Robert Harris

j'ai apprécié de lire un livre dans l'univers antique. Ça m'a permis d'apprendre des choses de cet époque. La fin m'a complètement aspiré… Pas moyen de lâcher une seconde le livre

J'ai beaucoup apprécié ce roman historique. On suite l'évolution de Cicéron dans les sphères politiques romaines, les arcanes du pouvoir un peu retors de la Rome antique.

Je vais rapidement me plonger dans le 2ème tome.

Des tueurs de roi.

Les Républicains ont voté la mort du roi Charles Ier.

Malheureusement pour eux, dix ans plus tard son fils est remis sur le trône et tous ceux ayant participé au vote sont condamnés à mort.

Une traque s'étalant sur plusieurs années.

Deux d'entre eux ont réussi à s'enfuir avant le début de la purge. William Goffe ainsi que son beau-père, Ned Whalley, ont trouvé refuge aux États-Unis dans une colonie.

Mais les espions sont partout et le danger guette pour eux. S'ensuit pour eux une incessante fuite de colonie en colonie car le plus pugnace des hommes à jurer de les retrouver par tous les moyens.

Une quête de vengeance.

Richard Nayler a tout perdu à cause de Goffe et Whalley par le passé. Il a juré leur perte et ne reculera devant rien pour les traquer.

Un thriller historique où Robert Harris nous montre les deux partis. Nous voyons donc l'enquête sur la traque de nos deux colonels ainsi que leur vie de leur côté à l'autre bout de l'océan.

Car au final cette chasse à l'homme va prendre des années.

L'histoire est assez prenante et certains moments remplis de tension.

Le fait d'avoir les deux points de vue est très intéressant car on ne peut donner ni tort ni raison à aucun des protagonistes, même si j'ai trouvé nos deux fuyards assez égoïstes au final. Ils ne prennent absolument pas en compte ce que leur choix ont comme conséquence sur les autres.

Malgré une première partie entraînante, j'ai trouvé ce roman assez inégal dans sa globalité. Le récit est assez long et l'auteur détaille beaucoup la vie des deux régicides, leur vie au sein des communautés où ils trouvent refuge.

Comme leur foi est au centre de leurs actions, énormément de passages sur la religion sont détaillés. Trop pour moi, car j'ai trouvé ces passages longs et assez ennuyants. De ce fait mon intérêt retombait, puis de nouveau l'auteur remet du rythme au récit.

C'est donc une lecture sympathique car l'histoire est intéressante, mais les nombreuses longueurs ont légèrement émoussé mon enthousiasme.

Mais si vous aimez le côté "tranche de vie" historique avec le côté "thriller" ce roman ne pourra que vous plaire 🙂

Je remercie les éditions Belfond ainsi que NetGalleyFrance pour la lecture de ce roman !

1660, Royaume-Uni. Alors que Charles 2 s’apprête à monter sur le trône après le régime instauré par Cromwell et l’assassinat de son père Charles 1, c’est une chasse aux régicides qui s’instaure. En effet, tous les hommes ayant signé le document pour condamner le roi, ou ayant participé d’une quelconque manière à son procès sont maintenant recherchés. C’est ainsi que Whalley et son gendre Goffe décident de s’enfuir aux États-Unis, tandis que Nayler fera tout pour les traquer.

Décidément, j’apprécie énormément les romans de cet auteur, et même si parfois on y retrouve quelques petites longueurs, je trouve ses intrigues passionnantes, avec toujours un fond historique très intéressant.

Le travail de documentation fourni par l’auteur est immense. Bien évidemment, si les personnages sont pour la plupart réels, il n’en reste pas moins que l’auteur a dû sûrement imaginer certains événements, et c’est là où réside tout son talent, puisqu’il réussit à créer un récit au fort contexte historique.

D’emblée, la traque commence dès les premières pages. Nous suivrons ainsi le parcours de Whalley et Goffe, de ville en ville, mais également la poursuite de Nayler afin de les retrouver.

La plume de l’auteur est très fluide. Avec beaucoup de détails et un style très précis, il réussit à embarquer son lecteur dans un roman historique très documenté. Les chapitres sont de taille moyenne et le roman se divise en plusieurs grandes parties, étalant ainsi le récit sur plusieurs années.

Un roman foisonnant, dans lequel l’auteur aborde une période historique avec beaucoup de détails. À découvrir.

Et voilà que j'ai fini l'aventure avec Cicéron.

J'ai littéralement dévoré les 3 Tomes de cette trilogie, et c'est avec un peu d'émotion que j'ai lu et tourné la dernière page.

Un très bon roman historique qui nous permet de vivre les derniers jours de pompei, on sent dans le récit les nombreuses recherches que l'auteur as dû effectuer.

Un bon livre sur l antiquité pompei les habitants et le volcan,

Un très beau livre pour une histoire si forte et émouvante, je l'ai lu et regardé en film mais dans les deux cas je n'ai pas pu m'empêcher d'admirer ce chef d'œuvre

Ce second tome aura eu raison de ma motivation. Cette série, bien qu'interessante, est par trop politique.

Il faut reconnaître le style et le travail de recherche de l'auteur mais je trouve qu'à part les différents complots, il ne se passe pas grand chose de trépidant dans cette trilogie.

C'était déjà mon constat avec "Imperium", le tome 1 et j'avais espéré une amélioration avec "Conspirata" puisqu'on annonçait le meurtre d'un enfant

Ce meurtre n'est, en vérité, pas l'objet du roman. Il ne sert, en fait, qu'à formaliser un Xieme complot.

Ce qui rend la lecture encore plus difficile, c'est le fait que les ennemis d'hier sont les amis de demain même dans le chef de Cicéron.

Cette trilogie n'était pas pour moi.

Une critique très en demi-teinte pour ce premier volet de la trilogie concernant le secrétaire de Cicéron.

En effet, l'époque, déjà, n'est pas mon époque favorite. Mais bon, c'est un choix personnel que de lire ce roman, je ne peux donc pas en faire griefs à l'auteur.

Auteur qui, il faut bien le reconnaitre, ne manque pas de connaissances ni de talent.

J'ai trouvé l'idée très bonne de se "mettre à la place" du secrétaire d'un grand homme.

Par contre, si le roman ne manque pas d'humour et d'intérêt, je l'ai trouvé trop politique;

En fait, on a la sensation que les journées se passent à palabrer du matin au soir. Il n'y a pas d'action.

Tiron, le secrétaire esclave de Cicéron, raconte comment le "plus grand avocat de Rome, entre en politique. Et c'est intéressant, mais c'est plat !

De plus, on se perd dans toutes les structures politiques de la Rome antique ainsi que parmi tous les personnages (dont les noms se terminent en général en US et cela ne simplifie pas le Who's who !).

Je termine donc ce premier volet "mi figue-mi raisin.