Ridley Pearson

J'ai été très cuieuse en lisant la 4e de couverture. Même si j'écris du fantastique, mes premières lectures se sont vite tournées vers les romans de Sir Arthur Conan Doyle et d'Agatha Christie. Donc ce livre était destiné à être dans ma bibliothèque. Le point commun entre les deux détectives autre que leur faculté mentale ? L'époque. La fin du XIXe siècle, début XXe est une période que j'affectionne beaucoup. Au passage, je note que la couverture est très belle, elle reflète la lumière. C'est peu de chose mais cela à son impact.

Toutefois j'ai été grandement surprise lorsque j'ai lu que ce livre se déroule à notre époque actuelle. On se retrouve avec un Sherlock Holmes à l'ère du numérique. C'est donc une version revisitée de Sherlock Holmes qui se dévoile sous nos yeux. Un peu déçu car cela enlève le charme de l'époque mais cela pourrait ne pas déplaire à certains.

On retrouve quand même notre Sherlock avec son esprit analytique et ses allures britanniques. On est parfois un peu dérouté par les discours des personnages mais l'intrigue et l'affection qu'on porte aux personnages nous poussent à poursuivre la lecture. J'ai beaucoup aimé la relation entre Moria (que j'ai tendance à appeler Moïra, la femme de Peter Banning dans Hook) et Sherlock. Aussi si vous aimez les énigmes, ce roman en est truffé. La fin de ce tome m'encourage à acquérir le second. D'ailleurs, je l'ai lu en l'espace de quelques jours malgré son aspect volumineux. Il va falloir que je le trouve. J'espère qu'il est disponible.

Si vous croyez que ce livre est d'Harlan Coben vous vous trompez ! En effet, il ne fait que "présenter" les histoires/auteurs qui d'ailleurs ne sont pas comparables d'une seule seconde aux siennes.

Une belle adaptation moderne des personnages de Sir Arthur Conan Doyle. L'histoire est prenante et on s'attache aux protagonistes. L'intrigue est bien menée et on apprécie la complicité entre Sherlock et Moria. J'ai hâte de plonger dans les tomes suivants.

Je crie TROMPERIE SUR LA MARCHANDISE !

Je pensais être dans une ambiance à la "The Haunting of Hill House" (série horreur sur une maison hantée qui m'a bien fait flipper).

Et je me retrouve à lire les niaiseries et états d'âme d'une aristocrate coincée entre un mari dépravé et une maison autodidacte.

Je m'attendais à trembler aussi fort que quand je lisais Dracula et non...

Trop de mots sur la situation conjugale de Mr et Mme, et trop peu sur cette angoissant manoir. Si Stephen King s'est inspiré de la maison pour en faire une série, c'est qu'il y avait pourtant matière à épouvanter le lecteur, peut-être un mauvais choix dans les article de ce journal intime.

Donc, âmes sensibles, allez y, vous ne risquez pas d'être trop ébranlés, quant aux plus résistants, passez votre chemin, vous risquez vous ennuyer.

Stephen King s'en est inspiré pour faire une série,

J'ai adoré ce récit, lu d'une traite, sur la vie d'une femme déçue par le mariage et menacée par des phénomènes paranormaux. De plus, le tout fait très vrai grâce aux notes et interventions extérieures au journal

Que dire ? Je n’ai jamais rien lu d’aussi fade. Les nouvelles sont sans intérêt et quand il y a le début de quelque chose, il s’avère qu’un collégien aurait pu écrire la même chose lors d’un devoir. Publié sous le nom de Harlan Coben pour s’assurer un minimum de lecteurs, je trouve ça vraiment mesquin. Depuis quelques temps déjà je me suis détachée de cet auteur que je juge trop commercial. Un genre Guillaume Musso à l’américaine. Dans le genre thriller on fait largement mieux. Seule la série Myron Bolitar garde à mes yeux un quelconque intérêt.

J'ai lu ce livre parce que dès que je vois marqué Stephen King, je fonce, mais je ne peux pas prétendre avoir été emballée par ma lecture. L'héroïne ne m'a pas attirée du tout, faisant parfois preuve de caractère, mais le plus souvent timorée.

Au fil de mes lectures, vous vous serez peut-être rendu compte que les personnages qui jouent à la valse hésitation, ce n'est pas du tout mon truc. On fonce, on rue dans les brancards, on agit, ou on se casse, pour résumer.

À mon grand regret, j'ai trouvé ce livre sans intérêt, tout comme l'histoire des personnages. Je n'ai pas vu la mini-série, mais de ce fait, elle ne me tente pas.

C'est l'histoire d'Ellen Rimbauer, sa vie intime, son mariage avec le richissime John Rimbauer.

Et son quotidien dans ce grand manoir Red Rose.

On y découvre ses peurs dans cet étrange endroit où elle vit désormais.

Je n'ai nullement était effrayé, j'ai tout bonnement découvert la vie de cette jeune femme très attachante.

Un récit passionnant dans un lieu envahi de fait mystérieux.

Bonne lecture !

J'adore les histoires de maisons hantées, ce livre m'a donc naturellement envoûté.

Rose Red est une demeure imposante dont la construction est déjà marquée par le malheur.

Étonnant qu'est ce récit où l'on retrouve phénomènes paranormaux et disparitions qui se succèdent au fil du temps et qui sont très troublants.

En effet, on découvre divers événements ayant eu lieu Rose Red à travers le journal intime d'une jeune femme de la haute société tourmenté par ses émotions mariée à un riche entrepreneur beaucoup plus âgé qu'elle et qui collectionne les maîtresses.

Un très bon livre que je recommande. La seule question qui se pose est de savoir si ce récit est vrai.

Je n'ai plus autant de difficultés qu'avant pour abandonner un roman. C'est donc sans regret que je ne continue pas cette lecture... Lecture à laquelle je n'ai pas du tout accrochée, vous vous en doutez et ce, dès les premières lignes.

Tout ceci n'est évidemment que mon avis personnel !

Pour être brève :

• Je ne m'attendais pas à ce que le récit se passe en Amérique - Sherlock en Amérique, sérieux ? - ni que tout se déroule dans un monde moderne avec internet, les téléphones, les voitures... (Même si dans la centaine de pages que j'ai lu ils n'utilisaient pas ces derniers, on savait malgré tout que cela existait). Rien que cette modernité, cela m'a fortement déplu car sincèrement, je pensais me plonger dans un monde londonien de ''l'époque''. Petite déception de ce côté-là.

• Je n'ai pas du tout trouvé crédible le fait que ça soit Moria, la soit disant petite soeur de James Moriarty, qui raconte l'histoire alors qu'elle n'a pas tout vécu, même si l'autrice a tenté de nous expliquer comment Moria s'est débrouillé dans l'introduction... Bof, bof.

• Je n'ai pas apprécié le personnage de James qui était désagréable au possible. D'ailleurs, ce tome 1 devait nous montrer ''son changement '' en tant que futur criminel mais, je n'ai pas bien saisi car dès le début sa soeur Moria nous dit que son frère n'est déjà plus le même. J'aurais préféré être davantage témoin de son ''changement'' voire même que James Moriarty soit un "méchant" né !

• Pour finir, je n'ai pas apprécié la plume/traduction, question de goût.

Voici donc pour les principaux points qui m'ont fait abandonner ma lecture, j'ai lu les derniers chapitres pour voir comment ça allait se terminer et (cela peut spoiler si vous voulez lire) : Spoiler(cliquez pour révéler) aucune surprise puisque Sherlock avait déjà émis quelques pistes dès les 100/150 premières pages (sur presque 400).

Pour conclure... Cette version moderne des ados de Sherlock, James Moriarty et sa petite soeur - inventée pour le bien de l'histoire, j'imagine - entraînés dans une ''enquête'' au sein même d'un établissement scolaire, plaira sûrement à d'autres, je le souhaite pour ce roman. Comme dit plus haut ceci n'est qu'un ressenti purement subjectif, si ce livre jeunesse vous tente, n'hésitez pas à vous en faire votre propre avis. :-)