Extraits

— J’ai envoyé des candidatures de stages. J’attends des nouvelles.

— Avez-vous demandé un stage chez moi, comme je vous l’ai suggéré ?

Je rougis… Ça va pas, la tête ?

— Euh… non.

— Qu’est-ce que vous lui reprochez, à ma compagnie ?

— A votre compagnie ou à votre compagnie ?

— Vous moqueriez-vous de moi, mademoiselle Steele ?

Qu'est-ce que je vais lui dire ? D'abord, m'excuser pour mon coup de fil

.— Je suis désolée, dis-je en fixant le mouchoir que je tortille furieusement.

— De quoi êtes-vous désolée, Anastasia ?

Il en veut pour son argent, ce salaud.

— Désolée vous avoir appelé. D'avoir vomi. La liste est interminable. Mon Dieu, faites que je meure maintenant.

— Ça nous est tous arrivé un jour ou l'autre, mais peut-être pas de façon aussi spectaculaire. Il faut connaître ses limites, Anastasia. Repousser ses limites, je suis pour, mais là, vous êtes vraiment allée trop loin.

L'ascenseur arrive. Nous sommes seuls. Soudain l'ambiance se charge d'électricité. Je respire plus vite. Mon coeur s'emballe. Il se tourne légèrement vers moi. Ses yeux ont viré à l'ardoise. Je me mords la lèvre.

- Oh et puis merde pour la paperasse.

Il me pousse contre le mur, m'agrippe les deux mains, et les cloue au-dessus de ma tête tout en m'immobilisant avec ses hanches. De sa main libre, il m’attrape par les cheveux et tire dessus pour me renverser la tête en arrière ; il écrase ses lèvres sur les miennes. C'est presque douloureux. Je gémis, livrant passage à sa langue qui en profite pour explorer ma bouche. Je n'ai jamais été embrassée comme ça.

Il me laisse continuer seule et ferme les yeux tandis que je fais coulisser ma main sur son sexe. Quand ses hanches basculent vers moi, d'instinct je ressens les doigts, ce qui lui arrache un petit gemissement. baiser ma bouche... Hum.... Je me rappelle qu'il m'a enfoncer le pouce dans la bouche et ma demander de le sucer fort. La sienne souvre, sa respiration s'accélère. Je me penche vers lui pendant qu'il a les yeux fermer je l'entoure de mes lèvres et je suce timidement, en fessant courir ma langue sur le bout de son sexe.

- Ah mon dieux Ana...

Ses yeux s'écarquille. Je suce de plus belle. Hum il est à la fois dur et doux, comme de l'acier gainé de velours et étonnamment savoureux il a un goût salé.

- putain, gémit t'il en refermant les yeux.

Je baisse la tête pour le prendre encore plus profondément dans ma bouche. Il gémit encore

- Pourquoi pas ? Pousse toi, m'ordonne-t-il.

Il retire son pantalon de pyjamas et entre dans la baignoire à son tour. S'installant derrière moi, il m'attire contre sa poitrine, allonge ses jambes sur les mienne, passe ses pieds par-dessus mes chevilles et les écartes brusquement. Je pousse un petit cri. Le nez dans mes cheveux, il inspire profondement.

- Tu sens tellement bon Anastasia.

Je suis toute nue dans la baignoire avec Christian Grey. Il est nu lui aussi. Il prend le flacon de gel de douche, en verse sans ses mains pour le faire mousser et commence à me masser le cou et les épaules de ses doigts fermes. C'est trop bon

- Ça te plaît ?

- Mmm

Il passe de mon cou à mes bras, puis mes aisselles. Heureusement que Kate m'avait forcée à me raser. Ses mains glissent vers mes seins et les malaxent doucement. Je me cambre instinctivement pour les pousser vers ses mains. Les pointes son encore un peu endolories par la façons dont il m'a traité hier soir. Il ne s'y attarde pas et fait glisser ses mains vers mon ventre. Ma respiration s'accélère, mon cœur saffole. Son érection durcit contre mes fesses. C'est tellement exitant de penser que c'est mon corps qui lui fait cette effet. il s'arrête pour prendre un gant de toilette tandis que j'halète contre lui... Lascive... Avide. Mes mains sont posées sur ses cuisses ferme et musclées. Versant du gel de douche sur le gant de toilette, il tend le bras pour me laver les jambes. Je retiens mon souffle. Ses doigts me stimule habilement à travers letoffe, c'est divin, et mes hanches se mettent à se mouvoir à leur propre rythme pour aller à la rencontre de sa main. Tête renversée, yeux exorbités, bouche béante, je geins. La pression monte lentement en moi.

- vas-y bébé, me souffle Christian à l'oreille en meffleurant le lobe de ses dents. Vas-y pour moi.

Ses jambes plaquent les miennent contre les parois de la baignoire, pour ouvrir l'accès à mon intimité.

- s'il te plaît..

Je tente d'allonger les jambes quand mon corps se raidit. Je suis sous l'emprise sexuelle de cet homme, et il ne me laisse pas bouger.

- je crois que tu es assez propre, maintenant, murmure t'il en s'arrêtant.

- pourquoi tu arrête ?

- parce que j'ai d'autre projet pour toi, Anastasia. Retourne toi. Moi aussi j'ai besoins de me laver.

Ah! En me retournant pour lui faire face, je découvre qu'il a son érection bien en main.

- je veux que tu apprenne à connaître, à tutoyer, la partie de mon corps que je préfère.

C'est tellement gros, et ça grossit encore! Son érection émerge de leau. Je la regarde fixement et deglutis. Tout ça était en moi ? Il veut que je le touche. Hum... Allez, hop, on y va. Je lui souris en versant un peu de gel de douche au creux de ma main, que je fais mousser entre mes paumes sans le quitter du regars. J'entrouve les lèvres et très délibérément, je mordille doucement ma lèvre inférieure, puis je passe ma langue là où mes dents se sont enfoncées. Je me penche pour la prendre en main. Il ferme les yeux un instant. Ça alors.... C'est encore plus dur que je m'y attendais. Je serre. Il pose sa main sur la mienne

- comme ça, chicote t'il.

Il fait coulisser sa main de haut en bas en m'aggripant fermement les doigts. Il baisse les paupières et s'arrête de respirer. Quand il les rouvres, son regard gris est en fusion

- c'est ça bébé.

Il me laisse continuer seule et ferme les yeux tandis que je coulisse ma main sur son sexe.

"What did I say to you in my sleep, Ch - err, Sir?"

His hands pause their ministrations for a moment.

"You said lots of things, Anastasia. You talked about cages and strawberries... that you wanted more... and that you missed me."

Oh, thank heavens for that.

"Is that all?" The relief in my voice is evident.

Christian stops his heavenly massage and shifts so that he's lying beside me. His head propped up on his elbow. He's frowning.

"What did you think you'd said?"

Oh crap.

"That I thought you were ugly, conceited, and that you were hopeless in bed."

He crease on his brow deepens.

"Well, naturally I am all those things, and now you've got me really intrigued. What are you hiding from me, Miss Steele?"

"Hi, My name's Leandra, What can I get for you... er... folks... er... today, this mornin... ?" Her voice trails off, stumbling over her words as she gets an eye full of Mr.

Beautiful opposite me. She flushes scarlet, and a small ounce of sympathy for her bubbles unwelcome into my consciousness because he still does that to me. Her presence allows me to escape briefly from his sensual glare.

"Anastasia?" he prompts me, ignoring her, and I don't think anyone could squeeze as much carnality into my name as he does at that moment.

I swallow, praying that I don't go the same color as poor Leandra.

"I told you, I want what you want." I keep my voice soft, low, and he looks at me hun-grily. Jeez, my inner goddess swoons. Am I up to this game?

Leandra looks from me to him and back again. She's practically the same color as her shiny red hair.

"Shall I give you folks another minute to decide?"

"No. We know what we want." Christian's mouth twitches with a small, sexy smile.

"I can't give you a number. I didn't put notches in the bedpost or anything."

"What are we talking - tens, hundreds... thousands?" My eyes grow wilder as the numbers get larger.

"Tens. We're in the tens, for pity's sake."

He was having dinner with her. My scalp prickles as adrenaline and fury lance through my body, all my worst fears realized, crashing through me. How could he I am away for two days, and he runs off to that evil bitch.

"Do you think that for once I should play hard to get?" I ask coquettishly.

His eyes widen with surprise, and I see a glimmer of excitement.

"Well... the door's closed. Not sure how you're going to avoid me," he says sardonically. "I think it's a done deal."

"But I'm a good negotiator."

"So am I." He stares down at me, but as he does, his expression changes, confusion washes over him, and the atmosphere in the room shifts abruptly, tensing. "Don't you want to fuck?" he asks.

"No," I breathe.

"Oh." He frowns.

Okay, here goes... deep breath.

"I want you to make love to me."