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Élémentaire Mes Chers Parents - Le théâtre de Sherlock Holmes



Résumé

165 pages de théâtre qui se lisent comme un roman !

L'arrivée inopinée d'un parent dans la maison des Holmes va amener un grand bouleversement. Enjôleur mais aussi homme d'affaires, ce dernier mûrit un projet audacieux. Ajoutez à cela l'apparition de vieilles connaissances aux intentions douteuses, dans une petite ville pourtant si paisible, il n'en fallait pas davantage pour déclencher un tourbillon d'événements étranges.

Le commissaire Laborde, malgré sa réticence, vient quérir quelques avis auprès du jeune Sherlock.

Violet et Siger Holmes voient leur salon envahi par une population mondaine et insolite, ne sachant plus à quel saint se vouer sinon à leur phénomène de fils.

Dans une confusion de faits, tout est sous nos yeux. Alors comme disait le maître des détectives : "vous voyez mais vous n'observez pas !"

Cet ouvrage renoue avec la tradition chère à Arthur Conan Doyle qui consiste à écrire un texte pour le théâtre avec la richesse de détails d'une nouvelle, comme il le fit avec Le diamant de la couronne qui deviendra La pierre de Mazarin.

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Classement en biblio - 1 lecteurs

extrait

— Il y a d'autres manies qui j'espère lui passeront aussi mais j'en doute. [Siger Holmes]

— À quoi fais-tu allusion ? [Violet Holmes]

— Oh, à pas grand-chose ! À ses promenades solitaires qui le mènent on ne sait où, à ses expériences qu'il poursuit dans sa chambre avec le microscope du Lycée que lui a prêté un professeur. Jeannette a refusé à plusieurs reprises d'aller nettoyer sa chambre à cause des odeurs dues aux objets insolites qu'il examine. Je ne parle pas des articles de journaux, français ou anglais qu'il collectionne sous forme de piles, pas plus que les tenues de toutes sorte dont il s'affuble parfois, prétextant faire une surprise à un ami alors que je ne lui connais pas d'amis.

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Argent

Un Sherlock Holmes en pièce de théâtre, pourquoi pas ? Bien que j'ai eu un peu de mal au départ à lire les dialogues repris sous leur forme théatrale.

Malgré tout, c'est 154 pages pétillantes et savoureuses à lire, surtout grâce aux répliques acides du père de Sherlock envers son beau-frère. Et vous savez tout comme moi que "♫ on choisit ses copains, mais rarement sa famille ♪".

On découvre dans ces pages un Sherlock de 18 ans, en compagnie de ses parents, Sieger et Violet. Il est à noter que canoniquement parlant, nous en savons peu sur les parents de Holmes : ils sont des petits propriétaires terriens et la grand-mère maternelle de Sherlock était la soeur du peintre Vernet.

Les prénoms des parents sont issu du fruit des déductions holmésiennes.

Notre jeune détective en herbe a déjà commencé à enquêter sur des petits mystères et fait le désespoir de ses parents car, à force de dévoiler à voix haute ses déductions sur leurs invités, il les a fait tous fuir.

L'arrivée du frère de madame Holmes bouleverse monsieur Holmes car il n'aime pas cet espèce de pique-assiette, et encore moins depuis que ce dernier a séjourné à la prison de New Gate.

Si le père de Holmes a la tête sur les épaules, la mère est un peu bêbête en présence de son frère, refusant de le voir tel qu'il est : un escroc doublé d'un coureur de jupons.

Bête au point de faire abstraction du fait que c'est son époux qui a dû éponger la dette de 5.000£ contractée par le frère, en leur nom à eux ! Rien que pour ça, avec moi, il valserait par la fenêtre ou serait accueilli avec du plomb !

Mais le frangin est accueilli par sa soeur et prend ses aises dans la maison des Holmes, soutenu par sa soeur, aveuglée par l'amour fraternel.

Le frangin, lui, c'est un charmeur, sans doute à la Arsène Lupin, parce que toutes les dames tombent en pâmoison devient lui, même la bonne ! En sa présence, tout le beau sexe devient bête à manger du foin.

Quant à Sherlock, il a déjà une partie de ses futures manies, mais pas encore cette distance avec les gens. Bref, je l'aime aussi ainsi.

Le roman est agréable et se lit tout seul. L'enquête est sympathique et j'ai vu venir les escrocs de loin, tout comme Sherlock. Les autres n'avaient rien vu venir.

Sherlock, lui, il observe et il déduit ! Mais il ne "devine" jamais. Et niveau déductions, il était déjà bien rôdé !

Dommage que cela n'ait pas été plus "caché", mais le fait que ce soit une pièce explique peut-être cela : le public est mis dans la confidence, voit tout, mais les protagonistes, eux, ne voient rien.

Comme par hasard, le chef de la police est toujours fourré chez Sherlock pour demander assistance, mais une fois l'affaire résolue et tous les honneurs pris, il rabroue Sherlock comme s'il n'était qu'un gamin, alors que sans lui, son enquête, il ne l'aurait jamais résolue !

Une bouffé d'air frais après un roman fort sombre qu'était mon précédent.

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