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Extraits de livres appréciés par JS77

...
- Elle...
Dorian l'interrompit.
- Tu m'expliqueras ça plus tard. Pour l'instant, nous devons t'évacuer de la zone dangereuse.
- Pourquoi on ne peut pas rester ici?
Il pressa sa hanche et elle eut l'impression qu'un courant électrique lui traversait le corps en crépitant.
- Les scans télépathiques sont illégaux mais on n'a pas affaire à des enfants de choeur. Il leur suffirait de scanner une personne qui t'a aperçue en voiture. Viens.
Il lui attrapa la main.
À sa surprise, il ne l'emmena pas vers leur véhicule. Il se dirigèrent au contraire vers l'arrière du bâtiment. Il ouvrit une petite prote et ils se retrouvèrent dans la lueur éclatante de ce début d'été. Elle essayait encore d'acclimater ses yeux à la lumière lorsqu'ils franchirent la porte d'un autre bâtiment avant de dévaler des escaliers.
- Où est-ce qu'on va? glapit-elle tandis qu'ils couraient le long d'un étroit couloir jusqu'à la porte du fond.
- Attends, tu verras.
Il lui adressa un large sourire et déverrouilla la porte.
Elle eut juste le temps d'apercevoir les murs de terre nus, les poutres en bois qui soutenaient le plafons, les ténèbres, avant que son ésprit se révolte.
- Non, Dorian, non! Je t'enprie!
Elle freina à bloc mais il était si fort qu'il faillait les entraîner par-delà la porte dans l'obscurité profonde du tunnel.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Dorian fut ébahi.
- Tu n'étais certainement pas aussi directe avec le Conseil.
- Je participe aux jeux politiques quand c'est nécessaire. (Voix froide, pouls agité.) Mais ce n'est pas ma nature profonde.
Il la crut.
- Tu projettes de muter mon ADN? la taquina-t-il.
- Certainement pas.
Elle étendit les jambes, jusqu'à toucher de ses orteils la vitre claire des poutres-fenêtres.
Il regarda ses ongles parfaitement coupés, sans vernis, et ressentit une nouvelle envie pressante de morde. Puis elle poursuivit:
- Si je projetais de me débarasser de toi, je le ferais sans bruit et avec une telle efficacité que tout le monde croirait que tu es décédé de mort naturelle.
Si une autre femme l'avait menacé de la sorte, il lui aurait sans doute promis de ne jamais la rendre furieuse, avec un grand sourire. Mais il ne s'agissait pas de n'importe quelle femme. Ashaya était une scientifique qui avait passé des années aux mains du Conseil Psi. Elle était aussi la seule femme à avoir mis sa capcité à se contrôler en péril.
- Essaie toujours, la menaça-t-il d'une voix douce et mortelle.
Ashaya ne s'attendait pas à cette réponse, mais elle n'aurait pas su dire pourquoi. Cela sonnait simplement terriblement faux.
- Tu me tuerai?
- Non. Il existe d'autres moyens de briser une femme.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Leath fit mine de décharger sa colère comme la plupart de ses semblables l'auraient fait dans de telles circonstances: il projeta de nouveau Rialla au sol d'une gifle plus spectaculaire que violente.
- Va m'attendre dans ma chambre! siffla-t-il.
Rialla détala sans demander son reste et, la main sur le visage, se dirigea vers la chambre tandis que Leath se plaignit tout haut de la mauvaise éducation que recevaient les esclaves.
Au premier virage, on l'arrêta en la prenant par le bras; elle leva brusquement la tête et découvrit de nouveau le guérisseur.Avant qu'elle puisse se dégager, il toucha celle de ses joues qui n'était pas tatouée puis lui pencha la tête pour mieux voir son visage à la lueur des toches.
- Des coups, et pas de traces, dit-il d'une voix douce, mais ferme; il ne laisserait de toute évidence pas partir avant d'avoir obtenu quelques réponses.
Rialla inspecta les environs et constata avec soulagement qu'ils étaient seuls. Elle le prit par la manche et l'entraîna dans la pièce la plus proche. Un rapide coup d'oeil jeté plus tôt lui avait appris qu'il s'agissait d'une étude abandonnée, en cours de réaménagement. Il n'y avait pas de fenêtres et, une fois la porte fermée, il y fit aussi noir que dnas une grotte. Rialla poussa un grognement exaspéré.
- Bien, attendez un peu, je vais trouver une pierre à briquet, dit-elle, oubliant quelque peu son personnage.
Elle trébucha sur un objet laissé au beau milieu de la pièce, tomba et se cogna la tête sur quelque chose de très dur.
- Je dois pouvoir vous aider, dit l'homme.
La flamme d'une bougie scintilla soudain dans sa main. Sa voix était complétement dépourvue d'humour, mais Rialla crut déceler une note de sarcasme sur son visage. Elle lui lança un regard furieux, toujours assise par terre, avant de soudain se rappeler qu'elle était censée se comporter en escalve.
Rialla eut enfin l'occasion d'observer attentivement le guérisseur, et comprit alors ce qui l'avait perturbée auparavant: il n'était pas plus darranien qu'elle. Il était plus grand, plus massif, mais ce n'était pas tout: ses cheveux étaient presque blonds, quoique sa barbe bien taillée fût plus foncée. Quant à ses yeux, ils n'étaient pas verts comme ceux de Rialla, mais noisette et parsemés de paillettes bleues qui semnblaient apparaître et s'évanouir à la lueur de la bougie.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
- Super! Je vais prendre ma douche et m'habiller! Tu crois qu'il aimera ma nouvelle robe rose? cria-t-elle (Leo) en disparaissant brutalement.
Bruce se renfrogna.
je ne vois pas ce qu'elle trouve à ce vieux psychopathe!
- Un vieux psychopathe? fit une voix à la fois calme, profonde et terrifiante.
Raphael entra par la fenêtre de la chambre comme l'avait fait Michael quelques heures plus tôt.
- La plupart de mes invités passent par la porte mais si tu insistes... tenta de plaisenter Bruce sans détacher son regard de la vision apocalyptique qui se tenait devant lui.
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
Obnubilée par ses pensées, elle ne remarqua pas que Loup s'était levé avant qu'il ne vienne s'assoir à ses côtés.
- Tu vas bien? demanda-t-il avec douceur.
Sur le point d'acquiescer, elle secoua la tête, sans la lever de ses genoux.
- Non, ça ne va pas. Si tout allait bien, je pourrais dormir.
Tout en parlant, toujours sans lever les yeux, elle se rapprocha de lui afin de se blottir contre son épaule. Un bref silence s'ensuivit, puis il pasa un bras autour d'elle.
- Qu'est-ce qui ne va pas, Dame?
Il était si chaud. Elle haussa les épaules.
- Je peux faire quelque chose?
Elle lâcha ses jambes et se serra tout contre lui jusqu'à se retrouver presque assise sur ses genoux.
- C'est déjà fait, je te remercie. Je suis désolée. Le combat m'a rendue un peu nerveuse.
- Pas de problème.
Sans changer de position, il l'enlaça avec une certaine maladresse, mais sa chaleur augmenta et atténua le froid que les couvertures n'avaient pas réussi à dissiper. Aralorn se détendit, mais ne ressentit pas le beoin de bouger.
Je deviens l'une de ces femmes qui gémissent et geignent à la première occasion, tout ça pour qu'un charmant mâle la prenne dans ses bras.
Oh! oui! Elle flirtait avec lui! Et cela ne semblait pas déranger Loup.
- Hmm, répondit-il, considérant manifestement ce qu'elle venait de dire. C'est donc ça, la raison? Je m'ézais toujours demandé.
- Eh oui! rétorqua-t-elle avec sagesse, constatant que son étreinte s'était détendue.
A croire qu'il ne s'était jamais trouvé si près de quelqu'un. Elle se pelotonnait parfois contre le loup, mais c'était rare. Ce 'était pas dans ses habitudes de solliciter des caresses.
-Ensuite, poursuivit Aralaorn d'un ton léger, elle couche avec lui et il est obligé de l'épouser. C'est bon de savoir que je ne suis pas tombée aussi bas... pour le moment.
- C'est donc pas pour ça que tu es ici?
Avez vous apprécié cet extrait ? +9
- Qu'est-ce que tu as ramassé par terre?
-Ah! oui! Une simple... espionne. Petite, mais efficace.
Etait-ce de l'amusement qu'elle percevait dans sa voix?
Le sac s'ouvrit et elle se retrouva suspendue par la queue sous les yeux attentifs des deux hommes. Elle se tortilla et mordit la main qui la tenait, fort. Le mage rit, mais dessera sa paume pour qu'elle puisse s'y assoir confortablement.
- Mon seigneur, laissez-moi vous présenter Dame Aralorn, ancienne espionne de Sianim.
Elle fut si interloquée qu'elle faillit en tomber à la renverse. Comment connaissait-il son indentité? Après tout, elle n'était pas l'un de ces célèbres généraux. Enréalité, en tant qu'espionne, elle tâchait coûte que coûte de rester incognito. De plus, personne, absolument personne ne savait qu'Araalorn pouvait se transformer ensouris.
Soudais, une idée lui effleura l'esprit. Maintenant que le sac n'étouffait plus la voix, elle la reconnut. Elle était déformée par le masque, une trachée humaine, et ce curieux accent, mais elle la reconnut néanmoins. Qui d'autre pouvait avoir ce timbre macabre si particulier?
Spoiler(cliquez pour révéler)
C'était Loup.
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