Nancy A. Collins

L'histoire en elle-même est assez intéressante, mais elle ne m'a pas transportée.

C’est un petit événement dans ma vie, puisque j’ai enfin trouvé un roman de Nancy Averill Collins. Depuis la claque nommée « Garouage », je n’avais qu’une envie, m’enivrer de ses écrits. J’ai réussi à débusquer « Le loup debout », un autre de ses textes sur la lycanthropie, un genre que j’affectionne tout particulièrement.

Un récapitulatif est nécessaire. Nancy Averill Collins est une auteure de Fantastique – au sens noble – et d’Horreur. Elle est à mon sens l’une des meilleures dans ce genre. Après avoir écumé ce genre de long en large, je peux affirmer qu’ils sont peu à pouvoir se vanter d’exceller dans ce genre. À mon sens, Graham Masterton, Clive Barker, Nancy Averill Collins, éventuellement Bentley Little – mais je n’ai lu qu’un livre de lui – sont les seuls. Cela dit, je n’ai pas lu Patrick Senécal. Et Stephen King, me direz-vous. Hé bien lui, c’est plus de l’Épouvante, tout comme Howard Philip Lovecraft. Ces deux thèmes sont différents.

Une femme mutilée, un nourrisson seul survivant de ce carnage, c’est comme cela que découvre un guerrier Comanche. En cet être si frêle se cache une bête.

L’histoire est narrée à la première personne. Elle nous relate cette époque sanglante du génocide par les colons américains sur les tribus indiennes. C’est également le récit de ce lycanthrope qui ne sent pas réellement chez lui parmi les hommes.

C’est un véritable coup de cœur, une fois de plus. Nancy Averill Collins écrit peu, mais c’est de la qualité. Ces petits mets se dévorent et dès que l’on arrive au terme, on ressent de la frustration. On aurait aimé davantage. Avec elle point de censure, c’est souvent trash. Ici, l’auteure aborde une période sombre de l’histoire de l’humanité avec cette croisade de l’homme blanc pour conquérir un territoire qui ne lui appartient pas. Au passage, j’apprécie tout particulièrement la richesse historique – bien qu’elle prenne plus d’importance que sur le récit vers la fin –, mais surtout le Fantastique avec ces chamans et leur don de clairvoyance. J’aime beaucoup Graham Masterton dont ses textes s’inspirent de mythologie, mais Nancy Averill Collins va encore plus loin, pour notre plus grand bonheur.

On notera une fois de plus, la médiocrité de l’Éditeur J’ai lu pour sa flemme d’insérer un résumé alléchant pour nous coller un extrait sur la quatrième de couverture.

Période vaste de la littérature de l’Horreur, les années ‘80 et ‘90 nous lèguent une de très belles pépites. Nancy Averill Collins est une très grande Auteure. Ce livre est excellent, même si je le trouve un poil en deçà de « Garouage ». Toutefois, j’ai ressenti des frissons d’extase, chose que je n’avais pas eue depuis « Le seigneur des guêpes » de Iain Banks.

Des personnages drôles ou vaniteux, du vocabulaire vampirique, des disputes, des révélations énormes, une mort inattendue... J'ai bien aimé ce livre. J'aime beaucoup le contraste entre les personnages: la blonde pétasse, l'intello ultra gentil, son cousin le beau gosse... C'était un très bon livre plein de rebondissement qui m'a énormément plu.

J'ai acheté ce livre depuis un bon moment et ma cousine me l'a sortit de ma PAL. Je n'en attendait pas grand chose et bien de ce coté, je n'ai pas été déçut. Les personnages sont plats et inintéressant, l'histoire, si il y en a une, est inexistante pour le moment. Le roman est bourré de cliché. Bref, 220p qui ne servent à rien et qui ne resteront pas graver dans ma mémoire.

J'ai eu du mal à accrocher à ma lecture. J'ai un l'impression de tomber sur un remake de Gossip Girl en mode vampirique. Et le mode petite princesse là ça m'a exaspérer et j'ai abandonné ma lecture.

J'ai Lu une traduction remplie de fautes d'orthographe et de grammaire. Malgré tout, l'intrigue est surprenante ! C'est une nouvelle facile à lire vite fait !

L'histoire est basique j'ai passé un moment divertissant, les personnages sont la bonne chose de l'histoire.

à réserver aux aficionados du genre

On ne peut pas dire que ce soit un chef d'oeuvre, je me suis largement ennuyée pendant deux cent pages, une lecture à peine divertissante tant les clichés ce sont enchainés. Un roman de pure chick-lit aux accents vampiresques. Je ne sais pas si je lirai la suite. Ce qui ne me donne pas non plus envie de m'attarder sur le commentaire. Le concept aurait pu être intéressant s'il n'avait pas été aussi brouillon et si les personnages n'avaient pas été aussi détestables.

Un premier tome sympathique qui prend le temps de mettre en place l'univers et les personnages.

Lilith est un personnage peu attachante et exaspérante mais l'arrivé de Cally fait que le personnage évolue même si on ignore encore dans qu'elle sens.

Alors que Lilith est un personnage que l'on aime détesté, Cally est de plus en plus attachante. Leurs relation évolue peu dans se tome, tandis que l'on ne vois pas comment l'histoire d'amour de Cally pourrait bien se terminé.