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Extrait ajouté par Jenna95 2013-10-08T20:39:12+02:00

PREMIER PAYSAN. - Ça ne se verra pas : là-bas tous les hommes sont aussi fous que lui.

HAMLET. - Comment est-il devenu fou ?.

PREMIER PAYSAN. - Très étrangement, à ce qu'on dit.

HAMLET. - Comment cela ?

PREMIER PAYSAN. - Eh bien ! En perdant la raison.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-10-08T20:38:50+02:00

Oh ! ne parle plus, Hamlet. Tu tournes mes regards au fond de mon âme ; et j'y vois des taches si noires et si tenaces que rien ne peut les effacer.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-10-08T20:36:58+02:00

GUILDENSTERN. - Ces rêves-là sont justement l'ambition ; car toute la substance de l'ambition n'est que l'ombre d'un rêve.

HAMLET. - Un rêve n'est lui-même qu'une ombre.

ROSENCRANTZ. - C'est vrai ; et je tiens l'ambition pour chose si aérienne et si légère, qu'elle n'est que l'ombre d'un rêve.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-10-08T20:36:30+02:00

POLONIUS. - Je Voudrais toujours l'être. Mais que penseriez-vous de moi, si, quand j'ai vu cet ardent amour prendre essor je m'en étais aperçu, je dois vous le dire, avant que ma fille m'en eût parlé), que penseriez-vous de moi, que penserait de moi sa Majesté bien-aimée la reine ici présente, si, jouant le rôle de pupitre ou d'album, ou faisant de mon coeur un complice muet, j'avais regardé cet amour d'un oeil indifférent ?. Que penseriez-vous de moi ?... Non. Je suis allé rondement au fait, et j'ai dit à cette petite maîtresse : le seigneur Hamlet est un prince hors de ta sphère. Cela ne doit pas être. Et alors je lui ai donné pour précepte de se tenir enfermée hors de sa portée, de ne pas admettre ses messagers, ni recevoir ses cadeaux. Ce que faisant, elle a pris les fruits de mes conseils ; et lui (pour abréger l'histoire), se voyant repoussé, a été pris de tristesse, puis d'inappétence, puis d'insomnie, puis de faiblesse, puis de délire, et enfin, par aggravation, de cette folie qui l'égare maintenant et nous met tous en deuil.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-10-08T20:35:48+02:00

LE SPECTRE. - Je suis l'esprit de ton père, condamné pour un certain temps à errer la nuit, et, le jour, à jeûner dans une prison de flammes, jusqu'à ce que le feu m'ait purgé des crimes noirs commis aux jours de ma vie mortelle. S'il ne m'était pas interdit de dire les secrets de ma prison, je ferais un récit dont le moindre mot labourerait ton âme, glacerait ton jeune sang, ferait sortir de leurs sphères tes yeux comme deux étoiles, déferait le noeud de tes boucles tressées, et hérisserait chacun de tes cheveux sur ta tête comme des piquants sur un porc-épic furieux.

Mais ces descriptions du monde éternel ne sont pas faites pour des oreilles de chair et de sang. Ecoute, écoute ! Oh ! écoute ! Si tu as jamais aimé ton tendre père...

HAMLET. – Ô ciel !

LE SPECTRE. - Venge-le d'un meurtre horrible et monstrueux ?

HAMLET. - D'un meurtre ?

LE SPECTRE. - Un meurtre horrible ! le plus excusable l'est ; mais celui-ci fut le plus horrible, le plus étrange, le plus monstrueux.

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Extrait ajouté par meg59255 2013-09-02T18:04:52+02:00

Acte I scène I

Marcellus : Eh bien ! asseyons-nous ; et que celui qui le sait me dise pourquoi ces gardes si strictes et si rigoureuses fatiguent ainsi toutes les nuits les sujets de ce royaume ! Pourquoi ces presses faites sur les charpentiers de navire, dont la rude tâche ne distingue plus le dimanche du reste de la semaine ? Quel peut être le but de cette activité toute haletant, qui fait de la nuit la compagne de travail du jour ? Qui pourra m'expliquer cela ?

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Extrait ajouté par Hanayu 2013-05-16T17:49:39+02:00

Il y a plus de choses au ciel et sur la terre que n'en rêve ta philosophie.

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Extrait ajouté par Looryn 2012-09-16T13:05:05+02:00

HAMLET

[...] What have you, my good friends, deserved at the hands of

Fortune, that she sends you to prison hither?

GUILDENSTERN

Prison, my lord!

HAMLET

Denmark's a prison.

ROSENCRATZ

Then is the world one.

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Extrait ajouté par Ninochka 2012-03-30T18:58:42+02:00

OPHELIA. - J'espère que tout ira bien. Il faut avoir de la patience ; mais je ne puis m'empêcher de pleurer, en pensant qu'ils l'ont mis dans une froide terre. Mon frère le saura ; et sur ce, je vous remercie de votre bon conseil.

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Extrait ajouté par orianne 2011-05-29T23:33:14+02:00

HAMLET

Elle me semble, madame! Non: elle est. Je ne connais pas les semblants. Ce n'est pas seulement ce manteau noir comme l'encre, bonne mère, ni ce costume obligé d'un deuil solennel, ni le souffle violent d'un soupir forcé, ni le ruisseau intarissable qui inonde les yeux, ni la mine abattue du visage, ni toutes ces formes, tous ces modes, toutes ces apparences de la douleur, qui peuvent révéler ce que j'éprouve. Ce sont là des semblants, car ce sont des actions qu'un homme peut jouer; mais j'ai en moi ce qui ne peut se feindre. Tout le reste n'est que le harnais et le vêtement de la douleur.

LE ROI

C'est chose touchante et honorable pour votre caractère, Hamlet, de rendre à votre père ces funèbres devoirs. Mais, rappelez-vous-le, votre père avait perdu son père, celui-ci avait perdu le sien. C'est pour le survivant une obligation filiale de garder pendant quelque temps la tristesse du deuil; mais persévérer dans une affliction obstinée, c'est le fait d'un entêtement impie; c'est une douleur indigne d'un homme ; c'est la preuve d'une volonté en révolte contre le ciel, d'un cœur sans humilité, d'une âme sans résignation, d'une intelligence simple et illettrée. Car, pour un fait qui, nous le savons, doit nécessairement arriver, et est aussi commun que la chose la plus vulgaire, à quoi bon, dans une opposition maussade, nous émouvoir à ce point? Fi! c'est une offense au ciel, une offense aux morts, une offense à la nature, une offense absurde à la raison, pour qui la mort des pères est un lieu commun et qui n'a cessé de crier, depuis le premier cadavre jusqu'à l'homme qui meurt aujourd'hui: Cela doit être ainsi! Nous vous en prions, jetez à terre cette impuissante douleur, et regardez-nous comme un père. Car, que le monde le sache bien! vous êtes de tous le plus proche de notre trône; et la noble affection que le plus tendre père a pour son fils, je l'éprouve pour vous. Quant à votre projet de retourner aux écoles de Wittemberg, il est en tout contraire à notre désir; nous vous en supplions, consentez à rester ici, pour la joie et la consolation de nos yeux, vous, le premier de notre cour, notre cousin et notre fils.

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