Fred Blanchard
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Note moyenne : 7.2/10Nombre d'évaluations : 109
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Un troisième tome qui c'est fait attendre ... La vengeance de Sangre se poursuit, un peu moins de surprise sur l'identité d'Hovanne.
Afficher en entierBof ! Je dois dire qu'au final je suis très déçue de cette BD, je m'attendais à beaucoup mieux ! Si ce péplum Uchronique nous permets d'assister à des alliances et à des jeux de pouvoir qui n'existent pas dans l'histoire réelle Spoiler(cliquez pour révéler) je pense notamment à l'alliance entre Marc Antoine, Cléopâtre et Octave ou encore de découvrir un César retiré de la vie politique et aveugle. Au final l'ensemble ne nous apporte rien de plus que ce que l'on savait déjà Spoiler(cliquez pour révéler)à savoir que Brutus est toujours le plus grands des traitres et que cette fois ci ce n'est pas César, mais bel et bien lui qui meurt aux Ides de Mars Le résumé nous parle de la venue et de la main mise de Cléopâtre sur Rome et pourtant cette dernière ne jouait qu'un rôle très mineur par rapport à Marc Antoine et César.
Autre gros point négatif, je n'ai pas du tout aimé les illustrations de Fafner dont j'ai trouvé les traits laids et grossiers, on voit que ce dernier à abusé des retouches à l'ordinateur quitte à faire pire que mieux ! Seul quelques rares exceptions notamment les éléphants ou encore le visage de Cléopâtre ont été à peu prés bien travaillés, le reste est à jeter !
Au final une BD que j'attendais de pouvoir lire avec impatience mais qui ne restera malheureusement pas dans mes annales.
Afficher en entierBonne suite, même si je n'ai pas été spécialement emballée par ce monde basé sur la notion de prestige. Ce coup-ci, la difficulté pour Sangre consiste à repérer, parmi les Dwyggs du manoir de Mermillade, qui est Hovanne l'irrésolue. L'enquête et son dénouement sont dans l'ensemble bien menés, même si je trouve que la fin était un peu précipitée. Mention spéciale au personnage d'Orvell que j'ai particulièrement apprécié.
Afficher en entierUne très belle bande dessinée. J'ai beaucoup aimé le dessin, à la fois sobre et travaillé, et particulièrement les répétitions de certaines cases qui donnent l'impression que l'histoire se répète en une boucle d'évènements similaires.
Sur le fond, j'ai appris beaucoup de choses. Le ton est très clair : pas besoin d'avoir de grandes connaissances préalables sur le sujet. Il n'est pas simpliste pour autant, les éléments donnés sont précis et sourcés.
Afficher en entierL'intention de remanier l'Histoire est bonne, mais le résultat catastrophique... Le seul truc positif: les dessins sont bons. Je vais m'appuyer sur le groupe d'historiens professionnels du Corpus Draculianum pour m'expliquer:
-Vlad III avait pour sobriquet Dracula et non Dracul (ça s'était son père)
-Dracul fait mention à un étendard sur lequel figurait un dragon que l'empereur Sigismond du Luxembourg a offert à Vlad II (qui contrairement à la légende ne faisait pas parti de l'Ordre du Dragon), Dracula signifie fils du Dragon / dragonneau, en référence à son père et à ce cadeau prestigieu, cela ne signifie pas diable!
-il n'a jamais vécu à Bram qui appartenant à des boyars qui ne le portaient pas dans son cœur, à tel point que les archives ne mentionnent pas même un visite princière, il est peut-être juste passé, son père surtout qui était parfois appelé à guider le sultan à travers la passe de Bram. Je rappelle quand même que le château de Bram a souvent fait des traveaux pour s'adapter au roman gothique de Stoker...
-Vlad ne buvait pas de sang, ça c'est juste un pamphlet qui a été édité par la presse de Colmar en France suite a l'ordre d'arrestation de Matthias Corvin. Je rappelle que Vlad est considéré comme un des derniers croisés et qu'il était vassal et général de la Hongrie, en plus d'être le beau-frère du roi, ce dernier n'aurait jamais toléré une telle démence!
-Vlad a été janissaire pendant qu'il était ottage, il a reçu éducation princière, la nage en faisant partie
-pourquoi il crache dans les cheveux des marchands pour coiffer?
Afficher en entierEncore pire que le tome 27... Je ne sais pas ce qui est le pire entre le cannibalisme, le viol, ou la nécrophilie... une vraie poubelle. Je rappelle qu'historiquement parlant Vlad était pieu et ne tolérait ni les prostituées qui suivaient les armées, ni les viols dans les villes conquises. Les uns comme les autres étaient punis de mort.
Afficher en entierUn premier tome qui présente bien la situation et les personnages. J'ai aimé les parties se passant sur Nakan, la planète d'où sont issus Swann et Satie. J'ai hâte de voir ce que nous réserve la suite de cette histoire.
Afficher en entierUn bon premier tome qui pose les bases de l'histoire ainsi que les personnages. L'intrigue est prenante, j'ai envie de continuer ma lecture pour savoir comment les événements vont évoluer.
Afficher en entierNous avons fait un bond dans le temps de 20 ans. Renaissance est toujours sur terre et même s'ils ont contribué à améliorer la situation sur Terre beaucoup d'humains sont encore hostile à la cause. L'histoire est vraiment prenante, j'aime beaucoup le côté politique de la bd. On rentre dans un nouveau cycle et j'ai hâte de connaître la suite des événements !
Afficher en entierUne guerre intergalactique éclate dans ce dernier tome de Renaissance. Des rebondissements, de l'action et une fin que j'ai beaucoup apprécié, je recommande vivement cette BD !
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Biographie
Fred Blanchard est né le 26 septembre 1966 à Agen. En 1988, après une formation de 4 ans à
l'ESAG (École supérieure d'arts graphiques de Penninghen), il commence à travailler régulièrement comme illustrateur free-lance pour des magazines. Son premier album pour les Éditions Zenda, Ran
Corvo, sur un scénario de Doug Headline et sa participation au magazine japonais Morning, précèdent de peu sa rencontre avec Olivier Vatine en 1990, avec qui il travaillera sur le tome 4 de la série Aquablue. C'est dès lors le début d'une longue et fructueuse collaboration. En 1995, ils créent tout d'abord pour les Éditions Delcourt le label "Série B" qui renoue avec la bande dessinée de genre en lançant, avec de jeunes auteurs, des séries comme Carmen Mc Callum, Golden City,
Travis, Nash ou encore Arcanes. En 1995, ils dessinent ensemble Star Wars en bande dessinée pour l'éditeur américain Dark Horse, traduit depuis chez Delcourt, et se consacrent également à la création de designs pour Snark, un projet de long métrage de Marc Caro. Toujours dans le domaine du cinéma, Fred Blanchard entre en 1991 chez Story en tant que décorateur de dessins animés. Il rejoint ensuite le réalisateur Pascal Morelli au sein de Gangster, pour qui il supervise le département décors sur diverses séries dont Arsène Lupin et Calamity Jane. Cette collaboration perdure sur l'adaptation en dessin animé de Corto Maltese, l'œuvre d'Hugo Pratt, pour Ellipse
Animation. Fred Blanchard dessine la presque totalité des décors de La Cour secrète des arcanes et supervise les décors de la série télévisée. N'ayant cessé, en parallèle, de travailler en tant qu'illustrateur pour divers magazines et organismes, il continue également à enrichir le label "Série
B" avec son art-of, Surplus Universalis, sorti fin 2007. Toujours chez Delcourt, il a récemment dessiné avec Gess le story-board du premier film en solo de Marc Caro, Dante 01. Fin 2007, il reprend en solo la direction du label "Série B" après le départ d'Olivier Vatine.
Ses influences vont de dessinateurs américains comme Geof Darrow ou Mignola, à des Japonais comme Miyazaki et Shirow, en passant par des Européens comme Mœbius ou Franquin et font de
Fred Blanchard un dessinateur des plus créatifs et des plus incontournables d'aujourd'hui.
Texte © Delcourt
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