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Commentaires de livres faits par tite_vick

Extraits de livres par tite_vick

Commentaires de livres appréciés par tite_vick

Extraits de livres appréciés par tite_vick

Elle restait fidèle à sa bonne vieille théorie – mieux vaut exposer son cœur en prenant le risque de souffrir de temps en temps que de le garder enfoui.

Page 366.
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Le cynisme était un excellent moyen de se protéger, évidemment. Quand le malheur arrivait, on avait au moins la satisfaction de se dire qu’on avait raison depuis le début.

Page 177.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Elle avait l’impression d’être tombée dans une faille spatio-temporelle. Elle se contentait d’attendre, en se demandant quand son existence à elle reprendrait.

Page 34.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Elle oubliait toujours que, lorsqu’on pose une question, les gens ont la malheureuse tendance à répondre.

Page 26.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
Il la tint serrée contre lui, comme s’il possédait le pouvoir d’absorber la fièvre, la maladie, la douleur de ne pas avoir de mère ou de père sur qui compter. Il resta ainsi pendant des heures, à lui caresser les cheveux. Et peut-être même réussit-il à absorber son mal, car elle finit pas s’endormir dans ses bras.

Page 244
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« Faites que ce soit vrai, souhaitait-elle de tout son cœur. Et sinon tant pis, faites juste que je continue à le croire. »

Page 241
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
« Quel malheur, pensa Carmen, que l’on ait tendance à être odieux quand on est triste, mal, qu’on a désespérément besoin d’être aimé. Quelle tragédie que tout le monde vous évite, vous fuie, juste au moment où vous auriez besoin d’être entouré. »

Page 231
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Elle était capable de supporter ça. Oui, ce n’était pas si dur. Elle l’aimait, d’accord, mais elle aimait aussi être avec lui. Elle pouvait se contenter de ça. Elle n’avait pas besoin de plus.

Page 174
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Oui, ils seraient amis. De vrais potes. Jamais il ne saurait ce qu’elle ressentait. L’été allait être long.

Page 145
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Si Bridget avait été à la place de Dieu, elle aurait décrété interdit par la loi d’éprouver de tels sentiments pour une personne sans qu’ils soient partagés.

Page 144
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
S’il y avait un argument que Carmen détestait, c’était bien « la vie est trop courte ». Dans le genre excuse minable, on ne pouvait pas trouver mieux. Faites quelque chose sous prétexte que « la vie est trop courte » et vous pouvez être sûr que, justement,, la vie sera assez longue pour vous le faire regretter.

Page 55
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Il y a des jours où, au réveil, il faut apprivoiser une nouvelle réalité, si bizarre soit-elle. On se demande : « J’ai rêvé ou j’ai vraiment fait ça ? Et lui, il a vraiment dit ça ? » La réalité revient par brides, on la redécouvre dans toute son étrangeté. Et la grande question est : après ce qui s’est passé hier soir, rien ne sera donc plus comme avant ? En l’occurrence, Tibby connaissait la réponse.

Page 44
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Elle n’avait jamais rien vécut d’aussi beau. Elle se sentait monter les larmes aux yeux et le rouge aux joues.
Tibby avait l’étrange sensation qu’un vent violent soufflait dans sa tête, tour à tour chaud et étouffant, puis froid et vivifiant. Et quand le vent retomba, elle s’aperçut qu’il avait pour toujours emporté leur amitié.

Page 38
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Ron mit un bon moment avant de réussir à extraire sa baguette de sa poche.
- Pas étonnant que je n’arrive pas à la sortir, Hermione, tu as emporté mon vieux jean, il est trop étroit.
- Oh, crois bien que j’en suis désolée, persifla Hermione.
Tandis qu’elle tirait la serveuse à l’écart de la vitrine, Harry l’entendit marmonner quelque chose sur l’endroit où Ron pouvait enfoncer sa baguette.
Harry Potter et les reliques de la mort – Chapitre 9 : Un endroit où se cacher. Page 184
Avez vous apprécié cet extrait ? +11
- Il nous a dit que Potter allait peut-être essayer d’entrer dans la tour de Serdaigle et qu’il fallait le prévenir si on l’attrapait !
- Et pourquoi Potter chercherait-il à entrer dans la tour de Serdaigle ? Potter appartient à ma maison !
Derrière l’incrédulité et la colère, Harry perçut une nuance de fierté dans sa voix et il sentit monter en lui une vague d’affection pour Minerva McGonagald
Harry Potter et les reliques de la mort – Chapitre 30 : Le renvoi de Severus Rogue. Page 632
Avez vous apprécié cet extrait ? +22
- Rongeur ? répéta une autre voix familière.
Harry, Ron et Hermione s’écrièrent tous ensemble :
- Fred !
- Ce ne serait pas Georges, plutôt ?
- Je crois que c’est Fred, confirma Ron en se penchant vers la radio d’où s’élevait la voix de l’un des jumeaux.
- Je refuse d’être Rongeur, il n’en est pas question, je vous ai dit que je voulais être Rapière !
- Très bien. Alors, Rapière, pouvez-vous nous donner votre sentiment sur les diverses histoires qu’on entend circuler à propos du Chef Mangemort ?
Harry Potter et les reliques de la mort – Chapitre 22 : Les reliques de la mort. Pages 473-474
Avez vous apprécié cet extrait ? +21
Les larmes vinrent avant qu’il ait pu songer à les arrêter. Elles coulaient, brûlantes, puis gelaient sur son visage, et d’ailleurs, à quoi bon les essuyer, à quoi bon faire semblant ? Il les laissa ruisseler, les lèvres étroitement serrées, et regarda la neige épaisse qui cachait à ses yeux la tombe où gisaient les dépouilles de Lily et James, simples ossements à présent, peut-être même poussière, étrangers à la présence si proche de leur fils survivant, dont le cœur continuait à battre grâce à leur sacrifice. En cet instant, cependant, il aurait presque souhaité dormir avec eux sous la neige.
Hermione avait de nouveau pris sa main et la serrait étroitement. Il ne pouvait la regarder mais lui rendit son étreinte, respirant profondément, à grandes bouffées, l’air de la nuit, essayant de se reprendre, de retrouver le contrôle de lui-même. Il aurait dû leur apporter quelque chose mais il n’y avait pas pensé et toutes les plantes du cimetière étaient gelées, sans feuilles. Hermione leva alors sa baguette, décrivit un cercle dans les airs et ils virent éclore devant eux une couronne de roses de Noël. Harry l’attrapa et la déposa sur la tombe de ses parents.
Harry Potter et les reliques de la mort – Chapitre 16 : Godric’s Hollow. Page 355
Avez vous apprécié cet extrait ? +16
- Vous n’auriez pas du faire ça.
Au moment où Amycus pivotait sur ses talons, Harry s’écria :
- Endoloris !
Le mangemort fut arraché du sol. Il se tortilla dans les airs à la manière d’un homme qui se noie, se débattant, hurlant de douleur puis, dans un fracas de verre brisé, il s’écrasa contre une bibliothèque et s’effondra par terre, inconscient.
- Je comprends ce que Bellatrix voulait dire, commenta Harry, le sang battant dans sa tête, il faut vraiment vouloir la souffrance de l’autre.
- Potter, murmura le professeur McGonagald, une main contre son cœur. Potter… Vous êtes ici ! Que… Comment…
Elle s’efforça de reprendre contenance.
- Potter, c’était idiot !
- Il vous a craché dessus, dit Harry.
- Potter, je… C’était très… chevaleresque de votre part… mais vous rendez-vous compte de…
- Oui, parfaitement, assura Harry.
Harry Potter et les reliques de la mort – Chapitre 30 : Le renvoi de Severus Rogue. Page 633-634
Avez vous apprécié cet extrait ? +41
« Lors du banquet de début d’année, Harry avait senti que le professeur Rogue ne l’aimait pas beaucoup. A la fin du premier cours de potions, il se rendit compte qu’il s’était trompé : en réalité, Rogue le haïssait.
[…]
Rogue commença par faire l’appel. Lorsqu’il fut arrivé au nom de Harry, il marqua une pause.
- Ah oui, dit-il. Harry Potter. Notre nouvelle…célébrité.
Drago Malfoy et ses amis Crabbe et Goyle ricanèrent en se cachant derrière leurs mains. Rogue acheva de faire l’appel et releva la tête.
[…]
- Vous êtes ici pour apprendre la science subtile et l’art rigoureux de la préparation des potions, dit-il.
[…]
- Ici, on ne s’amuse pas à agiter des baguettes magiques, je m’attends donc à ce que vous ne compreniez pas grand-chose à la beauté d’un chaudron qui bouillonne doucement en laissant échapper des volutes scintillantes, ni à la délicatesse d’un liquide qui s’insinue dans les veine d’un homme pour ensorceler peu à peu son esprit et lui emprisonner les sens… Je pourrais vous apprendre à mettre la gloire en bouteille, à distiller la grandeur, et même à enfermer la mort dans un flacon si vous étiez autre chose qu’une de ces bandes de cornichons à qui je dispense habituellement mes cours.
Cette entrée en matière fut suivie d’un long silence. Harry et Ron échangèrent un regard en levant les sourcils. Hermione Granger était assise tout au bord de sa chaise et avait visiblement hâte de prouver qu’elle n’avait rien d’un cornichon.
Avez vous apprécié cet extrait ? +23
L'histoire de la magie était le cours le plus ennuyeux de leur emploi du temps. Le professeur Binns qui l'enseignait était le seul professeur fantôme de l'école. Il entrait dans la classe en passant à travers le tableau et c'était l'unique moment un peu amusant de son cours. D'après ce qu'on disait, Binns ne s'était jamais rendu compte qu'il était mort. Un jour, il s'était levé pour aller en classe et avait laissé son corps derrière lui, installé dans un fauteuil de la salle des professeurs, devant un feu de cheminée. Depuis, il avait continué à faire ses cours sans rien changer à ses habitudes.
Toujours aussi terne, le professeur Binns consulta ses notes et commença à débiter son cours d'une voix monotone, comme un vieil aspirateur essoufflé.
Bientôt, tout le monde dans la classe se mit à somnoler, ne se réveillant que par instant pour copier un nom ou une date puis replongeant dans le sommeil. Il parlait depuis une demi-heure lorsqu’il se produisit quelque chose qui n’était encore jamais arrivé. Hermione leva la main.µ
Le professeur Binns, levant les yeux en plein milieu d’un exposé mortellement ennuyeux sur la Convention des Sorciers de 1289, parut stupéfait.
- Oui, Miss, heu... dit le professeur en levant la tête.
- Granger, professeur. J'aurais voulu vous demander si vous pouviez nous dire quelque chose sur la Chambre des Secrets, lança Hermione d'une voix claironnante.
Dean Thomas, qui regardait par la fenêtre, la bouche ouverte, se réveilla en sursaut ; Lavande Brown, qui se tenait le menton dans les mains, releva brusquement la tête et le coude de Neville glissa de la table.
Le professeur Binns cligna des yeux.
- Je fais des cours sur l'histoire de la magie, dit-il de sa voix sifflante. Je m'occupe de faits, Miss Granger, pas de mythes ou de légendes.
Il s’éclaircit la gorge en produisant un bruit semblable à un morceau de craie qu’on casse en deux, et poursuivit :
- Au mois de septembre, de cette même année, un sous-comité de sorciers slaves…
Il s’interrompit en bafouillant. Hermione agitait à nouveau la main.
- Miss Grant ?
- Excusez-moi, Monsieur, mais les légendes ne sont-elles pas toujours fondées sur des faits ?
Le professeur Binns la regardait d’un air tellement ahuri que Harry eut la certitude qu’aucun élève ne l’avait jamais interrompu jusqu’à présent, ni de son vivant, ni depuis sa mort.
- On peut en discuter, bien sur, dit le professeur d'une voix lente.
Il contempla Hermione comme si c’était la première fois qu’il voyait véritablement un élève.
- Mais la légende dont vous parlez est cependant tellement extravagante, tellement ridicule...
Mais toute la classe était à présent suspendue aux lèvres du professeur Binns. Il regarda d’un œil vague les visages tournés vers lui. Harry se rendait compte qu’il était complètement désarçonné par l’intérêt soudain qu’on lui manifestait.

Harry Potter et la chambre des secrets – Chapitre 9 : l’avertissement – pages 160, 161, 162
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« Pendant que Harry remplissait son assiette, la porte de la Grande Salle s’ouvrit et le professeur Trelawney s’avança en glissant vers eux comme si elle était montée sur roulettes. Elle avait revêtu pour l’occasion une robe verte à paillettes qui la faisait ressembler à une libellule géante.
- Sibylle ! Quelle bonne surprise ! s’exclama Dumbledore en se levant.
- J’ai regardé ma boule de cristal, Monsieur le Directeur, dit-elle de sa voix la plus mystérieuse, et, à mon grand étonnement, je me suis vue abandonner mon repas solitaire pour me joindre à vous. Qui serais-je pour m’opposer aux décisions du destin ? Je me suis donc dépêchée de descendre de ma tour et je vous demande de pardonner mon retard.
- Mais je vous en prie, dit Dumbledore, le regard pétillant. Je vais faire venir une chaise.
Il tira sa baguette magique et une chaise s’envola lentement à travers la salle pour venir se poser entre les professeur Rogue et McGonagall. Mais le professeur Trelawney ne bougea pas. Ses yeux immenses parcoururent toute la longueur de la table et elle laissa soudain échapper un petit cri étouffé.
- Je ne pourrai jamais, Monsieur le directeur, dit-elle. Si je m’assieds parmi vous, nous serons treize à table ! Ce serait le signe d’un grand malheur ! N’oublions jamais que lorsqu’il y a treize convives autour d’une table, le premier que se lève sera le premier à mourir !
- Eh bien, prenons le risque, Sibylle, dit le professeur McGonagall d’un ton agacé. Asseyez-vous donc, la dinde est train de refroidir.
Le professeur Trelawney hésita, puis s’assit lentement sur la chaise vide, les yeux fermés, les dents serrées, comme si elle s’attendait à ce que la foudre s’abatte sur la table. Le professeur McGonagall plongea une louche dans la soupière la plus proche.
- Un peu de tripes, Sibylle ? proposa-t-elle.
Le professeur Trelawney ne lui prêta aucune attention. Rouvrant les yeux, elle regarda autour d’elle et dit :
- Mais où est donc ce cher professeur Lupin ?
- J’ai bien peur que le malheureux soit à nouveau malade, répondit Dumbledore en faisant signe aux convives de se servir. C’est d’autant plus dommage que cela tombe le jour de Noël.
- J’imagine que vous deviez déjà le savoir, Sibylle ? dit le professeur McGonagall, les sourcils levés.
Le professeur Trelawney lui lança un regard glacial.
- Bien sûr que je le savais, Minerva, répliqua-t-elle d’une voix feutrée. Mais ce n’est pas parce qu’on sait les choses qu’il faut s’en vanter sans cesse. Je me comporte souvent comme si je n’avais pas le Troisième Œil pour ne pas mettre les autres mal à l’aise.
- Voilà qui explique bien des choses, dit le professeur McGonagall d’un ton incisif.
La voix du professeur Trelawney devint soudain beaucoup moins mystérieuse.
- Si vous voulez tout savoir, Minerva, dit-elle, j’ai vu que ce malheureux professeur Lupin ne restera pas parmi nous bien longtemps. Il semble lui-même conscient que le temps lui est compté. Il a tout simplement pris la fuite lorsque je lui ai proposé de lire son avenir dans la boule de cristal.
- Voyez-vous ça, dit sèchement le professeur McGonagall.
[…]
L’estomac rempli à craquer, leurs chapeaux trouvés dans les pétards surprises sur la tête, Harry et Ron furent les premiers à se lever. Le professeur Trelawney poussa alors un cri perçant.
- Mes enfants ! s’exclama-t-elle. Lequel de vous deux s’est levé le premier ? Lequel ?
- Je ne sais pas, répondit Ron en regardant Harry d’un air gêné.
- Je crois que cela n’a aucune importance, déclara le professeur McGonagall d’un ton glacial. A moins qu’un tueur fou attende de découper à coups de hache le premier qui sortira de cette salle.
Même Ron éclata de rire. Le professeur Trelawney parut gravement offensée. »

Harry Potter et le prisonnier d’Askaban – Chapitre 11 : L’éclair de feu – Pages 246, 247, 248, 249.

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