Irène Frain
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Note moyenne : 6.95/10Nombre d'évaluations : 158
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Modern Style d’Irène FRAIN
(Le Livre de Poche – 1985)
4e de couverture : À la veille de la guerre de 14, deux jeunes filles, Madeleine et Léa, s’enfuient à Paris. Rebaptisées en Soyeuse et Liane, habillées de pied en cap par le célèbre couturier Paul Poiret, elles deviennent de superbes « cocottes » attirant tous les hommes. La blonde Soyeuse surtout les intrigue et les fascine. Steve, un jeune Américain, s’éprend follement d’elle malgré ses trahisons. Grâce à leurs protections, les deux femmes poursuivent pendant la guerre leur vie de luxe et de plaisir jusqu’à l’étrange nuit de 1917 où tout bascule…
Plus tard, dans le Paris des années 20, Steve, revenu des États-Unis et toujours envoûté par Soyeuse, repart sur ses traces dans un monde bouleversé par la guerre.
Mon avis : En lisant ce roman, il ne faut pas oublier qu’il se passe début du 20e siècle, où les femmes étaient très dépendantes des hommes et que les cocottes ont réellement existé.
On retrouve avec délice le Paris de la mode et du luxe. Et la fascination que Soyeuse, femme mystérieuse, exerce sur les hommes. C’est une histoire d’une grande amitié entre femmes que le temps va amoindrir. De l’amour inconditionnel que porte Steve à cette femme qui le fascine. C’est l’histoire de Paris, des maison de couture, des cocottes. Et j’avoue que j’y ai pris un certain plaisir.
À lire à demi allongé(e) sur une sofa recouvert de soie avec une coupe de Champagne rosé et des biscuits de Reims.
Afficher en entierAprès avoir beaucoup aimé Marie et Bronia, qui retracait la jeunesse de marie curie, j'ai dévoré ce livre qui est en fait la suite logique de marie; c'est vraiment intéressant, je le recommande à tous ages !
Afficher en entierAvant de commencer ma lecture, je pensais que l'histoire serait surtout concentrée sur les 15 ans de survie alors qu'elle est surtout centrée sur les deux premiers mois.
Mais il est vrai que, comme il s'agit d'une histoire vraie, l'auteure n'a pu que se baser sur les documents et témoignages à sa disposition.
Afficher en entierJ'ai choisi ce livre dans l'espoir qu'il me fasse voyager. Malheureusement, ce ne fut pas le cas. Il y a bien quelques descriptions de la mer, des îles mais rien qui ne m'est complètement envoûtée. Je n'ai pas accroché à l'histoire de cette mystérieuse femme solitaire, je n'ai pas compris ce qui la rendait si spéciale, pourquoi tout le monde n'en avait qu'après elle. Bien sûr, j'ai compris l'histoire, une sorte d'enquête qui n'en est pas vraiment une mais il y avait si peu de profondeur, le dénouement n'est en rien surprenant. J'ai senti que l'auteure souhaitait aborder les thèmes problématiques du colonialisme mais cela manquait de justesse. Peut-être que le parti pris n'était pas assez fort.
Mention spéciale pour la formule "du coup" que j'ai retrouvée pour la première fois et à plusieurs reprises... Je ne m'attendais pas du tout à ce que cette expression soit reprise dans un livre et, moi et mon esprit psychorigide, ça ne nous plaît pas du tout. Surtout si l'histoire est censée se dérouler au 19ème siècle... Je trouve ça très perturbant mais peut-être que j'exagère !
Afficher en entierEn dépit des bonnes intentions de ce recueil, j'ai trouvé cette compilation de lettres peu originale. De rares récits sortent vraiment de l'ordinaire, comme ceux de Sophie Blandinières, Rokhaya Diallo, Mathias Malzieu ou encore Thibaud de Montaigu, mais beaucoup demeurent hélas sans surprise ni grande émotion.
Afficher en entierL'histoire des naufragés de l'île Tromelin est un roman historique, un texte sans vie, qui ne permet pas de voir et de comprendre la situation. Je n'ai pas du tout adhérer au livre. Il est plat du début à la fin. Je pensais aimer, mais je ne suis pas bon public pour les romans historiques.
Afficher en entierJamais déçue avec les enquêtes de Irène Frain …!
Afficher en entierj'ai décidé que je ne lirais que les lettres dont l'auteur m'intéressait. D'où une première fournée.
Albert Algoud, ancien prof, pour évoquer une coïncidence inattendue.
Jul (je ne sais pas qui c'est précisément), pour la meilleure des lettres que j'aurais lues dans cet ouvrage. Elle n'est pas construite puisque c'est une énumération, mais elle est tellement attachante et nous montre quelqu'un qui s'attache.
Plantu, pour ses planches vivifiantes.
Sylvie Testud : l'exposé sur le chewing-gum et ce prof inventif qui distribue, comme d'autres les remarques, des exposés à faire en 48 heures (c'était signifiant avant Internet).
Bernard Werber : lettre trop courte et trop auto-centrée.
J'en avais fini de mes choix, et me suis dit qu'il fallait faire un second round. D'où :
Charles Berling : gros bof.
Nicolas Beuglet : enfant, il lisait des livres dont vous êtes le héros !
Nicolas Mathieu : lettre pas vraiment passionnante.
Peut-être ferai-je bientôt un 3ème round, pour les auteurs qui suscitent le moins ma curiosité...
Afficher en entierL'île de sable
En 1761, un navire français transportant une cargaison clandestine d'esclaves s'échoue sur une île perdue de l'océan Indien. Blancs et Noirs devront cohabiter pour survivre.
Un beau début avec le naufrage ; les descriptions sont sublimes et bien immersives.
Mais après l'écriture est plus aride et le texte aussi.
C'est le premier livre d'Irène Frain que je lis, mais je ne renouvèlerai pas l'expérience.
La survie sur cet îlot, cette poussière d'1 km2 située entre Madagascar et La Réunion qui s'appelait jadis "l'île de Sable" est bien décrite, mais lassant à force.
Le texte s'arrête au départ des Blancs sur un radeau de fortune et abandonnent les esclaves…
Un récit inspiré par les écrits de deux survivants...
Même si les propos à la fin du livre s'orientent sur l'esclavage et son inhumanité, j'aurais aimé que l'auteur décrive la survie de ces hommes et de ces femmes qui furent laissés là pendant plus de 15 ans !
L'auteur rappelle que c'est la Convention nationale en février 1794 qui a abolit l'esclavage.
Une post-face de Max Guérout est très intéressante ; il a dirigé les fouilles sur l'île.
"Après quatre campagnes de fouilles terrestres et sous-marines menées sur place en 2006, 2008, 2010 et 2013, ils ont mis au jour des centaines d'objets du quotidien, ainsi que de nombreuses constructions en dur. Ils ont établi que les naufragés se nourrissaient entre autres de tortues et de sternes, dont ils utilisaient probablement les plumes pour tisser des pagnes. En guise d'ustensiles de cuisine : des coquillages transformés en louches, des objets récupérés à bord de l'épave de l'Utile, ou des récipients fabriqués à partir de matériaux recyclés. Des cuillères en métal, notamment."
Une histoire à connaître :
Avec la passionnante exposition "Tromelin, l'île des esclaves oubliés". A découvrir au musée de l'Homme du 13 février au 3 juin 2019.
Pour aller plus loin : la formidable bande-dessinée Les esclaves oubliés de Tromelin
Afficher en entierUne enquête intime bouleversante. L'écriture est limpide. Le livre se lit d'une traite. Un très bon moment de lecture.
Afficher en entierOn parle de Irène Frain ici :
2011-11-26T10:50:14+01:00
2011-11-25T21:54:49+01:00
2011-04-08T18:51:10+02:00
2011-04-06T22:59:23+02:00
2011-03-23T22:40:38+01:00
2010-12-19T18:49:54+01:00
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Editeurs
Seuil : 6 livres
LGF - Le Livre de Poche : 6 livres
Michel Lafon : 4 livres
JC Lattès : 4 livres
Fayard : 3 livres
J'ai lu : 2 livres
Editions du seuil : 2 livres
Le Grand livre du mois : 2 livres
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