Commentaires de livres faits par Andita
Extraits de livres par Andita
Commentaires de livres appréciés par Andita
Extraits de livres appréciés par Andita
Ce qui va t'arriver ensuite, c'est la spirale. Tu vas aller de plus en plus mal. T'entourer de marginaux et de drogués ne va pas t'aider.
Je ne peux pas réécrire l'histoire. Pas celle-là. Tout ce que je peux faire, c'est t'insuffler un espoir: n'oublie jamais, aux heures les plus sombres, que tu vas t'en sortir.
Dans le bus.
Dans la rue.
Sur un trottoir.
À une fille, on parle toujours de la mère. De la sienne et de celle qu'elle deviendra, comme si c'était acté pour elle. Mais on parle rarement de la femme. C'est pourtant la question primordiale: quelle femme souhaites-tu devenir?
- Un grand-père voulait expliquer à son petit-fils ce qu'était la vie et ils eurent cette conversation: «En moi se déroule un terrible combat entre deux loups, le noir et le blanc, commença le grand-père. Le noir est mauvais, il n'est que colère, envie, tristesse, regret, avidité, arrogance, culpabilité, mensonges, orgueil, sentiment de supériorité. L'autre loup est blanc: il est bon, et n'est que joie, paix, amour, espoir, sérénité, humilité, bonté, bienveillance, générosité, vérité, compassion. Ce combat terrible se passe aussi en toi, et à l'intérieur de chacun des hommes.» Le petit-fils réfléchit pendant une minute, puis demanda à son grand-père: «Mais, grand-père, lequel des deux loups va gagner?» Le vieux Cherokee lui répondit simplement: «Celui que tu nourris.»
Selon Billy Brooks, le message que les jeunes Noirs reçoivent de ce pays est simple : " 'Tu ne vaux rien. Tu es nul. Tu n'es bon qu'à une chose : travailler pour nous. Tu ne posséderas jamais rien. Tu ne feras pas d'études. On t'enverra en taule.' Ils nous disent qu'on peut se crever à la tâche, qu'on peut payer tant et plus, on n'est rien. 'On va te prendre ce que tu as. Tu n'auras jamais rien à toi,
Il y a toujours eu une autre manière d'envisager les choses. "Il est vain de prétendre que ce sont nos ancêtres qui les ont amenés et pas nous", prêchait déjà en 1810 Timothy Dwight, président de l'université Yale :
"Nous avons hérité d'un vaste patrimoine avec toutes les contraintes qui y sont attachées, et nous sommes tenus de payer les dettes de nos ancêtres. Cette dette-là, en particulier, nous devons nous en acquitter, car, le jour où le grand juge de l'Univers viendra demander des comptes à ses serviteurs, il exigera ce qui est dû avec intransigeance. Leur donner la liberté et rien d'autre, c'est les vouer à une malédiction certaine."
- Je t'aime. Je n'aime que toi.
Ça me flanqua un coup. Il y a des phrases qu'on n'aime pas entendre quand elles s'adressent à quelqu'un d'autre.
L'agent se contenta de dire :
"Ca doit être la volonté de Dieu tout-puissant !
- Cherche-moi dans un dictionnaire une explication scientifique, imbécile ! Au lieu d'invoquer Dieu chaque fois que ton ignorance se révèle."
- Il y a un relais fortifié à deux milles vers l'est.
- Comment le sais-tu ? Tu es déjà venu ici ?
- Une fois. Du temps où j'étais encore en vie.
- C'était pour l'affronter ?
- Oui.
- Je ne voulais pas de ce mariage. Mais j'étais malade et trop faible pour m'y opposer. Ils m'ont laissé mourir. J'ai appelé à l'aide... Je les entendais rire et chanter ! Je suis mort seul...
- On meurt toujours seul, Joseph. Toujours...
You know the stories where the strong, brawny man struts into a room with his head high, his chest puffed, and his stocky shoulders pulled back—he’s the king of the jungle, the big man on campus, the one who quivers girls’ knees. He carries an air of unwarranted superiority for the pure fact that he has a dick, and he knows it. He expects the girl to go tongue-tied and agree to his every demand.
Well, I am living that story right now.
I dream of kissing it.
- Dis-leur que c'était vraiment... vraiment très bien... On se serait cru... on se croirait dans un rêve !
À ces mots, une étrange lueur s'alluma dans le regard du Hyéneux. Comme un éclair de colère glacée. Quelque chose comme ça.
Le Hyéneux regarda fixement l'Italien, et Le Chien sentit la même lueur inquiétante passer dans les yeux du chat.
"Qu'est-ce que j'ai dit ? se demande Le Chien, j'ai fait une gaffe ?"
Mais, avant qu'il eût pu trouver une réponse, il entendit un claquement bref - une longue griffe venait de jaillir de la patte de l'Italien, une seule, mais quelle griffe ! - puis un sifflement, et il sentit une brûlure terrible lui déchirer la joue.
Le Hyéneux ne rattrapa Le Chien qu'à l'autre bout du pont.
- Qu'est-ce que j'ai fait ? Qu'est-ce que j'ai dit ? pleurnichait Le Chien, encore tout tremblant de frayeur. Pourquoi est-ce qu'il m'a griffé ?
Il passait sa patte sur sa joue ensanglantée.
- C'est moi qui lui ai dit de le faire, répondit Le Hyéneux.
- Toi ? Mais pourquoi tu lui as demandé une chose pareille ?
- Pour que tu saches que ce n'était pas un rêve, répondit Le Hyéneux.
Et il se mit en route, le plus tranquillement du monde.