Leiji Matsumoto
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.74/10Nombre d'évaluations : 237
0 Citations 95 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un très bon sixième manga. Je suis assez déçue de voir le nombre de lecteur. 19, ce n'est pas beaucoup, mais je comprends que nombreux aient abandonné la série.
J'ai hâte de voir qu'elle direction il prendra lorsque le manga original sur lequel il est basé s'arrètera. Suivra t il la série 78 ou nous racontera t il une toute autre histoire ?
Le point fort de cette série est de bien retransmettre les personnages et leur idéologie, avec un brin de modernisme dans les dessins, qui sont bien moins efféminés qu'au début de la série. Néanmoins, parfois à mettre trop de détail, je trouve que l'on perd en message et en clarté. Le style ne peut pas plaire à tous, mais le point fort du premier manga était de retranscrire tout l'action en quelques coups de crayons, et ce avec la même émotion qu'avec les détails de cette série-ci.
Je pense pouvoir comparer Albator à du réglisse. La première fois que tu en mange, tu n'aime pas. Cela s'apprend a aimer et les souvenirs qui vont avec jouent beaucoup sur le goût.
Je pense que cette série est pour les connaisseurs, car il faut déjà connaître les bases pour le comprendre. D'un point de vue extérieure, le style peut paraître vieillo, ringard, passé de mode... Mais c'est ainsi qu'on a appris à l'aimer.
Le deuxième point fort de ce manga est la cohérence qu'il apporte à l'univers en lui même. Il est très vaste, et bien souvent contradictoire. Rien que dans les animés, il y a plus de 4 histoires différentes expliquant sa mort. L'univers en lui même manquait de logique et de lien entre les événements, qui utilisent pourtant les mêmes personnages avec le même caractère (sauf pour endless odyssée). C'est ce qu'apporte cette série. La menace principale est les sylvidres, mais on retrouve Emeraldas, Mayu (Stellie dans la vf de l'animé 78), Zéro (d'ailleurs, je n'ai toujours pas compris qui il était réellement. Est ce un nouveau personnage ? Ou alors est le capitaine Warrius Zéro ?), les tokargiens (déjà présent dans le manga d'origine, mais surtout dans l'animé de 74), Mégalopolis (ville sûrement inspirée de la planète Rametal/Eavymelder), les robots nommés "Machiners" à l'origine dans Galaxy Express 999, ou encore mimé/Clio, et la flotte Gaïa du film de 2013, ...
Ce n'est pas une recette dans laquelle on prend tous les éléments et on les mélange sans considération. Non, c'est une vraie recette où les éléments sont mis au bon moment et avec parcimonie.
C'est ce qui fait sa magie.
Et comme le dit le générique des années 2000 :
Albator, capitaine de l'espace,
Albator, le corsaire que rien n'efface,
Albator, on gardera de toi une image, un trésor d'un capitaine au coeur d'or.
Afficher en entierEnfin, le premier face à face entre Albator et Sylvidra ! Cela fait plaisir de voir ses deux personnages, si emblématiques, si ... comment dire ? Resplendissants ? Charismatiques ? Puissants ? Voir même intimidants ? Un pur moment de plaisir. Nous avons de nombreuses nouvelles informations, sur les sylvidres, sur leur arrivée sur terre, leur origine mais aussi sur Albator lui même. j'avoue ne pas voir où l'auteur veut nous mener.
J'aime bien les liens faits entre les différentes œuvres faites dans ce manga. La trame principale semble respecter le scénario du premier manga, mais Mayu (Stellie) introduite dans la série 78 est également présente. J'aime ce détail de référence fait aux autres séries, comme un hommage à ces monde qu'il avait crée en leur donnant un lien.
Je trouve que cette série commence enfin à arriver dans le vif du sujet, et cela fait du bien. Elle est de plus en plus intéressante.
C'est donc avec autant de plaisir je pense que je vais de ce pas lire la suite !
Afficher en entierLes dessins sont tous simplement fantastiques !
Afficher en entierLa fin d’une histoire complète et émouvante. Un bel honneur au Capitaine Albator !
Afficher en entierUn grand classique de la science-fiction et du manga très sympa à découvrir ou redécouvrir dans cette édition intégrale. Je connaissais seulement par quelques épisodes regardés à l'occasion à la télévision, et le style ne m'avais pas plus attiré à l'époque. J'ai donc pu lire le manga sans à priori et j'ai beaucoup apprécié le côté space opera de l'histoire et la pâte graphique très caractéristique des années 70.
Afficher en entierTrès contente d'avoir enfin pu commencer à lire les aventures d'Albator ! Si on peut rester sur notre fin avec cette série-ci, bon nombre d'autres titres de Matsumoto permettent de se replonger dans cet univers et de retrouver nos personnages favoris.
Afficher en entierQuel plaisir de me replonger dans un des mangas qui a bercé mon enfance! J'ai fredonné l'air du générique pendant la lecture de cet album qui propose une histoire inédite du capitaine Albator et de l'équipage de l'Arcadia.
Une fois de plus, les Sylvidres sont de la partie. Cette fois-ci l'une d'entre elles est à l'origine d'une vague de froid sans précédent sur la planète Terre. Des scientifiques ont tenté d'alerter mais finissent tous par être éliminés...
Les dessins et les couleurs sont superbes et reflètent bien l'ambiance originelle de ce manga.
Il ne reste plus qu'à lire la suite.
Afficher en entierUn vrai plaisir de découvrir l'histoire d'Emeraldas et de suivre son parcours de l'espace. Je suis super contente que les intégrales soient ré-édités et de pouvoir découvrir l'univers et les personnages de Leiji Matsumoto.
Afficher en entierUn final de la même qualité que les tomes précédents,avec des graphismes et des couleurs magnifiques. On replonge dans un univers très fidèle à l original, avec une histoire passionnante.
Afficher en entierFin de la trilogie des Mémoires de l'Arcadia, où la promesse d'Albator est mise à rudes épreuves.
Dans ce tome, des éléments du passé sont dévoilés et surtout une union improbable est nécessaire pour tenter de venir à bout des trois soeurs maudites.
Dessins, couleurs, dialogues et scénario rendent un bel hommage aux aventures des occupants de l'Arcadia.
Une belle trilogie à lire et à relire.
Afficher en entierOn parle de Leiji Matsumoto ici :
2014-10-03T20:19:34+02:00
2014-07-25T12:56:00+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Leiji Matsumoto
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Biographie
Leiji Matsumoto, un des derniers grands maîtres du manga
Akira Matsumoto, de son vrai nom, est né en 1938 dans la ville de Kitakûshû dans le département de Fukuoku au Japon.
Alors qu'il n'a encore que 16 ans, il envoie des planches d'un manga intitulé "Mitsubachi no Bôken" (les aventures de l'abeille) au magazine Manga Shonen. Ce magazine jusqu'alors spécialisé dans les histoires courtes de 4 cases sur une page (yon koma manga, en japonais) désirait se diversifier et recrutait des auteurs dessinant des histoires longues. C'est par ce biais qu'il est sélectionné pour le premier concours des jeunes auteurs et qu'il en ressort lauréat. Ainsi commence sa carrière.
Parallèlement, il réalise un fanzine de manga, Kyûshû manga-ten, en compagnie d'auteur tel que Kenichirô Takai. Les spécialistes voient rapidement en lui un des premiers auteurs influencés par le style d'Osamu Tezuka. On raconte que ce dernier, se rendant compte qu'il ne parviendrait pas à terminer les planches qu'il devait rendre pour un magazine, se serait rendu à Kyûshû pour demander l'aide du jeune Matsumoto.
Afficher en entier