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Les commentaires de ileanamaboitedepandore

Lu aussi

L’histoire est somme toute assez banale. Tous les ingrédients pour un roman fantastico-romantique y sont réunis. Avis aux amateurs, donc !

Le petit plus : la nature de Deva (que vous découvrirez au fil des pages.) Elle fournit une touche d’originalité non négligeable à ce roman prévisible dans l’ensemble.

Les scènes de sexe entre Deva et Tristan pimentent un peu le récit. Là encore un bon point puisque leur histoire d’amour reste elle aussi terriblement prévisible.

La plume d’Alice H. Kinney est simple. Trop simple pour moi à certains moments, j’avoue. Ceci dit, les pensées directes de Deva (écrites en italiques) rehaussent le récit, elles en cassent la monotonie.

Les clichés utilisés dans le texte s’étendent aux personnages. Deva est sage, timide, maladroite et pas franchement combattive. Iris, sa meilleure amie, est pétillante, sexy et pleine de vie. Tristan est un Apollon jaloux et colérique, mais doux et romantique.

D’un point de vue général : le roman se lit facilement et vide la tête. Il réunit les ingrédients fantastiques et de romance/érotique qui ravissent certains d’entre nous, le tout narrer d’une façon linéaire. Je comprends qu’il puisse plaire, mais je n’ai pas accroché, je ne lirai donc pas la suite !

En savoir plus sur http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/chroniques/fantastique/dark-light-vampire-brothers-vol-1-2.html#9pmFPFz1wIP3uvVw.99

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Argent

Le roman se focalise sur les enfants des personnages principaux du tome 2, ce qui, comme pour L’hiver du monde, apporte un vent de fraîcheur à l’histoire. Leurs parents et grands-parents restent cependant en arrière-plan, ils amènent une certaine stabilité à l’histoire et permettent de resituer les protagonistes dans leur famille d’origine. C’est que les générations commencent à se succéder, et au début, il m’a été parfois un peu difficile de me souvenir qui était le fils ou la fille de qui ! Ceci dit, ce petit désagrément disparait au fil des pages, au fur et à mesure que l’on apprend à connaitre ces nouveaux protagonistes.

Encore une fois, chapeau bas à Ken Follett qui réussit à rendre chaque personnage unique et attachant, un en un mot : humain.

Sa plume est également au rendez-vous, toujours fidèle à l’Histoire. Il a l’art et la manière de m’embarquer dans des moments clefs historiques, de rendre toutes ces heures de cours de collège et de lycée vivantes et émouvantes. La chute du Mur de Berlin m’a particulièrement touchée. D’un point de vue général, les décennies de la Guerre Froide sont particulièrement intéressantes, et ne datent pas de si longtemps ! Dans ce roman, Ken Follette nous décrit le monde d’il y a une trentaine d’années, un passé proche, donc, qui permet de comprendre comment les Sociétés Occidentales en sont arrivées là aujourd’hui.

J’ai également trouvé fascinant d’assister à cette marche de l’Histoire sur près d’un siècle, de constater tous les changements sociétaux et économiques, et ce dans les quatre coins du monde.

Suivre des familles sur presque un siècle et ne pas s’en lasser, c’est un exploit que peu d’écrivains peuvent se targuer de réussir, c’est pourtant le cas de Ken Follett avec Le Siècle.

En savoir plus sur http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/chroniques/letterature/le-siecle/aux-portes-de-l-eternite.html#vrsAvtpmixezAWT2.99

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Un deuxième volet haletant de la saga Le siècle de Ken Follett.

Cette sombre période n’épargne personne, aucune famille ni aucun pays.

Nous suivons principalement les familles du premier tome. Cependant, l’histoire est axée sur la dernière génération, c’est-à-dire les enfants nés pendant la Première Guerre mondiale (et leurs petits frères et sœurs.) Ces nouveaux personnages apportent un vent de fraicheur à l’histoire, ils sont jeunes et fougueux, comme leurs parents à leurs âges, mais ont tous leur propre caractère. Les personnages de La chute des géants restent bien présents, consolidant ainsi cette saga familiale.

Véritable mine d’or historique, ce roman rend compte de la situation politique du monde dans les années 1920-1940. J’aime beaucoup l’histoire et, encore une fois, j’ai eu l’impression d’y être plongée.

Chose agréable : Ken Follett ne tombe pas dans le listing de la barbarie nazie. Il nous entraîne du côté du peuple, des soldats, des résistants et de la sphère politique, toutes nationalités confondues. Il nous fait voyager d’un bout à l’autre du globe, et ces différents points de vue rendent le livre passionnant et difficile à lâcher !

La plume de Ken Follet, saisissante et juste, est également au rendez-vous. Pas de détails superflus, les émotions poignantes des protagonistes sont retransmises au lecteur avec brio.

Sortez votre mouchoir pour ce deuxième tome, il récoltera autant de larmes de bonheur que de tristesse !

En savoir plus sur http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/chroniques/letterature/le-siecle/l-hiver-du-monde.html#1cAK1xrGWDhrMB3j.99

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Lu aussi

Ce livre a plus de deux cents ans. J’ai trouvé extrêmement intéressant de se plonger ainsi dans l’Histoire de mon pays. Voltaire dresse un portrait d’une France barbare et fanatique, d’une France croyante et intolérante.

J’ai découvert un pays empreint de soumission et de vénération pour son roi, mais aussi pour son Église. Cette Église qui gouvernait par la peur et l’ignorance. C’est difficile de s’imaginer son pays ainsi, se dire que nos ancêtres ont massacré, brûlé, torturé, pendu d’autres Français (et des étrangers), tout ça parce qu’ils n’interprétaient pas la Bible de la même façon que la majorité, ou parce qu’ils vénéraient un autre Dieu.

L’idée majeure : sans la culture et la connaissance, les Hommes se laissent emplir la tête de superstitions et suivent les chefs comme des moutons. Un Homme cultivé ne coupe pas la tête de son voisin parce qu’il ne pense pas comme lui, tout simplement parce qu’il sait que Dieu prône la paix et l’amour, pas la violence et la haine.

Moment de vertige lorsqu’on se rend compte que cette intolérance existe encore aujourd’hui, au XXIe siècle.

Voltaire nous livre un véritable plaidoyer pour la tolérance, et il utilise beaucoup d’exemples d’autres civilisations, par exemple les Grecs ou les Romains, mais aussi de cultures qui vivaient à son époque. Il nous livre son interprétation des faits et de l’Histoire. Elle m’a paru, parfois, un peu réductrice et presque intolérante elle-même ! De l’intolérance face aux intolérants, en somme.

Les nombreux noms d’évêques et autres personnalités ont alourdi un peu ma lecture.

J’ai été surprise par la plume de Voltaire. Au lycée, j’avais lu Candide et je n’en gardais pas un très bon souvenir. Mais ce Traité sur la tolérance se lit facilement et rapidement. Il est intéressant d’un point de vue historique, mais également pour faire le parallèle avec notre Société et le monde d’aujourd’hui.

En savoir plus sur http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/chroniques/traite/traite-sur-la-tolerance.html#HOpqFhIKQ8IGpXPL.99

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Argent

La suite de La prophétie des Andes est à la hauteur du premier livre.

D’un point de vue aventure, l’histoire se tient et elle démarre sur les chapeaux de roues. L’auteur nous embarque immédiatement dans la recherche de Charlène. Très vite, le héros part à la recherche de son amie, et nous avec !

D’un point de vue spirituel, la révélation est au rendez-vous ! Ce livre, concentré sur une seule révélation, est plus poussé que le précédent. Il entre dans les détails et les explications, et c’est agréable ! L’auteur prend le temps de développer ce nouvel enseignement. Ce rythme « pose » un peu plus la lecture, bien que l’intrigue provoque un sentiment d’urgence.

J’ai senti le héros acteur de ses choix, conscient de ses décisions. J’ai particulièrement apprécié ce nouvel état d’esprit. On sent qu’il applique les neuf premières révélations, et cette évolution est agréable. Elle donne du dynamisme à l’histoire.

J’ai également aimé retrouver Will, il garde son rôle de « mentor » auprès du héros, et cela lui va bien !

Pour conclure : un deuxième tome à la hauteur du premier. Cette dixième prophétie fait naturellement suite aux neuf premières, un bel enseignement révélé au fil des pages.

En savoir plus sur http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/chroniques/letterature/la-prophetie-des-andes/la-dixieme-prophetie.html#kBHo71Fq5HZD0wPv.99

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Diamant

Ce livre peut à la fois se lire comme un roman d’aventures et comme un roman initiatique.

En tant que roman d’aventures, James Redfield nous emmène loin ! Au Pérou, plus précisément. L’histoire débute très rapidement, dès les premières pages. Le voyage se déroule sur quelques jours, les péripéties s’enchaînent. Le roman garde ainsi un rythme soutenu.

Les personnages se croisent et se recroisent, ce qui permet au lecteur de les découvrir petit à petit, au fil des pages.

En tant que roman initiatique : waouh !

Et si ce livre nous aidait à y voir un peu plus clair dans notre vie ? Les révélations raisonnent et provoquent certaines interrogations. Elles invitent à se remettre en question, et instillent un certain espoir, celui que l’on partage tous, je pense, à propos de l’évolution de l’humanité. Ce roman pousse le lecteur sur le chemin de la compréhension de sa vie personnelle. Il le fait d’une façon douce, chaque révélation s’enchaînant avec une autre pour former un tout, le Manuscrit.

Bref, un livre à garder dans sa bibliothèque et à relire dès que l’on pense à lui !

Que vous le preniez comme un roman d’aventures ou une histoire initiatique, vous ne serez pas déçu.

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Lu aussi

J’ai découvert Ildefonso Falcones dans ce roman. Sa plume, légère et agréable, narre une histoire de destins entremêlés, d’amour et de lutte, de liberté de l’esprit, mais pas forcément du corps. Les personnages et leurs valeurs familiales prennent vie, incitant le lecteur à l’empathie, voire à la compassion, et à comprendre leur décision et leur caractère. La petite touche historique ici ou là est appréciable.

On pourrait qualifier ce roman de saga familiale. On y découvre l’importance de la « famille du cœur », ces personnes avec qui l’on vit, celles pour lesquelles nous sommes prêts à tout, mais qui ne partagent pourtant pas notre sang. De belles valeurs se dessinent au fil des pages, la liberté se tapit partout, au détour de chaque mot, pour mieux exploser dans les danses et les chants des protagonistes.

Le suspens reste à son comble jusqu’à la dernière page.

Bref, un bouquin qui se lit et s’apprécie autant comme un témoignage historique, que comme une saga ficelée, aux personnages profonds et attachants (ou pas), que l’on découvre avec plaisir et passion.

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Commentaire ajouté par ileanamaboitedepandore 2015-11-30T08:55:13+01:00
Or

Charlotte ne pouvait pas échapper à son destin. Et si on ne croit pas au lien transgénérationnel, impossible de le nier lorsque l’on découvre les ancêtres et proches parents du peintre.

Les émotions refoulées mènent-elles à la folie ? à la dépression ? Se transmettent-elles de génération en génération ? Et les secrets de famille, dans tout ça ? Les états d’âme de Charlotte sont observés sous un jour nouveau. Et cette nouveauté fait du bien…

Oubliez donc tous vos préjugés concernant les biographies romancées.

Charlotte n’est pas comme les autres. Peut-être cette sensation « d’œuvre à part » provient-elle de la forme originale du texte ? Peut-être est-elle due à la plume de David Foenkinos, poétique, étonnante, saisissante ? Peut-être est-elle tout simplement due à l’objet même de son récit : Charlotte Salomon ?

Probablement les trois.

Dans cet ouvrage, David Foenkinos nous livre une partie de lui-même. Sa fébrilité se perçoit à chaque ligne. Il nous offre cette part de lui qui a cherché Charlotte des années (sans le savoir au début), cette part qui a erré, fouillé jusqu’à la rencontre, l’apothéose de la découverte de cette artiste et de sa vie.

David Foenkinos possède le talent de mêler le cours de l’Histoire à la personne, à sa vie et ses rencontres. Chaque ingrédient se mélange aux autres pour former un récit addictif, émouvant, un roman qui prend aux tripes et au cœur et qui laisse un arrière-goût doux-amer.

Il procure au lecteur les émotions et les sentiments de Charlotte (et les siens également) à travers chaque mot. Il nous les jette au visage, on se les prend en pleine face, et on n’a pas d’autre choix que de les vivre. On ne peut rien faire d’autre que de regarder le ciel, les larmes aux yeux, et se dire : « Charlotte, ce livre te rend hommage d’une façon bouleversante. Je crois que tu aurais aimé. »

En savoir plus sur http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/charlotte.html#MJ1siXMMs5pWmrVB.99

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Commentaire ajouté par ileanamaboitedepandore 2015-11-28T11:46:41+01:00
Lu aussi

D’un point de vue général, l’intrigue de ce roman policier est bien menée.

Les indices tombent petit à petit, ce qui permet au lecteur de suivre l’enquête de Yanis, de s’approprier tous les éléments et de se faire sa petite idée quant au meurtrier.

La première partie du roman est plus centrée sur les personnages, ce qui peut sembler un peu longuet par moment. Néanmoins, cela permet de faire réellement connaissance avec les protagonistes, que ce soit Lucile ou Yanis, le trio qu’ils formaient avec Émile ou tous les personnages secondaires. Un conseil : concentrez-vous sur chacun d’eux, ils jouent tous un rôle plus ou moins obscur dans ces meurtres !

Petit bémol : les quelques mots manquants et les virgules mal placées. Le texte n’en ait pas truffé, loin de là, mais tout de même, ces quelques « fautes » ont un peu coupé le rythme de ma lecture. Quoi qu’il en soit, la plume de Geneviève Dumesnil reste fluide.

En conclusion : ce roman policier se lit aisément grâce à une intrigue ficelée et un dénouement haletant. Yanis et Lucile contribuent à rehausser l’histoire, mais impossible de vous dire pourquoi sans vous spoiler ! =X

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Diamant

L’écriture exceptionnelle de Ken Follett n’est, je pense, plus à défendre ! Vous ne serez donc pas déçu dans ce premier volet du Siècle.

En effet, que ce soit la construction des personnages, le cadre historique ou encore la plume de l’auteur, tout est réuni pour ne pas lâcher ce bouquin de plus de mille pages.

Là où Ken Follett réussit un tour de force, c’est à propos des personnages. J’ai rarement lu de romans aussi poussés. Je m’explique : les protagonistes de Ken Follett ont tous des défauts (et des qualités, bien entendu). Pas des « faux défauts » qui les rendent mignons (maladroit, etc) ; pas de ceux, non plus, que l’on oublie au fil des pages parce qu’ils n’apparaissent que très peu au cours du récit ou qu’ils ne l’influencent pas.

Non, les protagonistes sont authentiques. C’est ce qui les rend si attachants (on parle ici d’une petite dizaine de personnes, que l’on suit tout au long de l’histoire). Sans parler des nombreux personnages secondaires qui interviennent dans le récit pour apporter leur grain de sel. Personnellement, je me suis même attachée au plus détestable d’entre eux (Fitz, de moins de vue, et il vous faudra attendre la fin du bouquin pour partager mon avis !) Chacune de ses décisions m’a révoltée, mais… Mais il est humain et l’on connait son cœur. Malheureusement, il se laisse plus souvent gouverner par sa raison.

C’est pour cette finesse que détient chaque protagoniste que ce roman est excellent.

Avis à tous les auteur(e)s en herbe : rien ne vaut cette lecture pour comprendre les clefs de personnages réussis.

Ces individus évoluent dans un contexte bien particulier : la Première Guerre Mondiale.

Au fil des pages, le lecteur découvre les enjeux politiques et économiques de cette guerre, une agréable façon de revoir nos cours d’Histoire. Bien sûr, La chute des géants reste un roman, ceci dit, Ken Follett s’est si bien informé qu’il en devient une leçon à part entière.

L’histoire de ce premier tome débute en 1911, pour se terminer en 1924, il couvre donc une bonne dizaine d’années. Pourtant, qu’elles passent vite ! Les intrigues qui lient les protagonistes sont bien menées. Encore une fois, un roman de 1048 pages peut « faire peur » à bien des égards — du même auteur, j’ai lu Les Piliers de la Terre et j’avais parfois trouvé les descriptions un peu longues —, mais pas dans La chute des géants. Elles sont justement dosées, assez pour frémir de peur, d’attente, de dégoût, d’amour, de passion… bref, suffisamment pour permettre au lecteur de vivre le roman, sans le noyer sous un flot de détails inutiles.

J’ai particulièrement aimé l’esprit aiguisé de certains personnages, c’est à travers leurs yeux que Ken Follett dresse le portrait de cette période de l’Histoire et donc nous ouvre les portes des dirigeants des Puissances de l’époque, mais aussi des ouvriers, l’autre Puissance, trop souvent oubliée.

Bref, cette saga est haletante et construite de bout en bout. Un plaisir à lire — et à relire, j’en suis certaine !

J’écris toujours quelques mots à propos de la plume de l’auteur, alors les voici :

Ken Follett sait trouver les mots justes et simples pour nous raconter son histoire. Vous ne trouverez ni phrases alambiquées ni descriptions décevantes. Les pages dévoilent une plume franche, agréable à lire parce que précise, invitant à la réflexion et à la compréhension de l’Histoire, mais aussi du genre humain. Que l’on suive Maud lors des réceptions de la Haute Société Londonienne, ou Ethel dans ses quartiers pauvres, le rendu sent l’authenticité et la véracité. Cette justesse dans le choix des mots ne laisse pas indifférente.

Pour conclure : encore une belle découverte ! Hâte le tome 2, qui se déroule pendant la Seconde Guerre Mondiale, une période historique qui me touche beaucoup.

En savoir plus sur http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/la-chute-des-geants.html#rT8kPs1KVbE6hI1A.99

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