P. G. Wodehouse

Lu il y a longtemps ! les recommandations ne sont pas toujours justifiées...Je me suis ennuyée, l'humour est vraiment daté et démodé, de même que le style d'écriture....comment me suis-je embringuée là dedans ,,, surtout que j'ai déjà acheté (en soldes!! ouf!) la suite....

Mauvaise pioche !!!!!

Lord Ickenham (Oncle Fred), en visite à Londres, frappe encore.

Découverte de l’humour de Woodehouse avec ce majordome au caractère bien trempé.

Des histoires qui font un ou deux chapitres, une sorte de recueil de nouvelles liées les unes aux autres dans le sens où on rappelle souvent un détail de la précédente pour montrer que le temps passe et que les personnages avancent dans la vie…

Si parfois, certaines histoires sont moins intéressantes, la plupart sont bonnes, voire très bonnes.

Jeeves a toujours un atout dans sa manche pour s’en sortir, les situations sont très variées et surtout, il y a toujours la verve de l’auteur, les répliques qui font mouche et sourire, la façon de présenter les situations…

Très bon moment.

Roman burlesque où se déchaînent des personnages haut en couleur, de l’aristocrate au fermier, de situations cocasses en intrigues emberlificotées. Nous sommes proches du vaudeville, les protagonistes sont excentriques et le style de l’auteur virevoltant et brillant.

C’est très drôle. Est ce de l’humour britannique ? Chacun jugera. Pour ma part, j’ai eu quelques fous rires inextinguibles.

Wodehouse s’est spécialisé dans les aventures farfelues d’une aristocratie anglaise de campagne où l’oisiveté et la niaiserie côtoient la roublardise. Là encore, il s’agit, pour l’oncle Galahad, de tout mettre en œuvre pour que ses neveux, nièces et autres protagonistes puissent convoler dans de justes noces. Je dis « là encore » car « Oncle Dynamite » (autre ouvrage de Wodehouse, voir mon commentaire) traitait à peu près du même sujet. C’est comme d’habitude d’une écriture élégante et raffinée et la lecture en est très plaisante mais un peu moins drôle que « Oncle dynamite ».

Même si on retrouve les mêmes ingrédients des œuvres de Wodehouse, les ressorts sont un peu émoussés dans cet ouvrage. Peu d’humour par rapport à ce que peut produire l’auteur. Misez plutôt sur « Oncle dynamite » si vous voulez découvrir cet auteur.

C'est marrant. Certes, c'est un peu répétitif mais c'est délassant : une nouvelle ou un chapitre de temps en temps.

Recueil très agréable à lire avec des portraits savoureux de chats. Pour conclure, on y découvre l'origine d'une expression que même Duneton dans son recueil la puce à l'oreille ne mentionne pas : essayer d'acheter la graisse sur le dos du chat.

Extrait très amusant :

"Son Altesse disparaît en boudant, ce qui est une nouvelle preuve de son véritable sexe, car les femmes boudent rarement : elles ont trop à dire, en général, sur les sujets qui les contrarient"

Un véritable méli-mélo de quiproquos, entre ce que les personnages disent et ce qu'ils font, personne ne comprend ce qui se passe. Heureusement Jeeves, le majordome de... tout le monde, va les aider à s'y retrouver.

livre excessivement court, qui aurait peut-être gagné à être développé davantage. de bons éléments (personnages), et une impression que tous les amoureux des chats connaissent, mais là c'est vraiment à peine un e ébauche d'histoire, certes plaisante mais sans plus