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Liste des extraits

Extrait ajouté par BibHLM 2010-11-23T19:00:22+01:00

L'amour, parfois, ça vous tombe dessus et on se retrouve assommé.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T21:57:26+01:00

Dès qu'on aime quelqu'un, faut-il obligatoirement souffrir? Est-ce la rançon à payer? Elle ne savait qu'aimer. Elle ne savait pas se faire aimer. C'était deux choses bien différentes.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T21:57:26+01:00

" On ne guérit pas d'une mère qui ne vous aime pas. Ça creuse un grand trou dans le cœur et il en faut de l'amour et de l'amour pour le remplir ! On n'en a jamais assez, on doute toujours de soi, on se dit qu'on n'est pas aimable, qu'on ne vaut tripette. "

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Extrait ajouté par Laurie67 2016-11-01T19:56:55+01:00

Un homme un vrai, n'est pas celui qui claque les femmes ou se fait sucer par des anonymes goulues, mais celui qui dit: je ne sais pas ce que c'est la féminité. Peut-être est-ce seulement une façon d'être un homme.

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Extrait ajouté par Edith972 2012-05-18T00:29:26+02:00

Joséphine n'en revenait pas: Luca, l'homme le plus indifférent du monde, lui courait après! Elle sentit ses genoux flageoler. Elle n'était pas habituée à susciter des passions. ne savait pas comment se comporter. D'un côté, elle lui était reconnaissante. Elle se sentait importante, séduisante. D'un autre côté, elle le regardait et se disait qu'il est beau comme un bout de mois mort.

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Extrait ajouté par december-5th 2011-04-23T21:21:46+02:00

« Il avait demandé un coup de main là-haut, au réveil, à l'heure où le Ciel et la Terre se mélangent, où l'on rêve, éveillé, à l'adresse des anges.»

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Extrait ajouté par Smarties23 2011-04-12T00:14:05+02:00

"Joséphine ouvrit le paquet avec précaution. Un patron de rose dessiné par Hortense ? Un petit livre sur les ravages du sucre dans les écoles anglaises, préfacé par Shirley ? Des photos d'écureuils bondissants prises par Gary ?

C'était un livre. Les Neuf Célibataires du Sacha Guitry. Une édition rare en veau cerise. Elle ouvrit la page de garde. Une haute écriture à l'encre noire jaillit de la feuille blanche : "On peut faire baisser les yeux de quelqu'un qui vous aime, mais on ne peut pas faire baisser les yeux de quelqu'un qui vous désire. Je t'aime et je te désire. Philippe."

Elle serra le livre sur sa poitrine et cueillit un rayon de bonheur. Il l'aimait ! Il l'aimait !"

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Extrait ajouté par Smarties23 2011-04-12T00:14:05+02:00

"- Je t'entends penser, Jo. Arrête de faire ton examen de conscience !

- Mais...

- Arrête, sinon je vais avoir l'impression d'embrasser une bonne soeur !

Mais il y a certaines limites qui sont beaucoup trop dangereuses à franchir, certaines limites qu'il ne faut en aucun cas dépasser et c'est précisément ce que je suis en train de faire et mon Dieu, mon Dieu que c'est bon, les bras de cet homme autour de moi !

- C'est que..., essaya-t-elle encore d'articuler. J'ai la sensation de...

- Joséphine ! Embrasse-moi !

Il la serra étroitement contre lui, lui bâillonnant la bouche comme s'il voulait la mordre. Son baiser devint brutal, impérieux, il la poussa contre la porte brûlante du four, elle eut un mouvement pour se dégager, il la plaqua, força sa bouche, la fouilla comme s'il cherchait encore un peu de farce, un peu de cette farce qu'elle avait pétrie de ses doigts, comme s'il léchait le bout de ses doigts malaxant la pâte, le goût des pruneaux lui remplissait la bouche, il salivait, Philippe, gémit-elle, oh, Philippe ! elle s'accrocha à lui, enfonça sa bouche dans sa bouche. Depuis le temps, Jo, depuis le temps... et il se jetait sur le tablier blanc, le froissait, le retroussait, la repoussait contre la porte vitrée du four, entrait dans sa bouche, entrait dans son cou, écartait le chemisier blanc, caressait la peau chaude, descendait ses doigts sur ses seins, appuyait sa bouche sur le moindre morceau de peau arraché au chemisier, au tablier, mettait fin à des jours et des jours d'attente torturante."

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T21:57:26+01:00

Elle ne désesperait pas d'apprendre quelque chose sur elle. C'était la devise de son oncle: chaque homme a son secret, sa petite vilènie qui, bien exploitée, en fait un serviteur ou un allié. Elle pensa qu'elle n'avait pas encore tout dit, qu'il y avait encore beaucoup de gens dont elle connaissait les secrets honteux, beaucoup de gens qui pourraient la détester, et elle aimait tellement qu'on la déteste car on ne déteste pas les faibles, n'est ce pas, on ne hait que les puissants.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T21:57:26+01:00

-En même temps, à quoi sert d'avoir tellement vécu? A émousser les sentiments?

Elle soupira.

-Mais la douleur, elle, ne s'émousse pas. C'est étrange d'ailleurs: L'amour s'use, mais la douleur reste vivace. Elle change de masque, mais demeure. On ne finit jamais de souffrir, alors qu'on finit un jour d'aimer. La vie est mal faite!

Pas si sûre, se dit Joséphine, la vie précipite des évènements que l'imagination n'oserait pas enchainer.

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