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—Engagement—
Le principe de la pièce est assez simple : Deux jeunes gens de l’aristocratie sont destinés à se marier sans se connaître. Ils vont donc décider, sans se concerter, de prendre la place de leurs domestiques respectifs pour pouvoir observer le vrai visage de leur promis. Les maîtres deviennent donc les domestiques - et les domestiques deviennent les maîtres.
C’est ce speech de départ qui m’a intriguée, puisque ce n’est pas quelque chose que l’on lit souvent, surtout pour une œuvre du début du XVIIIe siècle. Marivaux remet ainsi en question la notion de place dans la société et de notre rang induit par la naissance - tout en mettant en lumière l’impossibilité d’un amour entre deux personnes de différentes classes sociales, mais aussi un certain féminisme. C’est important, et je dois dire que c’est plutôt réussi de la part de l’auteur.
Ça, c’était pour le côté objectif de mon avis.
—Ce qui prédomine—
Maintenant, si je considère les choses d’un point de vue purement émotionnel et sensoriel, je ne garderai clairement pas un très bon souvenir de ma lecture.
J’ai toujours eu du mal avec les histoires basées sur des quiproquos, parce qu’elles suivent toujours le même schéma et que le dénouement est connu d’avance. Évidemment que les domestiques (qui se font passer pour les maîtres) vont tomber amoureux et que les maîtres (qui se font passer pour les domestiques) vont avoir un coup de foudre, mais que chacun va penser que c’est un amour impossible puisqu’ils ne savent pas que la personne en face d’eux est en réalité de la même condition sociale qu’eux. Il faut juste que quelqu’un trouve le courage de dénouer sa langue pour que toute la situation s’arrange. Mais c’est long. Et ça tourne autour du pot. Encore et encore. D’autant plus que l’entourage du quatuor, qui est au courant de toute la supercherie, s’amuse à les mettre encore plus dans l’embarras au lieu de les aider…
Bref, ça va bien cinq minutes. Pour moi la pièce est beaucoup trop longue. Donc autant dire que j’ai poussé un gros “ouf !” quand j’ai tourné la page et que j’ai vu la “scène finale” arriver !
Peut-être que tu me trouves trop sévère dans ma critique, mais c’est pourtant exactement ce que j’ai ressenti.
—En bref—
En bref, je reconnais bien volontiers le modernisme et l’importance d’une pièce telle que *Le Jeu de l’amour et du hasard* de Marivaux qui a écrit une œuvre engagée primordiale pour le début du XVIIIe siècle. Mais je regrette toutefois le schéma narratif convenu et attendu qui annule toute surprise, ainsi que la longueur de la pièce qui ne fait pour moi que tourner autour du pot et répéter les mêmes choses encore et encore.
https://desrevesdanslamarge.com/marivaux-le-jeu-de-lamour-et-du-hasard/
Le Jeu de l'amour et du hasard
Sur cette île les situations s'inversent. Ils doivent échanger leurs conditions, leurs vêtements...
Les esclaves vont faire subir les humiliations qui leurs sont coutumières, à leurs maîtres. Ces derniers finiront par admettre leurs mauvais comportements.
Je recommande cette pièce de théâtre, qui est un très bon classique.
L'Île des esclaves
Les Fausses Confidences
Aujourd'hui, j'ai relu cette pièce une troisième fois en vue des écrits du CAPES qui approchent à grands pas, car effectivement, cette œuvre est au programme. Si j'apprécie toujours autant sa dimension réflexive, je m'interroge sur ses enjeux littéraires : nous n'en avons pour ainsi dire brassé aucun en cours. Notre professeure s'est contentée de paraphraser le texte, et j'avoue que je ne vois pas du tout sur quoi on pourrait nous questionner... si ce n'est sur cette dimension utopique ou non.
En bref, cette relecture s'avère plus frustrante qu'autre chose : si elle est toujours rapide et plutôt agréable, elle ne m'a pas transcendée. Même si j'adore l'intrigue et certains passages fort comiques, il me manque des éléments sur l'écriture, qui ne me transporte pas outre mesure. J'ai l'impression de passer à côté de l'essentiel, ce qui est frustrant et gâche un peu mon plaisir.
L'Île des esclaves
Heureusement qu'il est très court car il est très vide malgré la morale qui aurait pu être intéressante si mieux développée.
L'Île des esclaves
Le Jeu de l'amour et du hasard
J'ai été déçu par les fins des deux histoires, je ne sais pas si Marivaux s'est "dégonflé" pour éviter la censure ou s'il avait un ton moralisateur sur la question des classes et des genres au sein de la société.
Je ne connais pas suffisamment l'auteur pour y répondre.
L'île des esclaves suivie de La Colonie
L'Île des esclaves
Les Fausses Confidences
La Fausse Suivante
C'est juste dommage que ce soit le dernier acte.
Les personnages sont intéressants, la supercherie est vraiment bien faîtes.
Si vous aimez le théâtre de l'époque, lisez ce livre.
Le Jeu de l'amour et du hasard
Le Jeu de l'amour et du hasard
Le Jeu de l'amour et du hasard
Au final, ce classique est assez sympa
Les Fausses Confidences
Le Jeu de l'amour et du hasard