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Ludmila Oulitskaïa

Auteur

Russie Né(e) le 1943-02-23 ( 81 ans )
91 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par anonyme 2012-11-14T22:24:11+01:00

Biographie

Nationalité : Russie

Né(e) à : Davlékanovo (République de Bachkirie) , 1943

Biographie :

Ludmila Outliskaïa (en russe : Людмила Евгеньевна Улицкая) est née au sud de l'Oural, où ses parents moscovites se sont réfugiés pendant la guerre.

Elle suit des études de biologie à Moscou dans les années 60. Plus tard, elle perd sa chaire de génétique quand les autorités soviétiques s'aperçoivent qu'elle prête sa machine à écrire à des auteurs de samizdat.

Elle se consacre alors à l'écriture, d'abord pour la radio et le théâtre. Elle collabore un temps au Théatre musical juif. Dans les années 80, elle écrit des nouvelles. Mais il lui faudra attendre le démantèlement de l'Union Soviétique pour être véritablement reconnue et publiée.

Son premier roman publié en Russie, Sonietchka, paraît dans le magazine littéraire Novy Mir en 1992. Ses œuvres sont largement traduites et diffusées à l'étranger, principalement en Allemagne. En France, elle est publiée dès la fin des années 80 chez Gallimard.

En 1996, à Paris, elle reçoit le prix Médicis étranger pour Sonietchka. Le prix Booker russe lui est décerné pour Le Cas du docteur Koukotski en 2001. En 2005, elle est distinguée par l'Académie allemande de littérature pour la jeunesse (Deutsche Akademie für Kinder- und Jugendliteratur).

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.13/10
Nombre d'évaluations : 38

2 Citations 17 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Ludmila Oulitskaïa

Sortie France/Français : 2022-04-07

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par pujols 2018-07-18T09:04:18+02:00
Le Cas du docteur Koukotski

On a déjà beaucoup écrit sur la rencontre amoureuse. Mais la façon dont la romancière russe Ludmila Oulitskaïa fait rencontrer à son héros celle qui deviendra sa femme, à la page 22 du livre, renouvelle puissamment le genre : à la fois par l'originalité et par un humour acide et précis qui enchantera tout le récit.

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Contes russes : Pour enfants

Pas mémorable mais sympathique, y a le rythme du conte, l'écriture est agréable. Peut être qu'une ou deux histoires de plus aurait été appréciable.

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Commentaire ajouté par Sashenka 2019-01-12T15:00:15+01:00
L'Échelle de Jacob

Un mariage ne repose pas sur des timbres-poste.

En s’inspirant de la correspondance de ses propres grand-parents, Ludmila Oulitskaïa - grande autrice russe - nous livre ici un roman poétique et bouleversant. Plusieurs histoires, plusieurs temporalités se recoupent. Tout débute avec Nora : la naissance de son fils et en parralèle, la mort de sa grand-mère. Elle hérite de cette dernière une malle, contenant un carnet, et des lettres.

Alternent alors les multiples histoires de ce roman : celle de Jacob et de Maria, dont la relation amoureuse est dévoilée à travers une correspondance soutenue au fil des années. Deux vies, deux âmes qui n’aspiraient qu’à être unies, et que les événements politiques des années 30 auront séparés à jamais. Celle de Nora, leur petite fille, une jeune mère dont le mari est en fait un ami, et l’amant marié à une autre. Celle de Yourik, le fils de Nora, qui hérite du génie de son père mais qui, tout comme Jacob, n’a qu’une grande passion : la musique. Et puis finalement, la naissance d’un nouveau Jacob, le fils de Yourik. Les personnages sont très soignés, et occupent une grande place dans le roman. Ludmila nous dévoile leur personnalité de manière subtile, rien d’artificiel, tout en finesse.

Mais si les personnages occupent une place centrale, si leur personnalité est valorisée, le point fondamental du roman, c’est l’ ”essence”. Celle qui “erre à travers les générations, d’individu en individu, et qui donne l’illusion de l’individualité”. “Elle, Nora, la seule et unique Nora, voguait sur un fleuve avec derrière elle, se déployant en éventail, [...] une suite sans fin d’ancêtres anonymes des hommes et des femmes qui s’étaient choisis par amour [...] par calcul, sur l’injonction de leurs parents, qui avaient produit et protégé une descendance [...] afin de la produire elle, Nora, et elle, elle produisait son seul et unique Yourik, et lui produisait encore un petit Jacob, et cela donnait une histoire sans fin à laquelle il était si difficile de trouver un sens, bien qu’il palpitât clairement en un fil ténu”.

Les palpitations politiques de la Russie - révolution de 1917, Grande Guerre patriotique, Grande Terreur, Guerre de Tchétchénie - sont évoquées, mais l’autrice ne s’y attarde pas plus que cela, le plus important étant l’impact de tous ces soubresauts sur les personnages.

Ce roman s’appuie sur une toile de fond culturelle fantastique. Nora étant scénographe, l’œuvre regorge d’analyses et de références littéraires, mais également musicales, et même mathématiques ! Ce genre de mise en abîme me subjugue particulièrement, et il m’est arrivé à maintes reprises de stopper ma lecture pour écouter un passage de Rachmaninov ou Stauss (dont parle Jacob dans ses carnets).

Si je n’ai pas été transportée de manière égale tout au long du roman, je conserve de l’ensemble une impression extrêmement positive. Il se dégage de l’œuvre une atmosphère de créativité et de curiosité que je ressens rarement. Le style d’écriture, du moins la traduction de Sophie Benech est parfaitement adaptée au récit : beaucoup de subtilité et de poésie, mais surtout une grande fluidité : rien de pompeux.

Pour conclure, l’échelle de Jacob a été pour moi un véritable coup de cœur. Non seulement les références culturelles m’ont transportées, mais les personnages soignés ont su me convaincre, de même que la qualité d’écriture de l’autrice, qui non seulement a un style agréable, mais mène son récit avec brio, sans jamais nous perdre entre les temporalités et les histoires.

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La Maison de Lialia et autres nouvelles

Malgré une très belle écriture, je n'ai pas accroché à ce recueil. Je me suis perdue dans chaque nouvelle.

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Commentaire ajouté par Nausicaa_Npa 2020-08-16T16:43:34+02:00
Sonietchka

J'aime toujours autant découvrir des auteurs russes : je trouve que les personnages sont souvent tout en pudeur et la plume est assez poétique.

Ici on ne déroge pas à la règle en suivant la vie de Sonia. On nous la présente comme une amoureuse des livres mais ce trait s'estompe très vite (dommage, c'était vraiment très intéressant).

On y suit la rencontre avec son mari, la naissance de sa fille et la rencontre d'une amie orpheline de sa fille. C'est ce "tournant" qui va donner un peu de "caractère" à l'histoire qui était malheureusement assez plate.

Au final, c'est un ouvrage que j'ai bien aimé et qui me donne envie d'en découvrir plus sur cette autrice.

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Commentaire ajouté par corinne18 2021-03-29T19:42:27+02:00
Les Pauvres Parents

Des appartements moscovites aux séparations aléatoires, remplis de courants d'air, d'odeurs de cuisine et de meubles disparates. Des immeubles crasseux, des cours intérieures flétries. Pas vraiment la misère mais une pauvreté contenue, presque entretenue. Dans l'univers de ces femmes (car ce sont elles les personnages centraux) tout est bancal, banal, on pourrait même penser sordide. Elles se promènent sur le fil du quotidien d'un pas incertain mais pourtant solide. Mendiantes, femmes infidèles, abandonnées, presque indigentes, femmes âgées ou jeunes filles, elles tourbillonnent dans l'écriture de Ludmila Oulitskaïa. Elles sont attachantes, souvent drôles, fantasques, débrouillardes, d'une fatalité pragmatiques et cocasse ; les hommes sont de la même tenue, à la fois terre-à-terre et improbables. Tous ont l'air de vivre des évènements extraordinaires alors que leurs préoccupations et leurs agissements sont d'une banalité affligeante. J'ai aimé ce léger décalage, la teinte moirée d'une allusion fantastique dans l'écriture de Ludmila Oulitskaïa. Elle décrit des histoires d'amour contrariées et idylliques, des couples au long cours ou fraichement unis faisant face aux mouvances inéluctables de la vie, des familles bousculées et foutraques où parfois le rêve, l'évasion prend le dessus d'un quotidien fade et usant. Ces tableaux de famille se situent après-guerre. Pas d'écriture proprement politique, le sens des situations, le descriptif minutieux des lieux, des personnages et de leur état d'esprit suffisent à dessiner subtilement l'atmosphère étatique du pays. Est-ce une folie douce qui anime Bronka, Lialia, Goulia, Assia et les autres ? Comme si, en définitive, c'était le seul remède à leurs aspirations déçues, à ce quotidien mièvre et dur, à leurs déceptions sentimentales ou familiales. Je reviendrai dans l'univers de Ludmila Oulitskaïa, que je ne connaissais pas, j'aime son écriture franche, lumineuse ; avec un humour qui souvent retient des larmes....

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Commentaire ajouté par corinne18 2021-04-01T20:01:33+02:00
Les Pauvres Parents

Des appartements moscovites aux séparations aléatoires, remplis de courants d'air, d'odeurs de cuisine et de meubles disparates. Des immeubles crasseux, des cours intérieures flétries. Pas vraiment la misère mais une pauvreté contenue, presque entretenue. Dans l'univers de ces femmes (car ce sont elles les personnages centraux) tout est bancal, banal, on pourrait même penser sordide. Elles se promènent sur le fil du quotidien d'un pas incertain mais pourtant solide. Mendiantes, femmes infidèles, abandonnées, presque indigentes, femmes âgées ou jeunes filles, elles tourbillonnent dans l'écriture de Ludmila Oulitskaïa. Elles sont attachantes, souvent drôles, fantasques, débrouillardes, d'une fatalité pragmatiques et cocasse ; les hommes sont de la même tenue, à la fois terre-à-terre et improbables. Tous ont l'air de vivre des évènements extraordinaires alors que leurs préoccupations et leurs agissements sont d'une banalité affligeante. J'ai aimé ce léger décalage, la teinte moirée d'une allusion fantastique dans l'écriture de Ludmila Oulitskaïa. Elle décrit des histoires d'amour contrariées et idylliques, des couples au long cours ou fraichement unis faisant face aux mouvances inéluctables de la vie, des familles bousculées et foutraques où parfois le rêve, l'évasion prend le dessus d'un quotidien fade et usant. Ces tableaux de famille se situent après-guerre. Pas d'écriture proprement politique, le sens des situations, le descriptif minutieux des lieux, des personnages et de leur état d'esprit suffisent à dessiner subtilement l'atmosphère étatique du pays. Est-ce une folie douce qui anime Bronka, Lialia, Goulia, Assia et les autres ? Comme si, en définitive, c'était le seul remède à leurs aspirations déçues, à ce quotidien mièvre et dur, à leurs déceptions sentimentales ou familiales. Je reviendrai dans l'univers de Ludmila Oulitskaïa, que je ne connaissais pas, j'aime son écriture franche, lumineuse ; avec un humour qui souvent retient des larmes....

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Commentaire ajouté par paperborn 2021-06-17T14:32:41+02:00
Ce n'était que la peste

Un récit historique très intéressant et d'actualité, avec des descriptions cliniques de décors, personnages et situations, qui nous interroge sur une question importante : entre un régime totalitaire oppressant ou la force inarrêtable de la nature, que devons-nous craindre le plus ?

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Commentaire ajouté par Sashenka 2021-08-23T16:02:58+02:00
Médée et ses enfants

Contrairement à la mythique Médée, celle de Ludmila Oulitskaïa n’a jamais eu d’enfants, ce qui ne l’empêchera pourtant pas d’être le cœur d’une famille nombreuse et unie. Avec délicatesse, l’autrice nous livre le récit de cette famille grecque de Crimée dans les années 1970, dépeignant avec subtilité quantité de personnages originaux, attachants, dont aucun ne ressemble à aucun autre, et chacun sonne si juste et si réel. Ludmila Oulitskaïa, généticienne de formation, affectionne particulièrement ce thème, et s’attache à travailler l’essence qui erre à travers les générations, d’individu en individu. Les membres de la famille ne sont pas de simples figurants dans l’histoire de Médée, chacun à son tour est le point central de l’histoire, et chacun est révélé dans son individualité et dans son appartenance à la collectivité. Ce travail artistique - presque scientifique - aboutit parfois sur quelques longueurs dans le récit, une généalogie complexe qui freine la lecture,certains passages un peu lassants ; mais dans l’ensemble, le roman est séduisant et agréable à lire.

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La Soupe d'orge perlé et autres nouvelles

Trois nouvelles qui sont peut être plus intéressantes dans le recueil complet "Un si bel amour et autres nouvelles". C'est la première fois que je lis des nouvelles russes. Je ne suis pas particulièrement convaincue mais j'essaierai tout de même de me procurer le recueil initial qui est peut-être plus complet.

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On parle de Ludmila Oulitskaïa ici :

Les 2èmes journées du livre russe
2011-01-11T21:45:02+01:00

Dédicaces de Ludmila Oulitskaïa
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Gallimard : 16 livres

Folio : 1 livre

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