Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Gingo m'a retourné de l’intérieur, l'écriture est poignante et avec un suspense telle que tu ne peux pas le lâcher.
Jade et Gingo m'ont brisé le cœur puis l'on recollé pour mieux me le recasser.
Une lecture excellente que je ne peux que la recommander. Foncez !
Gingo
Max
Arthur Rimbaud, le voleur de feu
Si au départ j'étais sceptique, du fait que tout le roman est du point du vue d'un enfant ayant une vision très nazie de la vie. En effet, parler de la Seconde Guerre Mondiale en mettant en scène un enfant est toujours un peu délicat. Pourtant ce point qui m'a paru déconcertant, est celui qui fait avancer le livre. Puisque l'histoire de l'Allemagne nazie évolue en même temps que l'enfant.
J'ai littéralement adoré ce livre ! Je le recommande très fortement.
Max
Max
C'est un livre que je conseille car il illustre très bien les conflits de cette guerre ainsi que les opinions des Allemands et Polonais. C'est un livre assez dur sur sa façon d'expliquer et raconter les événements. Mais très instructif, intéressant et qui procure plein d'émotions pour le lecteur.
Max
Un parfum de meurtre
Max
Max
Il aborde très justement et très habilement la guerre et le régime politique le plus connu au monde : le régime d’Hitler et son idéal aryen. Le fait de suivre aussi bien l’histoire de la jeunesse Hitlérienne, de sa fameuse naissance le jour de l’anniversaire de leur Fürher à son engagement dans l’armée en passant par comment se passe la conception de ce fameux idéal était impressionnât. Pourtant j’ai trouvé que c’était bien les examens concernant les critères aryens qui étaient les plus durs. Voir ainsi des paroles d’Hitler réécrites en pensant que tout ceci a bien eu lieu, qu’un « Max » et bien d’autres ont existé c’est se rappeler l’histoire du monde et de l’Europe. C’est bien pour cela que j’ai particulièrement apprécié ce livre, car au-delà de ses 480 pages, c’est avant tout des centaines de faits culturels et historiques qui sont exposés dans le récit de Max.
Outre le fond historique j’ai d’autant plus aimé la forme de ce récit car nous étions réellement dans la tête de Max comme on le voit dès les premières lignes du livre qui commence avant même que ce dernier naisse.
En conclusion, grâce à ces documentations et à ce style d’écriture magnifique, je recommande réellement ce livre autant à des adultes en quête de savoir historique romancés qu’à des élèves souhaitant aborder un chapitre d’histoire en passant un bon moment de lecture. Je l’ai moi-même fait découvrir à mes professeurs d’histoire ainsi qu’à des amis de classes car je trouve très pertinent de le lire avant par exemple, le brevet des collèges, car cela pourrait nous inspirer pour un potentiel sujet d’écriture sur la seconde guerre mondiale ou même en général nous apporter une bonne culture générale.
Max
Max
Et là encore, Sarah Cohen-Scali m'a bluffé, car si on commence avec un univers futuriste glaçant assez classique, avec une population séparée en deux (les ultra-connectés Blancs VS les pauvres Bleus soumis à d'éternelles restrictions), en milieu de récit, l'auteure se sert de cet univers où le numérique est roi pour parler du contrôle des masses, d'eugénisme, de discrimination...
Gingo est un roman ado surprenant qui gagne une profondeur inattendue à la lecture de sa toute dernière phrase...
Je ne vous en dis pas plus et je vous invite à découvrir cette dystopie pour le moins inhabituel !
Gingo
J’ai eu l’opportunité de découvrir cette nouvelle sortie de la collection Électrogène grâce aux éditions Gulfstream que je remercie pour l’envoi. Lorsqu’ils m’ont proposé de lire Gingo, j’ai été très intriguée par la couverture mais aussi par le résumé qui me paraissait prometteur. Cela faisait un moment que je n’avais pas lu de dystopie et j’ai été agréablement surprise par le récit et le thème abordé, même si la fin m’a laissé quelque peu perplexe !
Imaginez un futur où notre rapport à la technologie détermine notre statut social. Ainsi, on retrouve d’un côté les habitants de la cité Blanche, ultra-connectés, jouissants de tous les privilèges et de l’autre, ceux de la cité Bleue, des marginaux aux ressources précaires. Jade qui fait parte de cette seconde catégorie espère obtenir une autorisation pour enfanter naturellement (car oui les naissances sont contrôlées) mais, tout ne se passe pas comme prévu et elle se retrouve dans l’obligation d’adopter. On pourrait penser que ce n’est pas si dramatique mais ces enfants qu’on leur confie ont à la fois un physique très ingrat mais également des capacités mentales très limitées. Aussi, lorsque Jade se retrouve en charge du petit Gingo, c’est toute sa vie qui bascule !
Le gros point fort de ce roman est sans nul doute son univers, à la fois riche et très bien construit. On n’a aucun mal à visualiser ce monde qui pourrait très bien refléter un avenir plus que probable tant la technologie prends de l’ampleur dans notre quotidien. Outre l dépendance aux intelligences artificielles, ce roman déborde de sujets forts et importants tels que la ségrégation sociale mais aussi la discrimination, l’abus de pouvoir et le culte du paraître. Tout est question d’apparence dans la cité Blanche si bien que tout ce qui est différent ou qui ne rentre pas dans des critères de beauté prédéfinis est rejeté. Vous imaginez un futur où l’être humain est formaté de manière à le conditionner ans un mode de pensée restreint, ne laissant que peu de place à l’individualité et au libre arbitre ? Un futur où tout nos choix sont dictés par une entité informatique. Effrayant non?
Pour ce qui est des personnages, j’avoue avoir eu un eu de mal à m’y attacher mis à part Gingo, qui m’a particulièrement touché. Même si Jade est décrite de façon à nous apparaître comme une femme forte et déterminée mais elle m’a plus d’une fois agacé avec son impulsivité et ses décisions irréfléchies qui ont eu de graves conséquences. Certes, je suis d’avis de s’affirmer et se rebeller contre les injustices mais autant le faire intelligemment et non pas en fonçant tête baissée. J’ai moi même été révoltée durant ma lecture face à la manière dont Gingo était traité par les autres qui n’essayaient pas de le comprendre et ne voyait pas plus loin que les apparences. On se rend compte à mesure qu’on le voit évoluer, que Gingo est juste un enfant curieux et qui a du mal à exprimer correctement ce qu’il ressent, chose qui peut être mal interprétée…
En bref, Gingo est un roman original et qui fait réfléchir. Sarah Cohen-Scali nous offre un récit bien mené, à l’univers richement développé et avec un personnage principal qui ne vous laissera pas indifférents. La fin vient selon moi de manière assez abrupte et m’a laissé un petit arrière gout d’inachevé mais il n’empêche que j’ai apprécié cette lecture dans son ensemble !
Gingo
Arthur Rimbaud, le voleur de feu
On es transporté à travers le regard d'un enfant, Max, qui a la particularité d'être né au sein du programme Lebensborn où la descendance allemande doit être obligatoirement blonde aux yeux bleus...
Ce livre nous montre la façon dont les enfants, ainsi que les adultes (surtout allemands) sont confrontés à la propagande nazie. On voit à quel point la "dénazification" a été terrible après les épisodes de cette période. C'est vraiment déroutant de savoir que les futures jeunesses allemandes ont été mises dans le bain dès leur naissance, et qu'ils ont été conditionnés à être croyant dans l'ascension du Reich.
A travers ce livre, on y découvre les pensées aryennes de l'époque, toujours vues du point de vue de Max. On y découvre des enfants qui sont élevés dans l'ignorance totale, dans l'absence de quelconques stimulations cérébrales, tout ça dans le but de garder le pouvoir sur ces enfants. La présence du nazisme est bien sûre omniprésente, et l'écriture noire de l'auteure nous enfonce encore plus de le malaise de cette pensée.
A travers les yeux de Max, on découvre ce que le nazisme a fait subir à tous les enfants non allemands et aux enfants allemands, aux populations non allemandes en général.
Certains moments du livre sont très durs à lire: que ce soit quand la propagande nazie ressort, ou quand il y a des bouleversements au sein des personnages.
Concernant les personnages, on ne peut ni les aimer, ni les détester. Il faut absolument les prendre comme ils sont, ne pas les juger car ils ont tous une histoire différente. Par exemple, on ne peut pas aimer Max, ni le détester. Tout simplement, parce qu'au fur et à mesure de l'histoire, on le voit grandir, prendre des décisions, se remettre en question, réfléchir à l'avenir et à ce qui se passe... On ne peut que le comprendre. Le conditionnement intellectuel va énormément de ravages.
Les histoires des personnages sont soient très bouleversantes, soient heureuses. Certaines connaissent un dénouement heureux, d'autres pas...
Cette amitié Max-Lukas est vraiment extrême, bien ficelée, émouvante, belle... Je l'ai adoré, jusqu'à ce que...
La fin du livre est d'autant plus bouleversante.
Même si j'ai trouvé le début du livre assez lent et un peu fort peu intéressant, l'histoire reste très bien écrite, très belle, très émouvante, très poignante...
Un de mes coups de coeur dans la catégorie fiction pour cette année. Je ne regrette absolument pas de mettre plonger dedans. Ce fût une expérience vraiment très agréable, car même si l'auteure ne met pas de pincettes pour parler de nazisme, d'Hitler, on reste accro aux pages tout au long de notre lecture.
Et c'est ça que j'ai adoré !
Max