Commentaires de livres faits par Emmalabest03
Extraits de livres par Emmalabest03
Commentaires de livres appréciés par Emmalabest03
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Et je suis le président du conseil.
L'autre chiffe molle, c'est Mutsuki Soma, le vice-président.
Les autres...
Bah, tu les rencontreras bien assez tôt!
-Hajime-
- Tout est une question d'équilibre. [...] Du coup, grace a mes... atouts, j'ai pu signer des contrats avantageux avec des garcons delicieux, pendant mon regne...
- Ah oui? Vous vous penchiez et les assomiez avec?
Après tout, ils avaient l'éternité devant eux.
Beaucoup d'entre eux étaient humains, d'autres non, tous s'étaient retrouvés dans l'OutreMonde, là où vont les âmes des sorceliers morts. Ceux-qui-savent-lier-les-sorts. Les magiciens.
Les humains rassuraient les autres. Ils savaient que leur race avaient une énorme qualité.
Elle faisait des conn... des erreurs.
Elle jouait avec la magie, sans bien la comprendre, sans tout à fait la maîtriser.
Sorts ratés, potions mortelles, monstres trop gourmands.
Oui, si quelqu'un mettait un énorme interrupteur sous une pancarte "Attention, fin de monde ne pas toucher", vous pouviez être sûr qu'un humain le baisserait rien que pour voir ce qui allait se passer.
Parmi les fantômes, ceux qui avaient terminé leur vie en s'exclamant " Tiens, je n'ai pas encore essayé ç..." le disaient aux autres :
" Un jour, une brèche s'ouvrira, quelqu'un, quelque part commettra une erreur. Et nous pourrons rentrer chez nous."
Car c'était cela. Une faim dévorante. De retrouver un corps. Des sensations, des émotions. Des odeurs, des goûts.
Alors, ils attendaient. Impatients, fébriles.
Voraces.
Et enfin, le jour vint.
Ils étaient prêts.
[...]
-Je ne renoncerai pas. C'est un risque à prendre. (Il ne put résister:) Mais si cela ne t'ennuie pas, essaie de ne pas me tuer, je préférerais.
-Damoiselle ?
-La Chose aurait dû choisir l'autre chambre.
-Damoiselle !
-OK, OK! Disons que je n'ai rien dit.
[...]
-Voui ! Mais c'est pas grave, c'est pas contagieux, tu ne risques rien.
-Hein ?
-C'est pour cela que je vous ai suivies. Je voulais vous protéger, en dépit de la Chose, mais je ne savais pas que votre quête serait aussi grandiose ! Tout cela donne un but à ma vie !
[...]
-Voui, certes, dit-elle, un quoi ?
Le mur.
Une statue.
Une tapisserie.
Son pied.
Et, accessoirement, son adversaire.
[...]
-Tu aurais une jumelle ou un clone quelque part ? chuchota Angelica, sincèrement intriguée.
-Je ne sais pas, mais je crois pas.
-Il va donc se focaliser exclusivement sur toi. Ça va le rendre dingue que tu défies son pouvoir chez lui.
-Hmmm ?
-Bien évidemment, tous les jourstaux vont en parler, les cristallistes vont adorer. Crois-moi, je vais mme charger de faire passer l'information. Et comme il sera concentré ici, il ne s'occupera plus de Tara. Cela laissera les mains libres à ma fille pour faire... ce qu'elle doit faire. Oui c'est excellent. Cela vient renforcer mon plan.
Cal se cantonna à son "hmmm ?" tout en se demandant de quoi diable elle parlait. Quel plan ? Selena se leva, le surprenant.
-Tu peux tuer combien de fantômes à l'heure ? demanda-t-elle brusquement.
-Hmmm ?
Elle claqua des doigts, impatiente.
-Cal tu m'écoutes ? Combien de fantômes peux-tu tuer à l'heure ?
Ah ? Il devait répondre maintenant ?
Tara avait été vraiment surprise quand elle avait découvert qu'il existait un quartier des assassins. Et encore plus sur une planète où les Diseurs de Vérité étaient capables de lire les pensées des gens plus vite qu'un fan tombant sur un titre inédit de Harry Potter...
Elle se raidit. S’endurcit. Ce n’était pas possible. Elle ne pourrait jamais lui faire confiance. Et pire, elle ne l’aimait pas.
Il sentit sa réponse, avant même qu’elle ne lui parle. Lui aussi se raidit. Et leva la main. Une boule de feu noir s’y forma.
— Je suis désolé, mais je vois qu’il est plus sage de prendre la décision pour toi.
— Moi aussi je suis désolée, répondit doucement Selena. Nous sommes ennemis. À jamais.
Et avant qu’il n’ait le temps de la paralyser, elle jeta quelque chose par terre. Il y eut un éclair éblouissant et elle disparut.
Stupéfait, il réalisa qu’elle avait utilisé un Transmitus inconnu qui ne nécessitait pas qu’elle active sa magie.
Et son hurlement de fureur fit trembler les arbres d’AutreMonde.
A sa place, jamais, jamais je n'aurais pu l'exécuter. J'aurais trouvé un moyen de la prévenir, un moyen de la sauver.
Parce-que je l'aimais, moi !
Archer se tenait sur le seuil.
Elle se rebiffa.
- Pourquoi craignez-vous toujours qu'il se passe quelque chose ? Pourquoi me surveillez-vous constamment? lança-t-elle d'une voix tendue.Et que vous ai-je fait pour mériter une telle méfiance? ajouta-t-elle avec ressentiment.
Archer hésita. Puis il se courba pour entrer. Il était si grand, et la pièce si petite, qu'il donnait l'impression d'envahir tout l'espace. Il vint s'asseoir en tailleur sur le ,sol, près de Tess. Le lit était si bas que leurs têtes se trouvaient presque au même niveau. La ferme oscillait sous les coups. Le tonnerre grondait sans discontinuer.
- Peut-être, commença calmement Archer, suis-je un homme trop prudent. Il se trouve que j'ai beaucoup vécu, et que j'ai, par conséquent, appris à dispenser ma confiance avec
parcimonie.
- Je ne vous parle pas de confiance! rétorqua Tess avec vivacité. Simplement, je vous demande de ne pas agir sans cesse comme si j'étais sur le point de commettre un acte terrible. Archer, ma mémoire n'est vieille que d'une douzaine de jours tout au plus ... Et ce que j'ai vécu depuis lors, vous le connaissez aussi bien que moi. Etes-vous obligé de me considérer perpétuellement comme une menace ?
Elle plongea ses yeux dans les siens. Il ne cilla pas.
- Puis-je vous rappeler, répondit-il d'un ton égal, qu'en soi cette absence de mémoire est source d'inquiétude? Surtout quand je sens en vous un pouvoir? Un pouvoir devant lequel le loup blanc s'est incliné, un pouvoir qui a permis de guérir deux petits garçons ... Supposez que
vous soyez une magicienne, et que vous ayez oublié jusqu'à vos propres dons: que se passerait- il si vous les utilisiez involontairement?
Tess détourna les yeux. A cela, elle ne pouvait répondre. Elle songea à la lumière, à cette voix qui, quelques minutes auparavant, lui intimait de prendre le pouvoir. ..
Un léger arôme de fleurs séchées et de fruits mûrs s'en éleva. C'était désormais son seul lien avec Quentin, le fil fragile qui le conduirait jusqu'à elle...
Ses jambes se mouvaient sans effort et ses poumons se gonflaient d'un air extraordinairement pur.
A peine ses pieds s'étaient-ils posés sur le sol de Gayian qu'elle avait éprouvé une jubilation sans borne.
Le contact de cette terre étrangère l'électrisait et c'est à longues foulées qu'elle parcourait la steppe où elle s'était matérialisée quelques heures plus tôt. D'ailleurs, elle n'avait pas éprouvée le besoin de se métamorphoser en chauve-souris. C'était sous sa forme humaine qu'elle désirait appréhender ce monde.
Le posséder.
lame d’un élégant mouvement de la main, puis la rendit au jeune Coréen, stupéfait.
Elle se tourna vers Moineau et
lui dit :
– Je n’avais pas réussi à
trouver une occasion jusqu’à présent. Je savais que vous pourriez utiliser la
magie pour protéger Yong-Sun, mais il était aussi impératif que les hommes n’aient
pas engagé de flèches dans leurs arcs. Ces imbéciles étaient bien trop occupés
à les brandir vers le ciel.
Elle contempla les hommes, soudain
silencieux, qui fixaient leur chef. Puis elle eut un merveilleux sourire, lumineux
et heureux.
Dantrix fit un pas, un autre, puis
dévisagea Saluta, incapable d’imaginer qu’une vieille femme ait pu le vaincre
aussi facilement. Il essaya de bredouiller quelque chose, mais le sang dans sa
gorge le rendit inintelligible.
Enfin, comme un tronc pourri qu’on
abat, il tomba de tout son long. Les hommes se mirent à crier et Moineau se
transforma. Tel l’éclair, tel un feu foudroyant, elle bondit, arrachant les
armes des mains de rebelles trop surpris pour avoir le temps de réagir. En
quelques secondes, elle avait réussi à désarmer près de trente hommes sur la
quarantaine qui les encerclait. Yong-Sun bondit et ses deux sabres s’activèrent
sur ceux qui n’avaient pas bien compris que le règne de Dantrix venait de s’achever.
Il ne les blessa pas, mais des bouts de lances et d’arcs se mirent à jaillir un
peu partout.
Moineau dut assommer trois
récalcitrants. Les hommes, qui n’avaient jamais vu un monstre comme elle, déclarèrent
très vite forfait.
Il avait conscience que parler à son corps dans un miroir comme s'il allait lui répondre n'était pas tout à fait normal. Mais, après tout, le monde disait qu'il était fou, il n'avait aucune raison de ne pas se comporter comme tel.
Pour s'écraser, avec un grand "baoum", contre la vitre. Qui ne s'était pas ouverte.
-J'ai bien cru t'avoir perdu !
-Oui, j'ai bien cru m'avoir perdu aussi, répondit gravement le petit chat.
-Tu n'aime pas les maths ?
-Ce sont plutôt elles qui ne m'aiment pas, grogna Robin.
-Hajime-