Commentaires de livres faits par poune
Extraits de livres par poune
Commentaires de livres appréciés par poune
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Les grognements s'arrêtèrent aussitôt et ils vinrent tous se présenter.
Puis Roni fit quelque chose de vraiment étrange. Elle inclina la têten regarda Dominic et s'approcha de lui. D'un doigt elle gratta le col de sa chemise de manière très aguicheuse. Surpris et curieux, il lui adressa un grand sourire.
- Es tu croyant ? lui demanda-t-elle sur le même ton que lui qand il sortait des propos vraiment tartes. Parce que j'ai l'impression en te voyant que toutes mes prières ont été exaucées.
Roni fit ensuite un clin d'oeil complice à Nick et s'éloigna, sans doute pour aller trouver sa mère. Selon toute apparence, elle avait réussi à venger un peu son frère.
- Elle vient de ..., commença-t-il en bégayant. L'as-tu entendue...? fit-il en s'expirant longuement. Dieu du ciel, j'espère qu'elle acceptera de m'épouser.
Ils éclatèrent tous de rire en le regardant se précipiter à la poursuite de Roni.
- D'accord, d'accord. Je voulais juste te donner un petit baiser et, si par hasard il ne te plaisait pas, tu pourrais toujours me le rendre.
- Dominic.
- Fais attention à toi, blondinet, le prévint Nick dont la voix claqua comme un fouet
- Tu aimes bien vivre dangereusement, déclara Tao en secouant la tête
- Il n'existe pas de meilleure manière de vivre, répondit Dominic en souriant. Quoi ? fit-il en remarquant le sourire sardonique de Nick.
- Tu sais à quel point ta meute va rigoler quand enfin tu auraq rencontré ton âme soeur ? je me trompe peut-être, mais je pense que tous les mecs voudront se venger pour tout ce que tu leurs as fait subir
- Tout à fait, fit Trey en hochant la tête
- Je ne suis pas du tout contente de toi, lui dit-elle de sa voix éraillée de sorcière, ce qui lui fit lever les sourcils. Tu avais peut-être tes raisons mais peu m'importe. Tu as fait souffrir notre Shaya et je n'aime pas ça. Tu devrais être reconnaissant d'avoir une compagne aussi gentille et pas une garce comme elle, dit-elle en désignant Taryn d'un signe de tête.
Taryn se contenta d'esquisser un sourire.
- Au fond, Greta, tu m'aimes beaucoup, rétorqua Taryn en lui donnant un petit coup de coude. Avoue, j'occupe une place de choix dans ton coeur de pierre.
Trey leva les yeux au ciel puis se tourna vers Shaya.
- J'ai déjà un cul énorme et mes seins ont grossi aussi. C'est sur que le ventre va suivre.
- Je trouve que tes seins ont beaucoup d'allure dans cette robe. Et ton cul est sacrémet bandant.
- Alors pourquoi tu ne te réjouis pas de ce que tu as ? J'ai de gros seins, un gros cul et un ventre plat pour l'instant.
Ses yeux se baissent pour admirer mes seins, puis un sourire étire ses lèvres tandiq qu'il m'attire vers lui.
- Viens par là.
- Tu as une lueur diabolique dans le regard
Son sourire se transforme en rire
- Viens ici. Tu m'as manqué
- Qu'est-ce que tu as en tête, dis moi ?
Il tapote sur ses genoux
- Je te laisse choisir
- Entre ?
- Ecouter de la musique
- L'idée me plait bien
- S'embrasser
- Le choix est difficile
- Se peloter
- Là, tu deviens sadique
- Ou tout ça en même temps
Sans préambule, je lui saute dessus. Il rit et me serre immédiatement très fort dans ses bras
- Je te tiens, maintenant !!
—L'ours mauve, répondit Patch, avant de s'emparer d'une affreuse peluche aux poils synthétiques et de me la tendre.
—Ça alors ! m'exclamai-je en pressant une main sur mon cœur. C'est pour moi ? Vraiment ?
—Je sais que tu as un faible pour le rebut. Au supermarché, tu prends toujours les boîtes de conserve les plus cabossées.
Il passa son doigt dans la ceinture de mon jean et m'attira contre lui.
—Filons d'ici.
—Aurais-tu des projets ? demandai-je d'un air détaché, fondant intérieurement, car je savais exactement ce qu'il avait en tête.
—Chez toi. »
Il lui arracha le livre des mains et le plaça à l’autre bout du lit, hors de sa portée. Lorsque Claire voulut le récupérer, il s’interposa ; ils luttèrent quelques instants et, sans qu’ils l’aient prévu, elle se retrouva allongée sur lui. Elle manqua de glisser sur le côté, il la retint.
— Oh, murmura-t-elle, on ferait mieux de…
— Carrément.
— Dans ce cas, tu devrais…
— Ouais, tu as raison.
Sauf que Shane ne bougeait pas et elle non plus. Ils se regardèrent au fond des yeux un long moment puis, très lentement, elle approcha ses lèvres des siennes.
Leur baiser, tendre, langoureux et merveilleux, sembla se prolonger une éternité et, paradoxalement, ne pas durer assez longtemps. Les mains de Shane descendirent sur les hanches de Claire avant de remonter le long de son dos et de s’emmêler dans ses cheveux humides, tandis qu’il l’embrassait encore plus passionnément. Cette étreinte-là était pleine de promesses.
— Ouh là, stop ! dit-il sans la lâcher mais en mettant un petit centimètre d’air entre leurs deux bouches. »