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Chacun de nous a droit a la dignité. Droit a la différence. Droit à la vie quelles que soient les circonstances. Il n’y a pas de bons ou de mauvais malades, de maladies propres et d’autres sales, il n’y a que des êtres souffrants.
Avec les années, une grande tolérance remplace l’amour. Avec le temps, l’amour se transforme en tendresse, en bonheur invisible. Voit-on le bonheur ? … Il est là. L’amour, après, ne se dit pas. Il est là, installé doucement. On trouve le repos auprès d’un être à la tête bien faite et à l’esprit bien carré. La sagesse se situe dans l’acceptation de la vie telle qu’elle est.
Ce n’est pas au nom de la laïcité qu’il faut interdire le port du voile aux mineures, à l’école ou ailleurs, c’est au nom des droits de l’homme, et au nom de la protection des mineures.
Cependant, j’ai au moins trois certitudes. On est ce qu’on fait. On touche le fond parce qu’on se l’y autorise. Et, pour se projeter dans l’avenir, il faut oser ouvrir les yeux.
Nous avons tous une musique en nous-mêmes, lui dis-je. Ecrire n’est rien d’autre que se mettre à l’écoute de cette mélodie intérieure et la transcrire. C’est cela la tâche de l’écrivain : laisser faire, ne rien empêcher ! Car, la plupart du temps, nous bloquons et l’écriture n’a pas lieu…
Car la formidable leçon de vie que nous dégageons de cette aventure, c’est que le bonheur ne dépend nullement de l’endroit où l’on vit, mais de ce qu’on veut faire de sa vie, de réussir à atteindre cet objectif et d’en profiter pleinement.
En Occident, on vit dans l’anxiété et l’angoisse des problèmes que l’on aura peut-être jamais à affronter. En Afrique, on fait face aux difficultés au fur et à mesure qu’elles se présentent. On accepte mentalement le pire, ce qui aide à éliminer le doute, les fausses espérances, les inquiétudes… Ici, on ne prend pas la peine de se battre contre l’inévitable, on accueille le malheur sans essayer de le refuser. La vie ne laissant pas le temps d’être dans l’angoisse, on relativise ses incontournables vicissitudes. On vit ainsi plus richement, découvrant beauté et compensation.
Et vivre en Afrique, c’est accepter l’inévitable avec résignation et grâce. Eviter ce qu’on peut éviter et affronter le reste avec dignité, fermeté, patience.
Si vous êtes cette petite fille ou ce petit garçon, si vous connaissez quelqu’un qui l’est, surtout, ne gardez pas le silence. Il est important de parler haut et fort, de se révolter contre ces monstres qui nous volent notre enfance.
Que cela soit en France ou ailleurs, arrêtons de réduire la femme à un simple objet, car elle a tout simplement le droit de vivre et d’exister, le droit d’aimer et d’être aimée !
Comprendre l’autre, l’aider à surmonter les épreuves, ne pas le juger, ne pas le rabaisser, mais faire preuve de tolérance ; c’est l’essence même de l’amour. Respecter et être à l’écoute de sa partenaire, être complémentaire. Voilà ce qu’est pour moi le vrai sens des mots « couple » et « amour ».
Actuellement l’euthanasie va à l’encontre de la justice, pourtant elle n’est pas un crime. Elle doit être un droit à partir, à quitter l’existence, à mourir dans la dignité. L’euthanasie ce n’est pas tuer, c’est accompagner avec douceur.
Il y a quelques années, je disais que tant qu’il y avait de la vie, il y avait de l’espoir. Aujourd’hui, j’espère que son agonie ne va pas durer. Souhaiter le départ d’un être cher peut être une preuve d’amour.
S’il y avait bien une chose qui définissait la parenthèse adolescente, c’était les fous rires. On ne rit plus jamais ainsi, après. La conscience brutale que le monde et la vie sont complètement absurdes déclenche ces hoquets de rire à en perdre la respiration, quand la même idée, vingt ans plus tard, n’entraînera qu’un soupir résigné.
…une liseuse numérique…L’appareil permettait de télécharger une bibliothèque entière et de la transporter dans un sac. Le livre papier résisterait-il à cette merveille technologique ?
Car ainsi va le monde : l’insouciance de la jeunesse cédant le pas à la nécessité de payer ses factures et d’assumer ses responsabilités, nous sommes tous voués à reprendre le modèle que, durant notre adolescence rebelle, nous nous étions juré de ne jamais répéter.