Daniel Pennac
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Note moyenne : 7.53/10Nombre d'évaluations : 2 756
5 Citations 1 662 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J’ai bien aimé ce livre mais il manque d’humour
Afficher en entierDaniel Pennac nous livre ses douloureux souvenirs de l’école, ce qui en fait un témoignage touchant. Il utilise également beaucoup d’humour et d’autodérision, ce qui rend la lecture plus facile et plus légère. De plus, ce roman est très attractif car nous pouvons nous reconnaître dans les situations présentées. Il s’agit de choses que nous avons déjà à peu près vécu et c’est rassurant de se dire que nous ne sommes pas les seuls à vivre cela. Enfin, ce roman nous apporte de l’espoir. Par son exemple, Daniel Pennac nous montre que les échecs scolaires ne signifient pas un échec de notre vie.
Ensuite, ce que j’ai principalement apprécié, c’est la forme du livre. En effet, ce n’est pas une intrigue, mais plutôt un enchaînement d’idées, de dialogues, d’analyses et de réflexions très intéressantes. En outre, cela rend le livre très rapide à lire. Un autre point positif est le fait que Daniel Pennac se remet plusieurs fois en question dans le roman. Il est conscient qu’il est imparfait, mais il se rend compte de ses erreurs et essaie de les corriger.
Malgré tout, c’est la fin que j’ai préféré : sa remise en question du système scolaire, en encourageant les professeurs à se souvenir de leurs échecs et de leurs difficultés, le dialogue entre le cancre accusateur et le professeur que Daniel Pennac est devenu. Et enfin, l’incroyable métaphore qui occupe le dernier chapitre et clôture ce roman.
Ainsi, je conseille à 100% ce roman, qui vous fera prendre conscience de beaucoup de choses, et qui vous fera sûrement passer un très bon moment :)
Afficher en entierJe me rappelle avoir adoré ce livre quand j'étais jeune et maintenant je n'en vois plus l'attrait.
Il y a des longueurs, le personnage principal m'est antipathique et certaines descriptions de personnages me laissent un léger dégoût (description de Julia notamment).
Bref, autant j'avais adoré à la première lecture autant la deuxième fut laborieuse.
Afficher en entierUn petit bijou-Pennac de plus. On ne s'en lasse pas. On admire, comme toujours, les trouvailles sémantiques et les formules inédites qui surgissent sans flonflon, même quand l'action ne mérite pas un effort littéraire particulier. Un exemple parmi des centaines, extrait de la page 609 de l'édition Folio :
"l'éternité est ainsi faite que les morts et les zanaître ne se causent pas. Ils communiquent par les prières des vivants. le chagrin creusé par ceux qui partent fait le nid de ceux qui arrivent dans le coeur de ceux qui espèrent."
Comme j'espère moi que l'éducation nationale fait découvrir cet auteur aux classes laborieuses...
Afficher en entierRelecture de l'un des rares livres que j'avais aimé à l'école. Un livre contenant plusieurs histoires qui se rassemblent en une seule.
Daniel Pennac a une belle plume.
Afficher en entierJe pense que les romans de Daniel Pennac ne sont tout simplement pas fait pour moi, j'ai voulu essayé et je n'ai pas apprécié.
Afficher en entierJe n'ai pas apprécié cette lecture, je ne savais pas quoi en penser. Je l'ai lu pour ma culture personnelle mais ça n'a pas accroché.
Afficher en entierUne adaptation réussie du roman de Daniel Pennac, les illustrations sont bien ficelées et abordables et la trame est fluide. C'est comme si on lisait un conte.
Afficher en entierL'histoire est une véritable leçon de vie. Elle nous fait littéralement décoller vers de nouveaux horizons. Ainsi, nous rencontrons la cruauté de l'Homme à l'égart des animaux mais aussi des êtres de sa propre espèce. Les histoires du petit humain mais aussi celle du loup sont tellement vivantes.
Seule chose, cela fait un moment que j'ai lu ce livre et j'étais nettement plus jeune, je me souviens m'être ennuyée sur la fin de l'histoire du jeune garçon et avoir trouvé celle du loup trop courte.
Malgré cela, ce livre est à acheter à vos enfants. Qui sait, peut-être les aidera t-il a devenir tout aussi mordus de littérature que nous ?
Afficher en entierUn coup de coeur pour cette BD petit format qui se lit d’une traite. C’est rempli d’humour à la Pennac mais aussi d’amour et d’émotion. Une belle heure passée à la lire
Afficher en entierOn parle de Daniel Pennac ici :
2020-08-08T20:46:40+02:00
2020-06-25T15:09:59+02:00
2020-06-17T01:34:58+02:00
2020-04-07T19:48:02+02:00
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Dédicaces de Daniel Pennac
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 39 livres
Gallimard Jeunesse : 12 livres
Pocket : 2 livres
Nathan jeunesse : 2 livres
Folio : 2 livres
Pocket jeunesse : 2 livres
Bayard Jeunesse : 1 livre
Thierry Magnier : 1 livre
Biographie
Daniel Pennacchioni est le quatrième et dernier garçon d'une famille d'origine corse et provençale. Son père est un polytechnicien devenu officier de l'armée coloniale, ayant atteint le grade de général en fin de carrière et sa mère, femme au foyer, est une lectrice autodidacte. Il passe son enfance au gré des garnisons paternelles, en Afrique (Djibouti, Éthiopie, Algérie, Afrique équatoriale), en Asie du Sud-Est (Indochine) et en France (notamment à La Colle-sur-Loup). C'est son père, féru de poésie, qui lui donnera très vite le goût des livres, qu'il dévore dans la bibliothèque familiale ou à l'école.
Il raconte dans Mon frère, paru en 2018, ses relations fortes avec son frère aîné Bernard Pennacchioni, disparu prématurément en 2007.
Sa scolarité fut désastreuse. Dans Chagrin d'école, il prétendit avoir mis un an à assimiler la logique et la complexité du caractère « A » ; son père, militaire, général, ne s'en serait toutefois pas inquiété, affirmant que son fils maîtriserait parfaitement l'alphabet au bout de vingt-sept ans. Cancre, il se dit victime d'une dysorthographie enfantine. Ces versions plus ou moins romancées de ses difficultés scolaires ne l'empêchèrent pas de décrocher son baccalauréat puis une maîtrise ès lettres à Nice.
Adulte, il travailla comme chauffeur de taxi et illustrateur, avant de devenir en 1969 professeur de littérature de secondaire d'abord au collège Saint-Paul à Soissons, puis à Nice, et enfin à Paris. Il y enseigna notamment au lycée privé Paul-Claudel d'Hulst ; c'est de cette expérience qu'il s'inspira pour écrire Comme un roman. Il coupa son patronyme (Pennacchioni) en Pennac par peur d'embarrasser son père en signant son premier écrit en 1973 "Le service militaire au service de qui", un pamphlet sur le service militaire. En 1979, désespérant de la transformation de son quartier d'adoption de Belleville, à Paris, il réalisa un séjour de deux ans au Brésil, avec sa première femme Irène Pennacchioni-Léothaud qui y avait décroché un contrat de professeur dans l'Université fédérale du Ceará, séjour qui serait la source de son roman Le Dictateur et le Hamac. Il revient en France et commença à écrire pour les enfants. Avec Tudor Eliard, un dissident roumain, il proposa deux ouvrages dans le genre burlesque : Les Enfants de Yalta (1976) et Père Noël (1978).
Tout en continuant son métier de professeur. Il finit par proposer en 1985 Au Bonheur des Ogres à la Série noire. C'est ainsi que Benjamin Malaussène et ses amis de Belleville firent leur entrée dans la littérature. En 1995, il arrêta son métier de professeur pour se consacrer entièrement à la littérature.
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