellissen c'est qu'on entre immédiatement dans le vif du sujet, dès les premières lignes. Et puis elle s'adresse à chacun de nous quand elle écrit. Là, elle me l'a racontée à moi l'histoire des découvreurs de Lascaux, plus précisément les inventeurs comme on doit dire, avec Simon le dernier encore en vie des quatre copains qui sont tombés un jour par hasard sur ce témoignage du lointain passé.

L'autrice donne la parole à la grotte de Lascaux à chaque début de chapitre mais pas que… La grotte parle du monde et à ceux qui vont la découvrir : Je suis légataire du passé et maîtresse du devenir. J'étais une âme en attente avant de vous connaître.

Le récit fait des allers-retours dans l'histoire. La préhistoire, la guerre et l'horreur de la shoah qui s'est invitée dans la vie de Simon, pendant les années 40 avec la découverte de la grotte, et le présent. J'ai été touchée par la magie qu'on ressent en présence de ces peintures rupestres, mémoire de l'aube de l'humanité. Il y a quelque chose de tellement émouvant, comme si on pouvait traverser les couloirs du temps, presque sentir la présence de ces artistes des temps immémoriaux.

Ce roman est un mélange de scènes du quotidien, des horreurs de la guerre, et de l'état de grâce que procure la découverte de la mémoire de l'humanité, préservée bien à l'abri du monde en furie, sous la terre.

C'est une belle histoire d'amitié, de découverte et de communion avec l'humanité d'il y a des millénaires.

Les moments d'échange avec "le petit Simon", quatre-vingt-onze ans en 2018 au moment des entretiens avec l'autrice, alors qu'il en avait treize à la découverte de la grotte, sont des moments de belle complicité, heureux qu'il est de partager ce qu'il a vécu.

Le beau et le laid se côtoient, la magie de la découverte et l'horreur des déportations, Drancy, Auschwitz, ses proches qu'on n'a jamais revus, la barbarie…

Cette lecture a été remplie d'émotions, comme si bouillonnait tout au fond de moi la mémoire de nos lointains ancêtres et que les descriptions de la grotte, faites par elle-même et par ses découvreurs, faisaient entrer en vibration. J'aime ce qui représente la mémoire de l'humanité, toutes les traces qu'ont pu laisser nos ancêtres, des calvaires à la croisée des chemins et des cathédrales, aux Bouddhas géants en passant par les pyramides, jusqu'à ces grottes recouvertes d'art pariétal. Pas vous ?

La poésie est partout dans ce récit, jusque dans le dialogue entre la grotte et la mort... et cette espèce de danse effrénée entre hier et maintenant où tous s'y retrouvent.

Un très bon moment de lecture qui m'a redonné le sentiment de faire partie d'un Grand Tout avec mes frères et sœurs humains, et pourtant les humains ne sont pas mes animaux préférés.

À part ça ?... Je connais Riboux XD !

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Lettre à ce prof qui a changé ma vie

En dépit des bonnes intentions de ce recueil, j'ai trouvé cette compilation de lettres peu originale. De rares récits sortent vraiment de l'ordinaire, comme ceux de Sophie Blandinières, Rokhaya Diallo, Mathias Malzieu ou encore Thibaud de Montaigu, mais beaucoup demeurent hélas sans surprise ni grande émotion.

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Des mots par la fenêtre

Il y a 3 ans, dans la période compliquée que l'on vivait, j'ai fait une bonne action en achetant ce recueil de nouvelles et je n'avais pas encore pris le temps de le lire... Dans l'idée de descendre un peu ma PAL, je l'ai enfin sorti.

Entre nouvelles, poèmes et quelques autres formes, ce recueil est très hétérogène au niveau de la qualité. Sur une bonne soixantaine de textes, seuls neuf textes m'ont vraiment touchés et tiré leurs épingles du jeu.

Les textes qui m'ont le plus marqué dans ce recueil sont la nouvelle Libertalia ou les mémoires du Salétin d'Henri Loevenbruck qui m'a donné envie de reprendre sa saga Le Loup des Cordeliers et la magnifique ode à la nature de Jim Fergus.

Les autres textes qui m'ont touché sont les appels à la liberté de Françoise Bourdin et Françoise Bourdon, l'escapade dans la cabane de Julien Dufresne-Lamy ou encore l'évasion d'Isabelle Filliozat. De son côté, la sentence de Karine Giebel était poignante !

Et enfin, Anne Icart a su toucher mon coeur avec Philo, son frère qui pour moi était un peu de mon oncle, de ma tante et de toutes ces personnes que je connais et pour qui cette époque n'a pas été simple du tout à vivre.

Une lecture solidaire qui m'a permis de découvrir des plumes vers lesquelles je ne me serai peut être jamais tournée, mais qui m'a aussi confortée dans le fait que certaines plumes ne sont pas pour moi...

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Lettre à ce prof qui a changé ma vie

j'ai décidé que je ne lirais que les lettres dont l'auteur m'intéressait. D'où une première fournée.

Albert Algoud, ancien prof, pour évoquer une coïncidence inattendue.

Jul (je ne sais pas qui c'est précisément), pour la meilleure des lettres que j'aurais lues dans cet ouvrage. Elle n'est pas construite puisque c'est une énumération, mais elle est tellement attachante et nous montre quelqu'un qui s'attache.

Plantu, pour ses planches vivifiantes.

Sylvie Testud : l'exposé sur le chewing-gum et ce prof inventif qui distribue, comme d'autres les remarques, des exposés à faire en 48 heures (c'était signifiant avant Internet).

Bernard Werber : lettre trop courte et trop auto-centrée.

J'en avais fini de mes choix, et me suis dit qu'il fallait faire un second round. D'où :

Charles Berling : gros bof.

Nicolas Beuglet : enfant, il lisait des livres dont vous êtes le héros !

Nicolas Mathieu : lettre pas vraiment passionnante.

Peut-être ferai-je bientôt un 3ème round, pour les auteurs qui suscitent le moins ma curiosité...

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Dédicaces de Héloïse Guay De Bellissen
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Editeurs

Pocket : 3 livres

Robert Laffont : 2 livres

Les Editions de l'Opportun : 2 livres

Fayard : 1 livre

Anne Carrière : 1 livre

Flammarion : 1 livre

12-21 : 1 livre

Editions Seghers : 1 livre

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