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Commentaires de livres faits par zaea31

Extraits de livres par zaea31

Commentaires de livres appréciés par zaea31

Extraits de livres appréciés par zaea31

“Some people go their whole lives without knowing happiness. Mine is multiplied by four,” I told him and headed toward the kitchen to finish cooking breakfast.
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Écoute-moi bien, Alex. Le moment est venu pour nous de discuter de ce qu’il faudrait que tu fasses quand l’envie te prendra de me donner des ordres. Premièrement : réfléchis avant de jouer au mec macho ; deuxièmement : réfléchis de nouveau et rappelle-toi que cela ne servira vraiment à rien d’essayer de m’imposer quoi que ce soit ; troisièmement, si ça ne marche pas, va jouer à la roulette russe avec une arme chargée à bloc, ce qui m’épargnera la nécessité de te flinguer.
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Quelques heures plus tard, alors qu’elle dormait entre mes bras, je pris conscience d’un détail important. Les lumières étaient éteintes et aucune lueur n’entrait par la fenêtre. Noah dormait, son beau visage détendu, sans la moindre trace de frayeur. Je compris alors que moi aussi je l’avais aidée, que j’avais signifié un changement radical dans sa vie… et ce en reniant mon passé, en allant à contre-sens de tout ce que j’avais vécu jusque-là.
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Nous étions près de l’entrée, dans le nouvel appartement que j’avais acheté au dernier étage d’un immeuble, d’où on voyait la chambre, la cuisine et un salon. Ce n’était pas très grand, mais suffisamment pour qu’une personne puisse y vivre à l’aise, et c’était l’un des meilleurs appartements de la ville. Une amie de la famille l’avait décoré à mon goût et le résultat était génial. Les tons bruns et blancs lui conféraient un aspect accueillant et moderne.
J’avais fait construire une cheminée au centre du salon face à un canapé couleur chocolat d’où on pouvait regarder un film ou passer du temps avec Noah. La cuisine était de dimensions réduites mais avait tout le nécessaire, avec un petit îlot où deux personnes pouvaient s’asseoir pour prendre commodément leur petit-déjeuner. Il y avait d’épais tapis sur le plancher et une grande baie vitrée qui offrait une vue merveilleuse sur la ville. À cet instant, justement, l’obscurité du soir la rendait encore plus sublime, si toutefois c’était possible. Je regardai Noah, qui en était bouche bée. — Alors… qu’est-ce que tu en penses ? Elle resta silencieuse un moment avant de demander, en faisant quelques pas à l’intérieur :
— C’est à toi ? Je vis qu’elle était prise au dépourvu.
— Eh bien, oui, je vais vivre ici, mais toi, tu vas passer une grande partie de ton temps ici avec moi. C’est pour ça que je l’ai acheté, pour qu’on puisse être ensemble sans rien pour nous déranger, lui expliquai-je en me rapprochant. J’étais si heureux de la voir là, cela ressemblait à un véritable foyer maintenant.
Un sourire éclaira son visage.
— C’est génial ! Mais je voyais dans ses yeux qu’elle me cachait quelque chose.
— Qu’est-ce qu’il y a ?
— Tu vas me manquer tous les jours, voilà ce qu’il y a, m’avoua-t-elle en posant sa tête sur mon torse. Bon sang, moi aussi, elle allait me manquer. J’adorais prendre mon petit-déjeuner avec elle, la voir avec les cheveux en bataille mais toujours prête à m’offrir un sourire. Et que dire de cette sensation de savoir qu’elle était en sécurité derrière la porte d’en face… Tout cela allait changer maintenant que je déménageais. Mais je savais aussi que c’était nécessaire. Être amoureux de la belle-fille de son père et vivre tous sous le même toit, c’était de la folie. Les occasions où nous pouvions être seuls et à l’aise étaient rares. Mais, maintenant que j’avais mon propre appartement, Noah pourrait y passer tout le temps qu’on voulait sans aucune sorte de contrôle paternel.
— Moi aussi, tu vas me manquer, mais c’est nécessaire. Je ne supporte pas de te voir tous les jours et de ne pouvoir faire ceci quand j’en ai envie, dis-je en embrassant ses lèvres parfaites
Ni ceci.
J’approfondis le baiser en mêlant nos langues avec toute la passion que cette fille parvenait à éveiller en moi. Sa réponse fut immédiate et le désir s’empara aussitôt de mon corps. Elle me rendait complètement fou.
— Ni encore ceci.
Je la soulevai par la taille et l’obligeai à entourer mes hanches de ses superbes jambes. Elle éclata de rire, les lèvres toujours contre les miennes.
— Ni ceci, répéta-t-elle en tirant sur mon T-shirt et en me le passant par-dessus la tête. Je gémis en sentant ses mains me caresser les épaules et le cou. Je me dirigeai vers ce qui était à présent ma nouvelle chambre, avec un lit immense et une vue tout aussi spectaculaire sur le salon. Je déposai Noah sur les oreillers moelleux et commençai à défaire les petits boutons de son chemisier blanc. — Je crois que tu m’as convaincue… J’aime cet endroit, déclara-t-elle en soupirant une seconde plus tard, tandis que j’embrassais chaque centimètre carré de sa peau.
— Je savais que ça allait te plaire, lui répondis-je en m’approchant de sa bouche.
À cet instant précis, je réalisai que cette femme serait à mes côtés le restant de ma vie. Je l’aimais plus que tout et elle avait réussi à me sortir du trou noir qu’était ma vie avant notre rencontre. Les premiers moments avaient été difficiles mais, maintenant que nous étions ensemble, nous ferions de notre mieux pour que notre relation aille de l’avant. Notre vie à tous les deux n’avait pas été un chemin semé de roses, et c’était précisément pour cette raison que l’on se comprenait à la perfection. À un moment critique, au beau milieu de la tourmente, nous avions été la bouée de sauvetage l’un de l’autre, ce n’était pas quelque chose qu’on trouve facilement.
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— Il y a quelque chose que j’ai envie de faire, annonça-t-elle alors, tandis qu’elle mangeait son dernier morceau de crêpe. Passe-moi ton portable. Sans comprendre ce qu’elle voulait, mais sans hésiter une seule seconde, je le lui tendis.
— Maintenant que tu es mon petit ami… commença-t-elle en m’observant prudemment. Je lui souris. J’aimais ce qualificatif. Oui, j’étais son petit ami et elle était ma petite amie, à moi. J’aimais la manière dont cela sonnait.
— … je vais effacer toutes les filles de tes contacts sauf moi et Jenna, m’informa-t-elle, et je commençai à rire. Tu peux rigoler, mais je le dis sérieusement.
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Il se tourna vers moi, les bras croisés.
— Si tu avais eu ton portable, comme n’importe quelle personne normale, tu n’aurais pas été obligée de monter dans la voiture d’un étranger. Pourquoi n’arrives-tu pas à passer à autre chose ? Mais il me sembla voir une trace de remords dans ses yeux.
— Tu m’as jetée dehors, mon portable n’avait plus de batterie. De toute façon, qu’est-ce que ça peut faire ? Oublie-moi ! ajoutai-je en espérant qu’il allait disparaître de ma vue.
Il me regarda comme si je l’exaspérais au plus haut point. « Bienvenue au club », me dis-je en mon for intérieur. Alors que je me retournais pour m’en aller, sa main me saisit le bras et je me retrouvai face avec lui. Il semblait être en conflit avec lui-même, comme s’il hésitait à parler. Tandis que je me perdais dans l’azur de ses yeux et que mon cœur s’accélérait, il se décida :
— Moi, je peux t’emmener où tu veux.
Je mis quelques secondes à répondre :
— Ce n’est pas la peine.
J’étais troublée. Nicholas Leister venait d’être aimable avec moi ? Impossible ! Un moment, nous restâmes silencieux, plongés dans le regard l’un de l’autre. Mon estomac était tellement noué que je respirais avec peine. Comment le simple fait d’être près de lui pouvait-il me mettre dans cet état ? Où était donc passée la haine que je lui vouais ? Pourquoi, quand il était près de moi, ne ressentais-je qu’un irrépressible désir de l’embrasser et de me blottir entre ses bras, comme la nuit de la fête, quand il était trop ivre pour se rendre compte de ce qu’il faisait ? La main qui m’avait agrippé le bras me rapprocha de lui en un geste presque imperceptible. Ses lèvres, nom de Dieu ! Je ne pensais plus qu’à sa langue caressant la mienne et à ses bras me serrant contre lui. Au moment précis où je croyais qu’on allait s’embrasser, le bruit d’un klaxon fit bondir mon cœur. Nicholas tourna la tête pour voir de qui il s’agissait.
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Puis il écarta mes cheveux et commença à embrasser ma peau nue. Ce fut aussi inattendu qu’intense. Ça me rappela le baiser que nous nous étions donné aux courses. Ce qui avait commencé comme une simple vengeance s’était transformé en un véritable baiser, agréable et excitant… et c’était la même chose à présent. — Qu’est-ce que tu fais ? dis-je d’une voix rauque. Ses lèvres remontèrent lentement le long de mon cou, y déposant de petits baisers brûlants, puis arrivèrent à l’oreille. Je fermai les yeux en sentant ses dents mordiller ma peau. — Je te montre à quel point la vie peut être belle. Sa respiration s’accéléra tandis qu’une de ses mains glissait sous mon chemisier et commençait à me caresser l’épaule, d’abord avec délicatesse, puis plus fort, en me serrant contre son corps musclé. Il était clair qu’il ne savait pas ce qu’il faisait. Avait-il oublié qui il était en train d’embrasser ? On se détestait, encore plus maintenant que je lui avais fait perdre son jouet préféré et que son pire ennemi lui avait tiré dessus par ma faute. Et moi, pourquoi prenais-je autant de plaisir à ces caresses aussi brûlantes qu’inattendues ? — Je me retiens… mais bon sang, je t’ai dans le crâne, je n’arrive pas à me débarrasser de toi, lança-t-il, furieux, tout en me soulevant aisément, m’obligeant à enrouler mes jambes autour de ses hanches. Si j’avais été surprise de l’entendre s’exprimer ainsi, mes pensées, de même que les sentiments ou problèmes qui m’avaient affectée récemment, se trouvèrent vite relégués au second plan parce que, bon sang… ce garçon savait assurément ce qu’il faisait ! Tout à coup, ses lèvres étaient sur les miennes. Ardentes et possessives, elles m’embrassaient comme personne ne l’avait jamais fait. Sa langue s’unit à la mienne sans me laisser respirer, et je sentis son souffle enivrant sur ma bouche. Sans réfléchir, je nouai mes mains autour de son cou et je l’attirai à moi, j’avais soudain besoin de lui comme de l’air qu’on respire. Une contradiction, étant donné que ses baisers me coupaient le souffle. Je le tirai par les cheveux quand j’eus besoin de reprendre mon souffle. Il grogna de douleur quand je tirai encore plus fort en constatant qu’il ne s’écartait pas. Nous dûmes tous deux reprendre notre respiration. Puis ses yeux bleus se plantèrent dans les miens, tandis que des vagues de plaisir ardent me parcouraient de la tête aux pieds. Bientôt, ses mains m’attirèrent encore davantage contre lui, comme s’il ne supportait pas qu’il y ait encore de l’espace entre nous deux. — Tu n’es qu’une brute, dis-je en haletant. Mais peu m’importait sa manière de me traiter : en cinq minutes, il avait fait en sorte que je sois disposée à lui donner tout ce qu’il voulait. — Et toi, tu es insupportable. Je n’eus pas le temps de répliquer, étant donné que ses lèvres étaient revenues à l’attaque. Tout mon corps était parcouru d’intenses frissons. D’une main, il commença à déboutonner mon haut tandis que, de l’autre, il me serrait les hanches avec force. Le souffle court, il s’écarta vers la droite, sûrement avec l’intention de me poser sur la table qui se trouvait là, mais je le tirai en arrière et mon dos heurta le mur une nouvelle fois. On entendit un brusque clic, et la lumière inonda la pièce d’une clarté douloureuse. J’eus l’impression de recevoir une douche froide. Nicholas s’arrêta, me regarda avec surprise, haletant lui aussi, et la réalité prit le pas sur l’attirance physique. Nicholas posa son front contre le mien et serra les paupières durant quelques secondes qui me parurent interminables. — Merde ! s’exclama-t-il alors. Puis il me déposa sur le sol et, sans même m’accorder un regard, se retourna et sortit de la pièce. La réalité me frappa avec une intensité telle que mes jambes se dérobèrent et que je me retrouvai assise par terre contre le mur. J’entourai mes genoux de mes bras en réalisant ce que nous venions de faire. Avoir une histoire avec Nicholas ne résoudrait absolument rien. Cela ne changerait rien au fait que mon copain m’avait trompée, ne rendrait pas ma solitude plus supportable et servirait encore moins à améliorer notre relation. Ce qui venait de se passer ne pouvait signifier qu’une seule chose : des problèmes.
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Vous l'aimez et elle vous aime. Vous êtes amoureux, Simon. Monty aurait-il raison?
"Meg? Sommes-nous des compagnons ?" "Je-Je ne sais pas."
"Je ne suis pas humain. Je ne serai jamais humain. Mais peut-être que je peux être humain assez pour être ton compagnon."
Meg le regarde. "Je ne suis pas un Loup. Je ne pourrai jamais être un Loup. Je ne peux même pas ressembler à un Loup. Donc comment pourrais-je être t'as compagne?"
Meg n'a pas a changer pour être sa compagne. Est ça l'amour? "Tu es assez Loup pour moi", dit-il.
"Et tu es assez humain pour moi. Mais je ne sais pas pour le ..." Elle a fait signe de la main vers son torse.
"Sexe?" En jugeant par la rougeur sur ses joues, il avait deviné correctement. Cette forme était plus dure à contrôler parce qu'il répond même quand une femelle n'était pas dans la saison, mais il a haussé les épaules. "Les Loups s'accouple une fois par an"
"Une fois par an?" Elle a cligné des yeux. "Juste une fois?"
A-t-elle semblé déçue? "Puisque les femelles humaines entrent dans la saison plus souvent, nous pourrions essayer plus près de la façon humaine." Il ne devrait pas lui dire qu'il pourrait sentir quand elle est réceptive, n'est-ce pas ?
Elle eu l'air effrayée, confuse - et peut-être un peu pleine d'espoir ? Comment pourrait-il encourager cet d'espoir ? S'il était en forme de Loup, il pourrait lécher son nez et la faire rire . Il n'était pas sûr que faire ça sous en cette forme ne causerait pas de confusion et lui ne ferait pas peur.
Meg dégluti. " Qu'est qui arrivera si nous devenons vraiment des compagnons, officiellement, comme Karl et Ruth ou Merri Lee et Michael ?"
"Demande" Simon fait un signe de la main vers les cartes de prophétie et remarque une petite touffe fourrure sur ses articulations. Les nerfs. Il se demande à quoi ses oreilles doivent ressemblées. Ses dents... Hmm. Eh bien, elle les avait vus auparavant.
Il l'aide à se mettre debout, garde son bras autour de sa taille pour ne pas qu'elle tombe durant qu'elle fait se retourne vers les cartes.
" Qu'est ce qui se passera si Simon et moi devenons compagnons ?" Meg ferme ses yeux et passe ses mains au-dessus des cartes de prophéties. Elle en choisie une et la retourne sans ouvrir les yeux.
Simon regarde la carte et ri doucement.
" C'est aussi mal que ça ?" Meg ouvre ses yeux, alarmée. Ensuite elle regarde la carte "Oh"
Elle a choisie la carte de l'amour, le symbole de la chose constante dans sa vie. Le symbole de l'amour.
" Avant qu'on ne le dise à quelqu'un, on devraient voir si on aime s'embrasser" Meg dit soudainement " pour voir si on aime ça "
Pourquoi est ce qu'il n'aimeraient pas ça ? Embrassé c'est pareil que lécher et il a toujours aimé lécher Meg. En fait, les fois ou il l'a embrassé à la manière humaine, il l'a aimé aussi. Il met ses bras autour d'elle et pose ses lèvres contre les siennes une fois, deux fois. Alors sa bouche installée sur la sienne et s'est attardée. Comme il a reculé en arrière, elle s'est penché en avant et a appuyé ses lèvres contre les siennes.
"Je pense que nous aimons ça" Meg a murmuré
"Je pense qu'on devraient réessayer . Juste pour être sûr."
Ils ont réessayer plusieurs fois, juste pour être sûr et ont finalement décidé qu'ils ont vraiment aimé s'embrasser. Ils l'ont aimé beaucoup.
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