Seichô Matsumoto

Matsumoto est devenu en à peine deux livre, l'un de mes auteurs favoris. Ses récits complexe réussissent toujours à me captiver, m'aspirer et me tenir en haleine.

C'est bien simple, une fois que je commence à lire un livre de Matsumoto j'ai du mal à le reposer.

Ce recueil de nouvelles est très bon, et les intrigues que nous propose Matsumoto sont toutes excellente.

Je conseille vivement ! (tout Matsumoto d'ailleurs)

Les intrigues et enquêtes que créé Matsumoto sont toujours un plaisir à lire ! Le vase de sable était très intriguant et un délice à lire ! Je recommande vivement !

Un très bon roman de Matsumoto, un peu plus lent que les autres romans que j'ai pu lire de lui. L'intrigue est un peu trop prévisible voire tiré par les cheveux mais c'est un trait de Matsumoto qui devient intéressant au fur et à mesure de mes lecture. En soit, une bonne lecture.

Tout d'abord pour saisir l'enjeu de ce roman, une connaissance de l'auteur est nécessaire. La postface l'explique très bien mais je vous la déconseille si vous ne désirez pas être spoiler.

Matsumoto donne énormément d'importance à ses personnages et leur liens sociaux ainsi que leur psychologie.

Il fait ressortir la solitude de Teiko à travers les descendants de paysages hostiles ainsi que l'attitude des autres personnages. "Le point zéro" est marqué par l'Histoire du Japon d'après guerre où la prostitution était monnaie courante et touchait toutes les femmes, quelque fut leur statut social avant cette tragédie.

Matsumoto fait écho à cette sombre période en brisant des tabous pour rendre hommage à ces femmes. ~

Six nouvelles narrant l'histoire tragique d'hommes et de femmes ordinaires qui, pour le pire et rarement le meilleur, font face à un monde de crimes et de délits dans le Japon des années 1950.

A la moitié du recueil, on a l'impression que l'auteur répète à chaque texte la même formule, d'autant plus que la première nouvelle est une merveille de candeur archaïque, prévisible au possible.

Sauf que Matsumoto, dans les faits et par la force de petits détails, sait varier à merveille la construction et la narration de ces courtes histoires pour mieux embarquer, par petites touches, sans se presser, le lecteur au cœur de ces textes. Une lecture aussi désuète qu'agréable, fine et délicate, une belle surprise d'un autre temps qui ne plaira pas à tout le monde, mais qui m'a bien amusé.

Matsumoto à toujours sur me transporter par le biais de ses histoires et de ses intrigue si bien tissées. Ce livre a été un vrai régal à lire, et le fait de suivre une héroine pour une fois fut une agréable surprise. Une très bonne lecture !

Ce livre a été une formidable découverte ! C'est la réédition d'un grand classique japonais.

Nous suivons Teiko, une jeune femme, qui à peine mariée, se lance à la recherche de son mari disparu. L'enquête s'effectue au rythme de ses déplacements ferroviaires à travers le Japon.

L'intrigue se déroule tranquillement avec pleins de rebondissements - jusqu'au terme de l'enquête menée par Teiko - qui relance l'intérêt du lecteur. Les paysages d'hiver nous plonge encore plus dans une atmosphère de roman noir.

On découvre la culture nipponne des années cinquante, toujours chargée de traditions mais qui tend à s'engager vers la modernité.

Nous sommes confrontés à la vie des femmes qui, au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, se sont retrouvées obligées de se prostituer avec les soldats américains pour survivre.

Un roman japonais dit à « énigme » qui nous invite, à travers l’enquête policière, à découvrir la situation des femmes nippones vis à vis des soldats américains après la seconde guerre mondiale. On appréciera la description du mode de vie des japonais, de leur courtoisie et de leur respect, ainsi que celle de la région où se déroule l’action et bien sûr la dominante psychologique des personnages. La fin de l’énigme est excellente et ne tombe jamais dans la redondance.

J'ai trouvé ce recueil de nouvelles policières très intéressant. J'ai aimé l'écriture et les intrigues bien tournées.

Voyage(s) dans le Japon de la fin des années 50. Deux amoureux (?) retrouvés suicidés sur une plage du Sud du pays. Un suspect (de quoi, puisqu’il semble ne pas y avoir de crime ?) qui se trouvait au même moment dans le Nord... Le commissaire Kiichi Mihara, aidé de son collègue à la retraite Jutaro Torigai, mène l’enquête, armé des horaires des trains japonais. Des trains qui partent, qui arrivent, qui se croisent, qui attendent, qui repartent... Mais, chose incroyable en France, toujours à l’heure.

Intrigue exceptionnelle qui ferait presque passer Agaga Christie pour superficielle. Mais intrigue, basée sur la ponctualité des trains, impossible à concevoir au pays de la SNCF.