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Les commentaires de ileanamaboitedepandore

Or

Ça y est ! Je suis sous le charme de la Dark Fantasy !

Âmes sensibles, passez votre chemin pour ce premier tome des Légendes Faës. L’univers de Manon Élisabeth d’Ombremont est sombre, très sombre, puisque ses deux héroïnes, Melyan et Elyalë, appartiennent au peuple des « méchants » : les unseelies. Voici le premier point que j’ai apprécié : suivre les péripéties du côté des êtres difformes et sans aucun scrupule. Ça change, et ça fait du bien !

De plus, l’auteure maitrise suffisamment bien la psychologie de ses personnages pour que l’on s’attache malgré tout aux deux demi-sœurs. Grâce à leur passé respectif, on comprend leurs choix, leurs réactions et leurs émotions. Leur environnement les a influencées (comme pour nous, les êtres humains, finalement !), un message que l’écrivaine transmet à la perfection.

Il y a même une petite touche de romance, mais pas assez présente à mon goût. Ceci dit, la volonté de l’auteure de ne pas s’attarder sur le développement de sentiments amoureux est tout à fait compréhensible au vu de son monde ! Ça m’a un peu manqué, mais pas gêné outre mesure.

Les descriptions m’ont embarquée – honnêtement, j’ai lu ce roman en à peine deux soirées ! Seules les rares interruptions d’un mystérieux narrateur (vous ferez sa connaissance dès les premières pages) ont quelque peu cassé le rythme de ma lecture. Néanmoins, ces passages restent peu nombreux, pas d’inquiétude, donc !

La plume de Manon Élisabeth d’Ombremont se révèle fluide et agréable à lire. Le vocabulaire est varié et la cadence du récit, soutenue. Les chapitres courts et le suspens déposé ici et là avec talent permettent de tourner les pages sans s’en rendre compte.

Hâte le tome 2 !

Read more at http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/chroniques/fantasy/legendes-faes/tome-1-la-chienne-de-l-ombre.html#PmVLOWtopEWcrY2F.99

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Diamant

Ce livre m’a profondément marquée.

Il invite à une réflexion, un ressenti sur nous-mêmes, l’Être, sur nos pensées et notre mental… Bref, il est une véritable source de lumière, qui peut être à l’origine d’un changement de notre vie.

L’auteur, Eckhart Tolle, emploie des mots simples, qui résonnent et qui, du coup, accrochent le lecteur. Il reformule beaucoup ses explications, ses conseils et son idée principale, de telle sorte que chaque chapitre reprend d’une manière nouvelle l’idée générale, tout en creusant un peu plus ses réflexions. Ceci dit, à aucun moment je n’ai ressenti une quelconque sensation de répétition dans ses propos. Eckhart Tolle a l’art et la manière de transmettre son message et c’est un véritable plaisir de le lire.

J’ai également beaucoup apprécié la forme du livre. Il se découpe en 10 chapitres, ces chapitres sont eux-mêmes découpés en sous-parties, le tout encore une fois découpé en questions-réponses. C’est-à-dire qu’Eckhart Tolle a écrit son livre comme s’il s’agissait d’une retransmission d’une de ses conférences. Cela donne dynamisme et légèreté à l’écrit. J’entends par là que la lecture est courte, simple et donc agréable. J’ai parfois eu la sensation d’être spectatrice d’un échange verbal, cette impression rend la lecture vivante et le message abordable. Un petit symbole se glisse parfois entre les questions-réponses, il invite à faire une pause pour s’approprier les mots lus. J’ai respecté ces « pause-invitations » et j’en ai même fait de nombreuses autres !

En fait, c’est un livre tellement riche d’enseignements ; tout en restant accessible au commun des mortels ; que les pauses m’ont souvent été nécessaires pour ressentir la profondeur du message.

En conclusion : Le pouvoir du moment présent de Eckhart Tolle est le genre de livre qui bouleverse l’existence. C’est un outil, une clef d’accès à notre Être et, en tant que tel, je le conseille vivement.

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Difficile de lâcher ce livre, tant Chloé et l’univers qu’elle découvre sont emplis de mystères. La plume de l’auteure m’a embarquée et… quelle fin !!! Wouah ! Je me suis laissé mener par le bout du nez avec plaisir, c’est le moins que je puisse écrire. La chute de l’histoire m’a littéralement scotchée. J’aime particulièrement cette sensation : entrer à fond dans le récit, puis déchirer le voile de l’intrigue pour comprendre qu’elle s’ancre dans un milieu beaucoup plus vaste. Blue Indigo fait fort sur ce coup-là !

Les protagonistes sont bien construits et gardent eux aussi une part de mystère appréciable (notamment les mecs beaux et sexy, dont Chloé se retrouve entourée !)

Chloé elle-même, le personnage principal qui narre ce récit, est attachante. Elle a une vingtaine d’années, est indépendante, donc réfléchie et mature. Des traits d’humour fusent ici et là, allégeant ainsi les problèmes qui lui tombent dessus les uns après les autres !

Les événements s’enchainent bien. Le texte reste fluide, les interrogations et les découvertes de Chloé, puis leurs réponses naissent au bon moment, de telle sorte que dès que je commençais à me poser trop de questions, au moins une partie d’entre elles se résolvaient. L’ambiance des lieux décrits est bien rendue, ce qui m’a permis de m’immerger dans l’histoire.

Ce que j’ai particulièrement aimé sont les concepts développés par l’auteure : respect de la nature, la rendant presque sacrée ; le fait que nous sommes tous reliés (animaux, végétaux et minéraux) ; la Mort engendre la Naissance ; rien ne se crée, tout se transforme ; le pouvoir de l’esprit… En bref, des touches de spiritualité qui font du bien !

Voici un roman fantaisie que je vous conseille vivement !

Read more at http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/chroniques/fantasy/gardienne-de-la-foret-la-guerisseuse.html#2BFR2OxP72ppPxX6.99

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Diamant

Comme je l’attendais, ce troisième tome des Chroniques des heures sombres deTanglemhor ! Dévoré en quelques jours, l’attente des prochains mois s’annonce terriblement longue ! À quand la suite des aventures de la Conjuration de Tanglemhor ?

Les sept amis se retrouvent donc en Australie, terre glaciale où les Dieux se sont affrontés il y a des milliers d’années. Au-delà des Pics du Crépuscule, la nuit règne durant des lunes et des lunes. C’est dans cette contrée désolée, aux rares îlots (plus ou moins) humains, que les Conjurés affronteront le magicien le plus noir de tous les temps. L’ambiance gelée de ces montagnes et de ces plaines est retranscrite à la perfection, tout comme leur périple à pieds, qui leur demande une ressource exceptionnelle. Randonneuse à mes heures perdues, j’ai vraiment retrouvé les sensations de devoir puiser dans des ressources internes insoupçonnées pour poursuivre sa propre quête, le bonheur, si simple, d’avaler un bon repas au chaud et (Ô Grâce Suprême !) de dormir dans un vrai lit douillet ! Bref ! Vous l’aurez compris, nos sept héros en bavent, bravent la puissance de leur Terre pour une apothéose absolument époustouflante ! En effet, leur rencontre avec le mage noir m’a scotchée du début à la fin. Je me suis plusieurs fois surpris à me cramponner à ma liseuse, c’est vous dire !

Mais l’Australie est aussi un pays connu de plusieurs de nos protagonistes. Oriana y retrouve ainsi sa grand-mère, une grande prêtresse vitaliste bienveillante à souhait. L’Ombre, quant à lui, doit affronter son amour passé. Sa détresse m’a touchée et j’ai beaucoup, beaucoup aimé en apprendre davantage sur lui. Meldaïn est un personnage complexe, qui a énormément vécu et le voir évolué ainsi épaulé par ses amis a été un véritable bonheur. Parce que oui, bien évidemment, grâce à toutes ses péripéties, ce troisième volet fait la part belle à l’amitié ! Qu’elle s’épanouisse au sein de la Conjuration ou qu’elle provienne de l’extérieur du groupe, ce beau sentiment est le lien invisible, cette trame de fond qui embellit l’histoire, lui donne une saveur douce.

Et que dire de Mharnör ?! Ah ! Le Fléau de Feen s’en prend plein la tronche et ce n’est pas pour lui déplaire ! Serpent de Lune révèle le guide spirituel en lui, ses propos sont toujours très intéressants à découvrir et à méditer… Elpérïn, le nain, dévoile ses multiples talents de compagnon de route. Quant à l’émissaire de la Sylve, il a froid ! Eh ! Eh ! Ce personnage à la volonté farouche est un modèle pour tous ! Et puis il y a Baar-Hal-Kryne, le défenseur d’Oriana, celui prêt à tout pour la sauver.

Vous l’aurez compris, chaque personnage m’émeut à sa manière. Leur psychologie profonde est un régal à découvrir.

D’un point de vue purement sociétal, l’Australie est une terre matriarcale. J’ai apprécié découvrir les coutumes et façons de penser du peuple, qui enrichissent le fond du récit. Les annexes sont sans conteste un bonus à lire. Et pour terminer, vous vous en doutez, cette saga fantasy ne serait pas aussi géniale sans la plume d’Azaël Jhelil. Cet auteur possède l’art et la manière de choisir ses mots, de varier son vocabulaire avec précision et surtout, de glisser ici et là des touches d’humour tout à fait appréciables !

Je réitère mon « coup de cœur » pour Les Chroniques des heures sombres de Tamglemhor. Foncez !

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Lu aussi

Une duologie pour ado très, très bien écrite et avec de beaux messages.

Faute à un planning chargé, j’ai mis du temps à me replonger dans l’histoire de Rowena et d’Eugène, et pourtant ! Quelle aventure ! L’imagination d’AD Martel a encore été rendez-vous pour ce nouveau roman. Pourvu d’un suspens parfois haletant, le rythme du récit offre cependant quelques soupapes pour souffler. Un repos bienvenu qui permet d’apprécier les moments de quiétude à leur juste valeur. Nos protagonistes sont en effet chahutés de toute part grâce à (ou à cause ? ^^’) de fameux retournements de situation.

Et s’ils ont chacun un caractère bien trempé, c’est pour mieux prouver leur valeur et leur courage à la page suivante. Les relations uniques qu’ils tissent sont belles, tout simplement humaines, avec des hauts et des bas, avec des ententes et des désaccords. Un très bel apprentissage pour chacun d’entre eux.

La plume engagée d’AD Martel est toujours un régal à lire. Outre quelques messages glissés tout en douceur pour l’égalité des sexes, vous trouverez au fil des chapitres un véritable cri du cœur pour l’écologie. Le côté steampunk du récit offre bien entendu un excellent contexte pour cette prise de conscience venant de Rowena notamment et permet au lecteur ou à la lectrice, s’il le souhaite, de faire le parallèle avec notre monde.

Le tout est servi par un style travaillé et fluide. Idéal pour les ados, mais les adultes y trouveront sans conteste leur bonheur !

À lire, évidemment !

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Or

Si Les chroniques de Balthazar se classent dans le genre fantasy, je me dois d’en souligner l’originalité. Que ce soit dans l’univers, le héros et sa clique ou même la quête, ce fabuleux récit sort des sentiers battus. Je salue la redoutable imagination de Guillaume Leduc ! Les retournements de situation, rondement menés, m’ont aussitôt immergée dans l’histoire. Les personnages - tous, sans exception - sont excellemment bien construits. Leur psychologie tortueuse a été un régal à découvrir, à l’image de ce monde dans lequel les lois de la physique n’ont parfois pas de prise. Ce macrocosme s’avère pourtant maitrisé par l’auteur (ou peut-être est-ce l’inverse… !), il n’est cela dit ni trop alambiqué ou compliqué.

Certains messages sous-jacents m’ont touchée. Je pense que Les chroniques de Balthazar sont, parfois, un parallèle saisissant de notre société destructrice d’environnement et avide d’asservissement. Idem pour la politique gangrenée par la Peste Lutine (à remplacer par « lobbies » dans notre cas ! C’est un avis très personnel, je vous l’accorde !) Vous vous en doutez certainement, le roman prône une vie respectueuse où la justice serait… juste.

De belles illustrations agrémentent le début de chaque chapitre. Sorte de petit bonus qui se savoure comme un amuse-bouche !

La plume de Guillaume Leduc vaut sans conteste d’être connue. Le vocabulaire varié, les tournures de phrases et autres figures de style viennent enrichirent une écriture déjà remarquable. Un léger humour, bien noir comme je l’aime, saupoudre le tout (cf extrait). Dommage pour les « Ç » manquants, seule bévue dans la mise en page. Ceci dit, il y en a très peu, ça n’a pas entravé ma lecture. L’auteur remédiera probablement rapidement à ce minuscule problème !

Un roman à lire ! De mon côté, j’attends le second tome avec impatience.

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Bronze

L’univers sombre de Manon Élisabeth d’Ombremont se retrouve parfaitement dans ce second volet de la trilogie Légendes Faës.

En effet, l’auteure n’épargne pas ses personnages, à commencer par le peuple seelie, tout simplement rayé de la carte par Ecmar ! Elyalë perd doucement pied jusqu’à l’apothéose finale. Melyan gagne peu à peu en autonomie et en libre arbitre, si j’ose écrire, ce qui laisse présager un chouette tome 3 ! J’ai apprécié la petite évolution de ce personnage principal, car les autres restent parfois trop loyaux à leur nature, les rendant prévisibles.

Les disparitions et autres morts se succèdent, effaçant d’un coup une suite qui se dessinait progressivement. Impossible de deviner comment cette histoire va se terminer ! Suspense garanti (pour mon plus grand bonheur) !

La multitude de questionnements soulevés dans le premier volet trouve petit à petit ses réponses. Les scènes hard sont conformes à la Dark Fantasy. Une fois encore, âmes sensibles passez votre chemin !

Les décors restent fidèles à ceux plantés dans La Chienne de l’Ombre. Pareil pour la plume de Manon Élisabeth d’Ombremont, que j’ai tout autant aimé lors de ma lecture !

À quand le dernier tome ?

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Commentaire ajouté par ileanamaboitedepandore 2018-04-23T17:02:48+02:00
Lu aussi

Si le résumé est essentiellement centré sur les femmes, je ne partage pas forcément cet avis. Lune rouge s’adresse à chaque être humain sans considération d’âge ou de sexe : les femmes pourront appliquer les exercices pratiques et mieux comprendre les phases de leur vie, les hommes et adolescent.e.s y découvriront tout un tas de réponses et d’explications captivantes.

Car Miranda Gray balaie la vie entière de la femme, de l’enfance à la ménopause au passant par la grossesse, avec une focalisation particulière sur la période des cycles menstruels.

L’ouvrage se découpe en six chapitres comprenant au début du livre un conte contemporain et son interprétation. J’ai trouvé ces deux parties un peu longues (je préfère nettement les contes oraux, si c’est votre cas, pensez à le lire « à voix haute » dans votre tête, ça passe beaucoup mieux !). La section explicative est intéressante en soi parce qu’elle développe tous les archétypes auxquels les femmes peuvent s’identifier et revient régulièrement sur certaines histoires de nos enfances, mais elle est parfois redondante.

Les autres chapitres, par contre, entrent dans le vif du sujet grâce à des indications claires et une formulation simple des phrases. Les exemples tout comme les quelques schémas et illustrations, aident à bien saisir les concepts développés.

Miranda Gray met principalement l’accent sur nos émotions, notre énergie et notre créativité au cours de nos cycles, sans détailler l'aspect biologique. Des exercices parsèment les paragraphes (facilement repérables, car écrits sur un fond gris), ils proposent entre autres des méditations, des prises de notes et même quelques activités « artistiques ».

En résumé, un excellent bouquin où chacun.e pourra puiser les connaissances dont il.elle a besoin. Il aborde sans tabou, mais avec beaucoup de respect et de bienveillance, la vie des femmes.

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Or

Lorsque j’ai lu le premier chapitre de cette fiction fantaisie, je me suis dit : « chouette ! une histoire qui sort de l’ordinaire ! » Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas de héros frappé par une prophétie qui se retrouve à manier l’épée pour sauver son monde, le tout accompagné par une bande d’amis improbables. (Pas que je n’apprécie pas, mais cette trame déjà bien utilisée doit être extrêmement bien magnée pour en sortir une histoire captivante.)

Non, Les écailles de l’âme est avant tout un univers magique, d’une douceur à la fois sauvage et naturelle. Un peu comme Wymi, le personnage principal !

Mais revenons-en au cadre de l’histoire, à ces trois Lunes à l’origine de toute cette aventure, précisément. Cette première idée m’a plu : je crois en l’influence de notre satellite, et lire cela dans une fiction m’a tout de suite accrochée. La deuxième chose qui m’a poussé à continuer : la signification des prénoms (impossible de développer sans vous spoiler, désolée !)

Ces deux détails, présents tous les deux dans le premier chapitre, m’ont incité à poursuivre ma lecture. Mylène a exposé si naturellement l’idée de l’influence des Lunes que j’ai aussitôt pensé : l’atmosphère crépitant et ouatée de la magie sera forcément au rendez-vous. Et lorsque j’ai lu la signification des prénoms, je me suis dit : les personnages sont réfléchis de A à Z, ils promettent d’être bien construits, avec une psychologie travaillée.

Ces deux détails et les conclusions que j’en ai tirées se sont révélés particulièrement vrais – à mon plus grand bonheur !

Les protagonistes, donc, ont tous leur propre passé, différent les uns des autres, prenant, douloureux, tristement beau, parfois. L’auteure nous les fait découvrir au fil des pages, entremêlant le passé et le présent avec finesse, de telle sorte qu’à la fin du bouquin, je me suis sentie proche d’eux tous, et plus seulement de Wymi et d’Azorru, les deux personnages principaux. En parlant de Wymi, d’ailleurs, quel sacré caractère ! Non, vous ne vous ennuierez pas avec elle, pas d’inquiétude ! Azorru a lui aussi une psychologie assez complexe, mais pour en connaitre la raison, il vous faudra lire le récit ! ;-)

J’ai particulièrement aimé Mhor et Breese, aussi, et j’espère bien retrouver cette dernière dans le tome 2 ! (hein, Mylène !!! :-D )

Ah oui ! Un dernier bon point, que j’apprécie particulièrement : il n’y a pas un lexique de trois pages pour décrire des races imaginaires et des contrées lointaines. J’aime la fantaisie, mais lorsque les nouveaux mots sont trop nombreux, j’ai une fâcheuse tendance à me perdre dans l’histoire et du coup, à décrocher. Ici, malgré un Univers riche et construit entièrement, l’auteure a su rester dans la simplicité, encore une fois pour mon plus grand plaisir !

Le récit en lui-même évolue assez rapidement. Les péripéties s’enchainent, pour aboutir à une fin très éloignée de ce que me laissait prévoir le début. Les rebondissements (pas toujours agréables, Mylène a un petit côté sadique avec ses protagonistes qu’elle assume complètement) m’ont surprise et parfois laissée sans voix.

La romance est belle et puissante, en un mot : passionnée. Ce qui ne me déplait pas, assurément !

En résumé : une histoire fantaisie originale, pleine d’émotions et de retournements de situation (gardez les mouchoirs à proximité !), avec des personnages hauts en couleurs. Merci, Mylène !

En savoir plus sur http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/chroniques/fantasy/les-ecailles-de-l-ame.html#comment#O5MdfkCawkBCLakK.99

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Commentaire ajouté par ileanamaboitedepandore 2016-07-05T09:15:15+02:00
Diamant

Avec Soufi, mon amour, attendez-vous à lire un livre dans un livre ! En effet, nous découvrons avec Ella le manuscrit qu’elle doit évaluer pour sa maison d’édition. Cette seconde histoire (celle du poète Rûmi et du derviche Shams) s’imbrique donc entre les chapitres dédiés à Ella.

Ainsi, parallèlement aux enseignements de Shams, elle évolue à son tour. Les chapitres sont bien insérés et le roman, captivant et surtout riche en préceptes. Difficile de le poser, mais les messages révèlent tellement de puissance qu’il reste ardu de le lire d’une traite ! Soufi, mon amour est le genre de bouquin que je savoure chapitre par chapitre, phrase après phrase.

D’autant qu’Elif Shafak nous dévoile le soufisme, cette branche spirituelle de l’islam qui n’est qu’Amour. C’est très beau à découvrir.

Le style poétique de l’auteure m’a beaucoup plu. Les descriptions prennent la forme des arabesques orientales ou des angles droits américains, selon le personnage que l’on suit. À chaque fois, notamment dans la partie du manuscrit, il y a une étincelle de magie qui flotte dans l’air. Les romans qui me font cet effet-là demeurent rares !

Les protagonistes sont bien construits et évoluent au fil des pages. Shams reste déroutant, mais un tel personnage, qui sort des sentiers battus habituels, surprend agréablement !

Je ne vous parle pas de la fin, mais… argh ! Je suis tout de même dègu’ pour Ella !

En conclusion : un roman que je relirai, encore et encore, et que je compte bien partager !

En savoir plus sur http://ma-boite-de-pandore.e-monsite.com/pages/chroniques/letterature/soufi-mon-amour.html#6L8liOsukrv0SPD0.99

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