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Les commentaires de ileanamaboitedepandore

Commentaire ajouté par ileanamaboitedepandore 2023-09-30T10:40:08+02:00
Diamant

De la variété et de la qualité

C'est toujours un plaisir de découvrir le nouveau numéro de L'Indé Panda.

Les nouvelles aux genres littéraires variés me permettent toujours de sortir de ma zone de confort de lecture et les plumes sont de qualité...

À découvrir absolument !

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Commentaire ajouté par ileanamaboitedepandore 2023-07-08T11:45:54+02:00
Argent

Un très bon roman utopique/dystopique saupoudré d’une excellente romance slow-burn.

Le premier détail qui m’a frappée dans cette fiction est la froideur qui s’en dégage. La froideur d’Ava, personnage principal et narratrice, dans le peu d’émotions dont elle fait preuve et, en continuité, la froideur avec laquelle elle décrit les décors, les situations… Cette ambiance presque glaciale plonge le lecteur dans un récit qui, en plus, démarre sur les chapeaux de roues ! Évidemment, ma curiosité a tout de suite été titillée… Que se cache-t-il sous cette « évolution » de l’être humain ? L’intrigue est posée et avec elle, la première pièce du puzzle : l’équipe à laquelle va s’attacher Ava.

C’est ainsi que nous rencontrons les différents protagonistes au caractère plus ou moins affirmé, sérieux ou détendu. Et si j’ai eu du mal à m’attacher à Ava à cause de sa carence émotionnelle, ce détail n’a pas du tout entaché ma lecture. Au contraire, il lui a donné une part de réalité saisissante et a rendu l’évolution d’Ava très plausible.

L’amour entre en jeu à ce moment-là et, comme vous le savez, j’adore les touches de romance dans les histoires. Celle entre un certain personnage et Ava m’a beaucoup plu. D’une part parce qu’elle prend son temps à se mettre en place. D’autre part parce qu’elle est un très bel exemple de respect mutuel.

Et puis, les protagonistes à la psychologie variée offrent de fameux retournements de situation. Certains cachent leur jeu pour mieux révéler leur complexité ou, au contraire, leur simplicité le moment venu. En bref ? Vous n’êtes pas au bout de vos surprises !

Les rebondissements alternent ainsi avec les temps un peu plus calmes. Le suspens demeure présent tout au long du récit. Certains passages sont peut-être allés un peu trop vite pour moi, en particulier sur le dernier quart du récit, mais le rythme reste très bien maîtrisé. La lecture est fluide et agréable.

La plume de Sophie Zimmermann joue bien sûr dans cette impression de tourner les pages sans s’en rendre compte. L’autrice maîtrise son univers utopique et nous le fait bien sentir à travers des de magnifiques descriptions, tant de la nature que des technologies futuristes.

Un très bon roman, que je recommande aux fans de science-fiction et de romance.

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Lu aussi

Je ne suis pas trop romance à 100 %, même si j’aime les histoires d’amour lorsqu’elles s’entremêlent avec une autre intrigue. Malgré cela, j’en lis de temps en temps, notamment pour la psychologie des personnages. J’ai été servie avec « Je vais décoincer mon boss » !

Sung-Jae et Luna sont modelés comme vous et moi, avec leurs défauts et leurs côtés attachants, leur passé qui influe inévitablement sur leur présent… J’aurais aimé en savoir davantage sur la famille de Sung-Jae, peut-être un peu survolée à mon goût, mais c’est un détail. Cet ensemble forme des protagonistes plus vrais que nature et offre une profondeur certaine au roman. L’histoire d’amour s’en ressent : elle est saine, prend son temps et est réaliste. Bref, on s’y plonge, on y croit, et comme ce n’est pas « tout beau tout rose », on vit avec les personnages !

D’ailleurs, le suspens quant à leurs conditions personnelles est bien mené et fait son boulot « d’accroche ». Car s’il n’y a pas réellement de retournements de situation, des rebondissements et des révélations qui tombent à point nommé permettent de garder un rythme dynamique.

La plume fluide d’AD Martel jour évidemment un grand rôle dans cette impression de tourner les pages sans s’en apercevoir. Les descriptions, tant des émotions que des décors, sont justes. Le vocabulaire et les tournures de phrases sont travaillés pour proposer une lecture très agréable et sans prise de tête.

Moment de détente garanti !

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Or

Dans ce quatrième opus de la saga « Shaman », nous retrouvons Tangri, Hilga et Seta dans les vastes plaines américaines. Un changement de décor pour plusieurs aventures initiatiques.

Hilga se révèle et, si j’étais restée sur ma faim concernant ce personnage dans le troisième tome, j’ai refermé celui-ci avec une joie intense d’en avoir appris plus sur elle. Elle est le genre de protagoniste qui peut prendre une place encore plus importante dans l’histoire. J’espère pouvoir suivre ses enseignements qui promettent d’être aussi riches que ceux de Tangri.

Ce dernier n’est pas en reste non plus, même si nous le retrouvons ici en tant que « formateur » plus que comme « étudiant ». Les jeux de miroir entre son « élève » et lui sont instructeurs, les flash-backs dans le passé de Tangri n’en deviennent que plus saisissants.

Ils offrent également du rythme au récit, qui se lit déjà très facilement grâce à la plume fluide de Tigran et aux chapitres courts.

Un nouveau personnage entre donc en scène, ainsi qu’une nouvelle culture : celle des Indiens d’Amérique. C’est un plaisir de découvrir quelques parcelles de cette richesse, de ces croyances… J’ai beaucoup aimé suivre Élan Blanc dans son initiation qui, si elle détient des points communs avec la culture mongole, n’en reste pas moins différente.

Et si chaque quête est une épreuve en soi, c’est grâce à elles que les personnages se rencontrent et se dépassent. Peut-être, sûrement, manque-t-il ce type d’initiation à notre société…

Quant à Seta, la fille de Hilga et Tangri, elle entre progressivement dans la danse. Ce tome-ci m’a fait l’effet d’une sorte de petite introduction à son égard. Je l’espère du moins, car l’enfant a bien grandi et nous réservera peut-être quelques révélations dans les prochains livres !

L’écriture de Tigran est toujours autant travaillée et plaisante. Cette saga est à lire !!!

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Bronze

Quel plaisir de retrouver ce jeune homme en quête de lui-même… Et quoi de plus important qu’un nom pour se (re)trouver ?

C’est ce que propose ce troisième volet de la saga « Shaman » : le personnage est prêt. Prêt à découvrir, à vivre cette quête spirituelle si particulière. Accompagné par Otharjanat et par ses propres guides, notre protagoniste nous emmène avec lui dans ses transes pour nous transmettre ses connaissances et ses découvertes.

Je vous laisse donc la surprise du nom, qui, s’il est essentiel, n’est pas l’unique énigme du récit. En effet, Hilga, sa compagne, arrive au-devant de la scène. D’une part grâce à un nouveau protagoniste (dont je tais volontairement l’identité ; - ) ) qui, on le pressent, sera important pour la suite de l’aventure, mais aussi grâce à son histoire personnelle et son héritage. Je demeure très évasive, mais j’ai beaucoup apprécié en savoir plus sur cette femme si chère au personnage principal. Cette force tranquille se dévoile progressivement et j’espère en apprendre davantage à son sujet dans le prochain tome ! Je suis un peu restée sur ma faim.

Seta, leur fille, n’est pas en reste non plus. Cette petite fille m’a intriguée dès sa naissance et, au fil des révélations de ce troisième volet, l’on sent que l’auteur n’en a pas fini avec elle. Ce n’est même que le début…

Comme pour les autres tomes, ce troisième opus est court et facile à lire. Les décors des forêts mongoles sont brièvement plantés, mais avec des mots efficaces et sensés. Peut-être m’a-t-il manqué quelques détails sur les émotions des personnages, mais cela ne m’a pas empêchée de plonger dans le récit.

J’aime ces peuplades connectées à la nature et lire « Shaman » équivaut pour moi à un grand bol d’air pur. C’est le genre de livre accessible, avec ce qu’il faut de romancé pour se laisser bercer par les initiations chamaniques des protagonistes.

À lire !

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Commentaire ajouté par ileanamaboitedepandore 2023-04-21T13:54:01+02:00
Argent

Coup de cœur !

J’avais aimé le premier tome de « Revival », lu il y a un bon moment maintenant. Je me souvenais des personnages et de l’histoire (pas dans ses moindres détails), mais je me suis replongée rapidement dans le récit. Et si, dans le premier tome, j’avais trouvé les protagonistes un poil trop ado (tout à fait normal vu leur âge cela dit), j’ai eu l’excellente surprise de constater leur évolution. L’évènement majeur en fin de premier tome, qui ouvre le second, les fait mûrir. C’est subtil, très bien mené et du coup, j’ai vraiment, complètement accroché.

Pour mon plus grand plaisir, j’ai retrouvé le parallèle saisissant entre réalité/jeu vidéo. J’avais presque parfois une sensation de léger vertige lorsque j’enchaînais les chapitres, tant les atmosphères différentes sont bien rendues. Ce qui rend d’autant plus réelles les interrogations soulevées sur notre société et la place des jeux vidéo, la réalité virtuelle, les motivations qui peuvent nous pousser à nous y enfermer ou à en sortir… J’apprécie beaucoup la plume engagée d’AD Martel, notamment pour ses messages de tolérance et de respect, et, ce que j’aime plus encore, c’est le non-jugement qui les accompagne. J’ai (re)trouvé tout cela dans « Revival ».

Côté trame du récit, accrochez-vous avec des rebondissements nombreux et très bien pensés. Quand je vous dis que cette lecture est addictive… XD La romance principale est belle, mais ne prend pas trop de place, tout comme les histoires d’amour secondaires. L’amitié tient une place importante, pilier incontournable de cette fiction servie par une belle plume, travaillée, fluide et simple à lire.

Une duologie à dévorer… jusqu’au bout ! Car une petite surprise vous attend au dernier chapitre. Pour ma part, c’est l’option numéro 2 ! (Oui, ma phrase est sibylline, mais n’hésitez pas à revenir me dire la vôtre lorsque vous l’aurez compris ! 😉 )

Une dernière précision, mais non des moindres : vous n’avez pas besoin de vous y connaître en jeu vidéo pour vous plonger dans l’ambiance si particulière de ce roman.

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Diamant

Un ouvrage fabuleux et tout à fait accessible.

Eh oui ! C’était un peu ma crainte en choisissant ce livre à la bibliothèque : pour avoir lu quelques bouquins qui traitent de chamanisme, je savais que le sujet peut parfois être ardu, car technique ou carrément mystique. Dans « Mère », je n’ai pas du tout ressenti cela. Laurent Huguelit s’ouvre, offre et transmet au lecteur et à la lectrice son vécu avec des mots simples et imagés, que ce soit dans les soins qu’il vit auprès des hommes et des femmes médecines dans la forêt, ou lorsqu’il nous confie une anecdote de son chemin de vie.

Les alternances avec les paroles de la Madre donnent un rythme dynamique. J’ai vraiment eu l’impression, dans la syntaxe, la construction des phrases, qu’il y a réellement deux êtres qui ont écrit ce livre. D’ailleurs… qu’on ait fait l’expérience, qu’on croit à cet univers spirituel ou pas, ne change rien à la beauté du message et de la plume de l’auteur. C’est sûrement la force de cet ouvrage : il ne cherche pas à « convaincre » ou à « convertir » : c’est un cri du cœur pour prendre conscience de notre force. Notre force individuelle pour évoluer vers la paix, et notre force collective, car finalement, nous aspirons toutes et tous à la même chose : vivre harmonieusement. Pour cela, nous devons changer de système, arrêter de saigner la Terre pour espérer un avenir.

Aujourd’hui, nous sommes nombreux et nombreuses à en être persuadés. Ne reste plus qu’à… « Mère » nous y invite grâce à des clefs très simples et accessibles de développement personnel qui sont distillées ici où là. Évidemment, le lecteur et la lectrice demeurent libres de les appliquer.

Ce livre est aussi un témoignage vivant des conséquences de nos blessures et de la beauté que recèle notre monde. Cette franchise concernant nos actes ou, au contraire, notre indifférence fait du bien.

Pour embellir le tout, la plume de l’auteur est très fluide, avec un vocabulaire riche et varié et, je me répète, imagé. Si cet ouvrage fait pour moi partie des pépites à lire, c’est parce qu’il soulage le cœur et l’âme. Il est gorgé d’un amour universel. Les illustrations vont complètement dans ce sens, elles égayent les pages pour renforcer ce magnifique message. Je ne sais pas vous, mais moi, je suis restée baba devant la couverture !

À lire absolument !

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Lu aussi

Un titre accrocheur pour un livre qui l’est tout autant.

Dans un ouvrage ficelé et bien pensé, Erwan Deveze nous offre un condensé (tout à fait digeste) de l’impact du pouvoir sur notre cerveau. Les neurosciences n’ont de cesse d’éclairer sous un jour nouveau nos mécanismes, nos déviances, mais aussi nos forces. Je connaissais cette science pour m’y être intéressée grâce à Catherine Gueguen et l’éducation bienveillante, retrouver cette matière dans un sujet tout autre a été très agréable et plein de surprises !

Qui n’a jamais admiré un président ou un PDG en songeant à la pression endurée si vaillamment ? Et qui n’a jamais été dégoûté devant ses actes scandaleux ? Tenez-vous bien, car ces deux extrêmes s’expliquent biologiquement et psychologiquement. « Le pouvoir rend-il fou ? » éclaire ces faits de façon très accessibles. N’ayez crainte si vous n’y connaissez rien en neurosciences, l’auteur maîtrise suffisamment bien sa plume et son sujet pour nous embarquer dans les méandres du cerveau sans être submergé d’infos. C’est d’ailleurs LE point fort de ce bouquin que d’avoir vulgarisé cette discipline qui, évidemment, gagnerait à être partagée.

Mais au-delà de la science « pure et dure », ce livre intercède pour une prise de conscience collective concernant notre puissance de décision et se veut, en sous-jacent, être un véritable plaidoyer pour notre démocratie et le management…

Le découpage en chapitres et sous-chapitres assez courts offre un rythme de lecture dynamique. Un bref portrait d’un homme ou d’une femme politique ou PDG se glisse ici ou là. Un excellent moyen de « donner l’exemple » pour prouver qu’une autre gérance et qu’une autre façon de gouverner sont possibles.

De manière générale, j’ai trouvé l’opinion de l’auteur assez juste : il n’hésite pas à pointer les faiblesses de notre société, mais à en voir aussi les bons côtés. Erwan Deveze offre une vision du verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide et, comme cité dans les dernières pages du livre, l’optimisme, d’un point de vue neuroscientifique, a un impact positif sur le cerveau. Pourquoi se priver ?

Les pistes de réflexion et les solutions concrètes applicables à tout à chacun (y compris nos supérieurs !) proposées en fin de lecture sont un réel bonus. De quoi nous faire cogiter pour construire un monde plus juste !

*Iléana*

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Commentaire ajouté par ileanamaboitedepandore 2023-03-15T16:28:41+01:00
Diamant

Ce pavé relate les 20 premières années de Betty, la grand-mère de l’autrice. Dans l’Amérique des années 60, ce récit de vie poignant aborde des secrets de famille et un quotidien extrêmement douloureux.

Le racisme tu, physiquement et mentalement, et Betty, métisse américaine et cherokee, le découvre vite. Tiffany McDaniel a eu l’art d’empoigner mon cœur au détour d’un paragraphe pour le relâcher quelques lignes après, meurtri.

Le ton est loin, très loin du pathos, et c’est peut-être cette franchise enfantine, au travers de la narratrice Betty, qui fonctionne si bien. Car cette petite fille, que l’on voit grandir au fil des pages, affine sa perception du monde et de ses proches de jour en jour tout en gardant une part de naïveté liée à son âge parfois terrible pour la lectrice que j’ai été. Car sous les mots ciselés, l’on pressent les drames passés et à venir. Ceux-ci m’ont cueillie au fur et à mesure de l’histoire, en même temps que Betty se découvre la force pour y faire face. L’écriture l’y aidera grandement et ce roman devient alors une ode à cet art.

Mais Betty, cette fillette à la fois mature et enfantine, confiante et apeurée, ne serait probablement pas aussi puissante sans son père. La culture cherokee éveille cette part mystique et ancestrale de son être. Et si sa couleur de peau lui vaut brimades et humiliations, son héritage culturel nourrit sa lumière intérieure. Les histoires du père parfois féériques, tout le temps mystérieuses, entraînent alors aussi bien Betty que le lecteur.

Chaque membre de cette famille nombreuse m’a interpellée. Une question réside à la fin de ma lecture : quelle est la part génétique dans nos actions ? Lecteurs et lectrices sensibles s’abstenir…

La magie se mêle au quotidien, les tabous éclatent, les secrets de famille sont déterrés avec une violence inouïe, mais la beauté est là, toujours. L’écriture superbe modèle chaque description, chaque dialogue, chaque phrase… Ajoutez à cela un rythme très bien maîtrisé et vous obtiendrez « Betty », un hymne à la vie.

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Lu aussi

Une duologie pour ado très, très bien écrite et avec de beaux messages.

Faute à un planning chargé, j’ai mis du temps à me replonger dans l’histoire de Rowena et d’Eugène, et pourtant ! Quelle aventure ! L’imagination d’AD Martel a encore été rendez-vous pour ce nouveau roman. Pourvu d’un suspens parfois haletant, le rythme du récit offre cependant quelques soupapes pour souffler. Un repos bienvenu qui permet d’apprécier les moments de quiétude à leur juste valeur. Nos protagonistes sont en effet chahutés de toute part grâce à (ou à cause ? ^^’) de fameux retournements de situation.

Et s’ils ont chacun un caractère bien trempé, c’est pour mieux prouver leur valeur et leur courage à la page suivante. Les relations uniques qu’ils tissent sont belles, tout simplement humaines, avec des hauts et des bas, avec des ententes et des désaccords. Un très bel apprentissage pour chacun d’entre eux.

La plume engagée d’AD Martel est toujours un régal à lire. Outre quelques messages glissés tout en douceur pour l’égalité des sexes, vous trouverez au fil des chapitres un véritable cri du cœur pour l’écologie. Le côté steampunk du récit offre bien entendu un excellent contexte pour cette prise de conscience venant de Rowena notamment et permet au lecteur ou à la lectrice, s’il le souhaite, de faire le parallèle avec notre monde.

Le tout est servi par un style travaillé et fluide. Idéal pour les ados, mais les adultes y trouveront sans conteste leur bonheur !

À lire, évidemment !

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