Ajouter un extrait
Liste des extraits
Il caresse doucement ma joue et y essuie une larme avec son pouce.
- Depuis que je t'ai rencontrée, je me sens vivre.
Son pouce suit le contour de ma lèvre inférieure.
- Moi aussi. Je suis amoureuse de toi, Christian.
Ses yeux s'écarquillent à nouveau, mais, cette fois, c'est la peur panique que j'y lis.
- Non ! souffla-t-il comme si je lui avais donné un coup de poing dans l'estomac. Tu ne peux pas m'aimer, Ana. Non... c'est mal.
Il est horrifié.
Afficher en entierLes commissures de ses lèvres frémissent, et il me regarde comme s’il me jaugeait.
— Peut-être. Mais certains disent que je suis sans cœur.
— Pourquoi ?
— Parce qu’ils me connaissent.
Cette fois, son sourire est ironique.
— Et, d’après vos amis, vous êtes quelqu’un de facile à connaître ?
Je regrette aussitôt d’avoir posé la question. Elle ne figure pas sur la liste de Kate.
— Je suis quelqu’un de très secret, mademoiselle Steele. Je m’efforce de protéger ma vie privée. Je ne donne pas souvent d’interviews.
— Pourquoi avoir accepté celle-ci ?
— Parce que je suis l’un des mécènes de l’université, et que je n’arrivais pas à me débarrasser de Mlle Kavanagh. Elle n’a pas arrêté de harceler mon service de presse, et j’admire ce genre de ténacité.
Je suis bien placée pour savoir à quel point Kate peut être tenace. C’est d’ailleurs pour cette raison que je suis ici, en train de me tortiller devant Grey.
— Vous investissez aussi dans les technologies agroalimentaires. Pourquoi ce secteur vous intéresse-t-il ?
— On ne peut pas manger l’argent, mademoiselle Steele.
Afficher en entierAllez, merde, quoi, embrasse-moi ! Tétanisée par ce désir si nouveau pour moi, je reste hypnotisée par la bouche de Christian Grey ; il me regarde, l’œil mi-clos, la prunelle assombrie. Sa respiration s’est accélérée. La mienne s’est carrément arrêtée. Je suis dans tes bras. Embrasse-moi, je t’en supplie. Il ferme les yeux, inspire profondément et secoue légèrement la tête comme pour répondre à ma question muette. Quand il rouvre ses yeux, il a l’air résolu.
- Anastasia, vous devriez m’éviter. Je ne suis pas l’homme qu’il vous faut.
Quoi ? D’où ça sort ça ? Il me semble que c’est à moi seule d’en juger. Je fronce les sourcils, sonnée.
Afficher en entier- Je ne veux pas m'en aller.
Merde. Ça y est. Ça passe ou ça casse. Les larmes me montent aux yeux.
- Moi non plus, je ne veux pas que tu t'en ailles, me chuchote-t-il d'une voix étranglée.
Il caresse doucement ma joue et y essuie une larme avec son pouce.
- Depuis que je t'ai rencontrée, je me sens vivre.
Son pouce suit le contour de ma lèvre inférieure.
- Moi aussi. Je suis amoureuse de toi, Christian.
Ses yeux s'écarquillent à nouveau, mais, cette fois, c'est la peur panique que j'y lis.
- Non ! souffla-t-il comme si je lui avais donné un coup de poing dans l'estomac. Tu ne peux pas m'aimer, Ana. Non... c'est mal.
Il est horrifié.
Afficher en entierGrey m’adresse un sourire éblouissant, spontané, naturel, sublime.
Oh mon Dieu… Il m’ouvre la porte de la suite. Je le contourne pour entrer, et je trouve Katherine en pleine discussion avec José.
— Ana, tu lui plais, c’est sûr et certain, claironne-t-elle tandis que José m’adresse un regard désapprobateur.
Mais à ta place, je ne lui ferais pas confiance.
Je lève la main pour la faire taire. Par miracle, elle obéit.
Afficher en entierTrès volontairement, je me mords la lèvre en secouant le tête. Il ferme brièvement les yeux et, quand il les rouvre, ils flamboient. Il avance et place ses mains sur la paroi de l'ascenseur de part et d'autre de mon visage. Il ne pourrait pas être plus près sans me toucher.
Afficher en entier“Je rougis de l'impudence de ma déesse intérieure, qui danse comme une folle en jupe hawaïenne rouge rien qu'à l'idée de lui appartenir.”
Afficher en entierCe que tu as dit en dormant
Anastasia,
Je préférerais t'entendre dire les mots que tu as prononcés en dormant lorsque tu es consciente, c'est pourquoi je ne veux pas te les répéter
Afficher en entier- Putain, qu'est ce que tu me fais ? souffle-t-il en frottant son nez dans mon cou. Tu m’ensorcèles, Ana: Tu es une magicienne
(...)
- C'est toi qui m'ensorcèles
Il me contemple, déconcerté, presque apeuré, et prend mon visage entre ses mains
- Tu-es-à-moi, martèle-t-il en séparant chaque mot. Tu comprends ?
(...)
- Oui, je suis à toi
Afficher en entierSur ce, je fais volte-face et sors de la salle de jeux en refermant la porte derrière moi . Je m'y adosse un instant agrippe a la poignée . Ou aller ? Je pars ? Hors de moi, j'essuie rageusement les larmes qui me brûlent les joues . Je n'ai qu'une envie : me rouler en boule. Récupérer .
Guérir ma foi brisée . Comment ai-je pu être aussi stupide ?
Afficher en entier