Commentaires de livres faits par zaea31
Extraits de livres par zaea31
Commentaires de livres appréciés par zaea31
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J’avais fait construire une cheminée au centre du salon face à un canapé couleur chocolat d’où on pouvait regarder un film ou passer du temps avec Noah. La cuisine était de dimensions réduites mais avait tout le nécessaire, avec un petit îlot où deux personnes pouvaient s’asseoir pour prendre commodément leur petit-déjeuner. Il y avait d’épais tapis sur le plancher et une grande baie vitrée qui offrait une vue merveilleuse sur la ville. À cet instant, justement, l’obscurité du soir la rendait encore plus sublime, si toutefois c’était possible. Je regardai Noah, qui en était bouche bée. — Alors… qu’est-ce que tu en penses ? Elle resta silencieuse un moment avant de demander, en faisant quelques pas à l’intérieur :
— C’est à toi ? Je vis qu’elle était prise au dépourvu.
— Eh bien, oui, je vais vivre ici, mais toi, tu vas passer une grande partie de ton temps ici avec moi. C’est pour ça que je l’ai acheté, pour qu’on puisse être ensemble sans rien pour nous déranger, lui expliquai-je en me rapprochant. J’étais si heureux de la voir là, cela ressemblait à un véritable foyer maintenant.
Un sourire éclaira son visage.
— C’est génial ! Mais je voyais dans ses yeux qu’elle me cachait quelque chose.
— Qu’est-ce qu’il y a ?
— Tu vas me manquer tous les jours, voilà ce qu’il y a, m’avoua-t-elle en posant sa tête sur mon torse. Bon sang, moi aussi, elle allait me manquer. J’adorais prendre mon petit-déjeuner avec elle, la voir avec les cheveux en bataille mais toujours prête à m’offrir un sourire. Et que dire de cette sensation de savoir qu’elle était en sécurité derrière la porte d’en face… Tout cela allait changer maintenant que je déménageais. Mais je savais aussi que c’était nécessaire. Être amoureux de la belle-fille de son père et vivre tous sous le même toit, c’était de la folie. Les occasions où nous pouvions être seuls et à l’aise étaient rares. Mais, maintenant que j’avais mon propre appartement, Noah pourrait y passer tout le temps qu’on voulait sans aucune sorte de contrôle paternel.
— Moi aussi, tu vas me manquer, mais c’est nécessaire. Je ne supporte pas de te voir tous les jours et de ne pouvoir faire ceci quand j’en ai envie, dis-je en embrassant ses lèvres parfaites
Ni ceci.
J’approfondis le baiser en mêlant nos langues avec toute la passion que cette fille parvenait à éveiller en moi. Sa réponse fut immédiate et le désir s’empara aussitôt de mon corps. Elle me rendait complètement fou.
— Ni encore ceci.
Je la soulevai par la taille et l’obligeai à entourer mes hanches de ses superbes jambes. Elle éclata de rire, les lèvres toujours contre les miennes.
— Ni ceci, répéta-t-elle en tirant sur mon T-shirt et en me le passant par-dessus la tête. Je gémis en sentant ses mains me caresser les épaules et le cou. Je me dirigeai vers ce qui était à présent ma nouvelle chambre, avec un lit immense et une vue tout aussi spectaculaire sur le salon. Je déposai Noah sur les oreillers moelleux et commençai à défaire les petits boutons de son chemisier blanc. — Je crois que tu m’as convaincue… J’aime cet endroit, déclara-t-elle en soupirant une seconde plus tard, tandis que j’embrassais chaque centimètre carré de sa peau.
— Je savais que ça allait te plaire, lui répondis-je en m’approchant de sa bouche.
À cet instant précis, je réalisai que cette femme serait à mes côtés le restant de ma vie. Je l’aimais plus que tout et elle avait réussi à me sortir du trou noir qu’était ma vie avant notre rencontre. Les premiers moments avaient été difficiles mais, maintenant que nous étions ensemble, nous ferions de notre mieux pour que notre relation aille de l’avant. Notre vie à tous les deux n’avait pas été un chemin semé de roses, et c’était précisément pour cette raison que l’on se comprenait à la perfection. À un moment critique, au beau milieu de la tourmente, nous avions été la bouée de sauvetage l’un de l’autre, ce n’était pas quelque chose qu’on trouve facilement.
— Maintenant que tu es mon petit ami… commença-t-elle en m’observant prudemment. Je lui souris. J’aimais ce qualificatif. Oui, j’étais son petit ami et elle était ma petite amie, à moi. J’aimais la manière dont cela sonnait.
— … je vais effacer toutes les filles de tes contacts sauf moi et Jenna, m’informa-t-elle, et je commençai à rire. Tu peux rigoler, mais je le dis sérieusement.
— Si tu avais eu ton portable, comme n’importe quelle personne normale, tu n’aurais pas été obligée de monter dans la voiture d’un étranger. Pourquoi n’arrives-tu pas à passer à autre chose ? Mais il me sembla voir une trace de remords dans ses yeux.
— Tu m’as jetée dehors, mon portable n’avait plus de batterie. De toute façon, qu’est-ce que ça peut faire ? Oublie-moi ! ajoutai-je en espérant qu’il allait disparaître de ma vue.
Il me regarda comme si je l’exaspérais au plus haut point. « Bienvenue au club », me dis-je en mon for intérieur. Alors que je me retournais pour m’en aller, sa main me saisit le bras et je me retrouvai face avec lui. Il semblait être en conflit avec lui-même, comme s’il hésitait à parler. Tandis que je me perdais dans l’azur de ses yeux et que mon cœur s’accélérait, il se décida :
— Moi, je peux t’emmener où tu veux.
Je mis quelques secondes à répondre :
— Ce n’est pas la peine.
J’étais troublée. Nicholas Leister venait d’être aimable avec moi ? Impossible ! Un moment, nous restâmes silencieux, plongés dans le regard l’un de l’autre. Mon estomac était tellement noué que je respirais avec peine. Comment le simple fait d’être près de lui pouvait-il me mettre dans cet état ? Où était donc passée la haine que je lui vouais ? Pourquoi, quand il était près de moi, ne ressentais-je qu’un irrépressible désir de l’embrasser et de me blottir entre ses bras, comme la nuit de la fête, quand il était trop ivre pour se rendre compte de ce qu’il faisait ? La main qui m’avait agrippé le bras me rapprocha de lui en un geste presque imperceptible. Ses lèvres, nom de Dieu ! Je ne pensais plus qu’à sa langue caressant la mienne et à ses bras me serrant contre lui. Au moment précis où je croyais qu’on allait s’embrasser, le bruit d’un klaxon fit bondir mon cœur. Nicholas tourna la tête pour voir de qui il s’agissait.
"Meg? Sommes-nous des compagnons ?" "Je-Je ne sais pas."
"Je ne suis pas humain. Je ne serai jamais humain. Mais peut-être que je peux être humain assez pour être ton compagnon."
Meg le regarde. "Je ne suis pas un Loup. Je ne pourrai jamais être un Loup. Je ne peux même pas ressembler à un Loup. Donc comment pourrais-je être t'as compagne?"
Meg n'a pas a changer pour être sa compagne. Est ça l'amour? "Tu es assez Loup pour moi", dit-il.
"Et tu es assez humain pour moi. Mais je ne sais pas pour le ..." Elle a fait signe de la main vers son torse.
"Sexe?" En jugeant par la rougeur sur ses joues, il avait deviné correctement. Cette forme était plus dure à contrôler parce qu'il répond même quand une femelle n'était pas dans la saison, mais il a haussé les épaules. "Les Loups s'accouple une fois par an"
"Une fois par an?" Elle a cligné des yeux. "Juste une fois?"
A-t-elle semblé déçue? "Puisque les femelles humaines entrent dans la saison plus souvent, nous pourrions essayer plus près de la façon humaine." Il ne devrait pas lui dire qu'il pourrait sentir quand elle est réceptive, n'est-ce pas ?
Elle eu l'air effrayée, confuse - et peut-être un peu pleine d'espoir ? Comment pourrait-il encourager cet d'espoir ? S'il était en forme de Loup, il pourrait lécher son nez et la faire rire . Il n'était pas sûr que faire ça sous en cette forme ne causerait pas de confusion et lui ne ferait pas peur.
Meg dégluti. " Qu'est qui arrivera si nous devenons vraiment des compagnons, officiellement, comme Karl et Ruth ou Merri Lee et Michael ?"
"Demande" Simon fait un signe de la main vers les cartes de prophétie et remarque une petite touffe fourrure sur ses articulations. Les nerfs. Il se demande à quoi ses oreilles doivent ressemblées. Ses dents... Hmm. Eh bien, elle les avait vus auparavant.
Il l'aide à se mettre debout, garde son bras autour de sa taille pour ne pas qu'elle tombe durant qu'elle fait se retourne vers les cartes.
" Qu'est ce qui se passera si Simon et moi devenons compagnons ?" Meg ferme ses yeux et passe ses mains au-dessus des cartes de prophéties. Elle en choisie une et la retourne sans ouvrir les yeux.
Simon regarde la carte et ri doucement.
" C'est aussi mal que ça ?" Meg ouvre ses yeux, alarmée. Ensuite elle regarde la carte "Oh"
Elle a choisie la carte de l'amour, le symbole de la chose constante dans sa vie. Le symbole de l'amour.
" Avant qu'on ne le dise à quelqu'un, on devraient voir si on aime s'embrasser" Meg dit soudainement " pour voir si on aime ça "
Pourquoi est ce qu'il n'aimeraient pas ça ? Embrassé c'est pareil que lécher et il a toujours aimé lécher Meg. En fait, les fois ou il l'a embrassé à la manière humaine, il l'a aimé aussi. Il met ses bras autour d'elle et pose ses lèvres contre les siennes une fois, deux fois. Alors sa bouche installée sur la sienne et s'est attardée. Comme il a reculé en arrière, elle s'est penché en avant et a appuyé ses lèvres contre les siennes.
"Je pense que nous aimons ça" Meg a murmuré
"Je pense qu'on devraient réessayer . Juste pour être sûr."
Ils ont réessayer plusieurs fois, juste pour être sûr et ont finalement décidé qu'ils ont vraiment aimé s'embrasser. Ils l'ont aimé beaucoup.