Christian Jacq

Le recueil de nouvelles de "13 à table" est un rendez-vous immanquable chaque année puisqu'il permet d'allier le plaisir de la lecture avec la solidarité. Cette année, c'est le thème de "dans le même bateau" que les auteurs ont dû chacun traité à leur manière et cela a généré des histoires très variées. On retrouve ainsi des histoires très contemporaines pour Sandrine Collette et Agnès Martin-Lugand, une histoire alliée à la Bretagne pour Lorraine Fouchet et à l'Egypte pour Christian Jacq comme on peut s'y attendre, une histoire qui résonne avec l'actualité pour Karine Giebel, une histoire qui a des airs de conte pour Marc Lévy, un poème pour Marcus Malte, une histoire qui fait plus frissonner avec Romain Puértolas ou encore une histoire que je connaissais plus ou moins et que j'ai beaucoup apprécié pour Jacques Ravenne. Que se soit le vrai bateau physique ou lié aux différentes expressions, chaque auteur a pu mettre en scène parfaitement le thème du recueil. Toutes les nouvelles sont plutôt bonnes et font passer un bon moment, tout en étant très divertissant et éclectique. Encore un bon cru de réalisé!

Ce livre est ma première découverte de cet auteur à l'âge de 13ans. J'en garde encore un excellent souvenir 13ans plus tard. Histoire d'amour est mignonne. Mais l'histoire (romancé) de cet architecte est ce qui m'a le plus marqué.

Aussi avec du recule j'aime beaucoup que certains personnages se retrouvent dans plusieurs œuvres comme l'âne Vent du Nord.

C'était un très bon livre mais je lui met un 5/10 pour plusieurs raisons. Premièrement, ça traine un peu en longueur et en tourne en rond vers le 50% du livre et, deuxièmement, dans ce même pourcentage, certaine chose ont été rajouté et n'ont pas eu de réponses à la fin du livre comme si ça a été rajouté pour combler un manque d'avancement dans l'histoire. Il y a eu certes des points négatifs mais ce livre était quand même agréable à lire.

Très bon livre même si j'avoue avoir préféré la première moitié du roman, Piankhy est un Pharaon juste et clément (même avec ceux qui ne la méritent pas tant que ça) digne des dieux et de ses illustres prédécesseurs, Spoiler(cliquez pour révéler)mais j'avoue que les soumissions successives des villes rebelles et les victoires faciles m'ont un peu ennuyé, non pas que je sois férue de guerre et de sang, loin de là mais j'ai eu l'impression de lire toujours un peu la même chose, et de ce fait j'avais même deviné la fin un peu trop tôt à mon goût, dommage ! même si je suis consciente que l'auteur base ses écrits sur le récit de la reconquête de l'Egypte gravé sur une stèle retrouvée par Auguste Mariette et que de ce fait il est fidèle aux faits.

Hormis cela il n'y a toujours rien à dire au niveau de l'écriture qui nous entraine dans l'époque de la XXVème dynastie avec moults détails qu'on a vraiment l'impression d'y être, j'ai beaucoup aimé également les petites taquineries entre le capitaine Pouarma et le capitaine Lamerskény qui apportent un peu de légèreté et d'humour à l'histoire.

Je ne connaissais pas grand chose de l'existence de ce Pharaon noir et j'y ai beaucoup appris sur lui et sur sa grande épouse royale, la reine Abilée à qui il voue un amour sans faille et sans lequel il ne serait que la moitié de lui même.

C'est un livre que je relirai certainement un jour.

Déçue, j’ai eu l’impression que l’inspecteur passait plus de temps à manger des spécialités italiennes qu’à résoudre l’enquête. A mon goût trop de chapitres, les conversations sont morcelées, dès qu’il y aborde un nouvel élément on a un nouveau chapitre !

Cette enquête se lit facilement, on trouve assez rapidement les liens entre les différents indices qui mènent au dénouement.

Dans ce quatrième volume, on retrouve les mêmes protagonistes avec un Moïse qui monte en puissance. L'auteur nous donne sa version à lui des dix plaies d'Egypte avec une explication très plausible. La guerre avec les Hittites continue et est bien présente dans ce volume avec quelques surprises.

La fin est bien triste pour cher Ramsès.

Dans cette série nous retrouvons notre célèbre inspecteur Higgins avec son associé Marlows face à une enquête sur l'espionnage industriel de la défense : un drone et la recherche de l'assassin parmi un panel de suspect.

l'enquête est toujours aussi intéressante et addictive et c'est toujours avec un plaisir de retrouver ce tandem et de les suivre.

Son auteur se plait à la rendre complexe pour mieux nous égarer et dans ce volume nous y avons des animaux attachants et des détails de plats culinaires qui vous mettent l'eau à la bouche

Ce fut long et loin d'être palpitant. D'ordinaire les livres de Christian jacq me tiennent en haleine de bout en bout et ils sont difficiles à lâcher.

Là, ce n'est pas le cas. J'ai failli renoncer. peut-être les tomes suivants seront-ils plus vivants.

A suivre.

Dans ce nouvel opus de Christian Jacq nous sommes dans le milieu scientifiques et plus précisément les laboratoires hautement sécurisés de type 4P qui travaillent sur des souches de virus dangereux et mortels en particulier avec l'allusion et le clin d’œil à la Covid 19 d'où se titre.

Ce crime dans ce type de laboratoire est placé sur la rapidité à cause du virus, et son développement et l'auteur par opposition met en scène son plus flegmatique inspecteur à la retraite

Comme dans chaque livre, nous prenons un grand plaisir à suivre les interrogatoires de notre british inspecteur, entrecoupés de dégustations, avec toujours les notes prises dans son petit carnet noir

Le lecture y est toujours agréable et même s'il n'y a pas de grosses angoisses, l'envie de voir comment va progresser les interrogatoires, les rebondissements... donne envie. L'enquête reste bien ficelée et addictive dans un milieu scientifique dominé par les enjeux de pouvoirs, les privilèges des laboratoires