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Livres - Bibliographie

Anne Fine


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Toutes les séries de Anne Fine

9 livres
934 lecteurs

Lundi, j'ai tué un oiseau. C'est vrai.

Ellie, ma maîtresse, a sangloté si fort en me serrant contre elle que j'ai cru me noyer. Mais dites-moi, qu'est-ce que je suis censé faire quand une petite boule de plumes m'arrive entre les pattes? Je suis un chat, tout de même.

Mercredi, j'ai rapporté une souris morte à la maison. Je ne l'avais même pas tuée. Ellie a encore beaucoup pleuré.

Et jeudi, il y a eu cette regrettable histoire de lapin...

4 livres
9 lecteurs

Tuffy n'est vraiment pas un chat fréquentable : il a mauvais caractère, adore martyriser les oiseaux et rentre très souvent avec une victime animale entre les dents, ce qui ne manque jamais de faire fondre en larmes sa jeune maîtresse Ellie. Si bien que quand il revient avec le lapin des voisins, mort, entre les pattes, il est immédiatement accusé... mais n’a pas les mots pour donner sa version des faits ! Voici son journal, qui nous dévoile tout de la psychologie de ce chat assassin.

Tous les livres de Anne Fine

Tout commence parce que Boris parle russe. Un matin, son professeur lui demande de venir en aide à un nouveau venu dans l’école. Il s’appelle Ivan, il est Russe et Boris doit lui servir d’interprète. Jusque-là tout va bien. Seulement les premières paroles en russe d’Ivan sont :

«Salutations à vous tous, pauvres vers tremblants… Sans aucun doute, vous serez tous assez faibles d’esprit pour m’accueillir parmi vous. Vos cerveaux minuscules, imbéciles comme des bulbes, sont tout simplement incapables de voir que j’ai des pouvoirs secrets dont j’ai l’intention de me servir pour faire de vous tous mes esclaves. »

Boris reste pétrifié. Qui est cet affreux garçon ? Et comment traduire son horrible discours ?

Mademoiselle Mirabelle, notre institutrice, est arrivée tel un ange. Un ange avec des cheveux dorés, des petites cloches aux oreilles et des chaussures très hautes et très vertes. Elle n'a pas du tout plu à notre directrice, Madame Poivre. Pour la journée Portes ouvertes, nous étions la seule classe à n'avoir rien préparé. Madame Poivre était si contrariée que Mademoiselle Mirabelle lui a dit un énorme mensonge... Après ça, la classe était bien embêtée. Heureusement, un des garçons a une idée tellement originale, tellement extraordinaire, que tout le monde sera sauvé. Heureusement surtout que Flossie la vache, son amie, fait de merveilleuses crêpes des champs, brunes, odorantes et bien fumantes.. Une histoire d'un humour savoureux.

A partir de 9 ans.

La vie d’Ian Laidlaw bascule lorsqu’Alicia Davies, une étudiante, se moque ouvertement de lui en plein séminaire. Pour la première fois, malgré son visage mutilé, il est traité en être humain : fini le marécage de politesse et d’égards, finie sa petite vie bien réglée, sans vagues et sans passion. Pour Alicia comme pour Ian, commence alors une dégringolade qui prend la forme d’une insoutenable histoire d’amour.

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Descriptions en VO :

Nobody, not even his former wife Margaret, has ever treated Ian Laidlaw in a natural way. Presented with his hideous facial scars, everyone he meets reliably falls back on cast-iron, distant courtesy to hide pity or disgust or shock. But then Alicia Davie, a careless young student, breaks the rules totally by laughing in his face. Alicia goes on to infiltrate the hidden man, exposing the obsessive, destructive passions that lurk beneath his primly cordial manner, never realizing that she is playing with fire...

* * *

Nobody has ever treated Professor Ian Laidlaw in a natural way. Presented with his hideous facial scars, everyone falls back on cast-iron, distant courtesy to hide their pity or shock. Then Alicia, a merry student, collapses in fits of laughter in one of his seminars. Never realising she is playing with fire, Alicia is unthinkingly drawn into a relationship which will expose the obsessive, destructive passions that lie beneath this restrained man's primly cordial manner...

Tous les matins, Oliver s'enferme dans la lingerie pour écrire ses mémoires. Comme il est philosophe, il n'entend pas tomber dans l'anecdote. Mais ses résolutions sont de courte durée. Cédant à la tentation, voici qu'il nous apprend ce que nous brûlons de savoir: comment son ex-femme, Constance, l'a mis à la porte pour filer le parfait amour avec la jardinier; pourquoi ledit jardinier est, à ses yeux, un incapable, un hypocrite et un lâche; dans quelles conditions il a été privé de ses enfants, etc. Oliver se voit comme une victime. Toute son histoire le prouve: n'était-il pas, en quelque sorte, prédisposé au malheur ?

Mais, très vite, le lecteur éprouve des soupçons. Pour commencer, c'est dans la maison de Constance-où il a décidé de se réinstaller- qu'Oliver écrit ses mémoires. Il se comporte en véritable tyran, intervient sans arrêt dans la vie de Constance et de son compagnon, bref, il est insupportable. Constance, qui a découvert le manuscrit caché dans une taie d'oreiller, entreprend alors, entre les lignes, de donner sa version de l'histoire.

Louis a un très gros défaut : il est bavard, extrêmement bavard, tant et si bien que seule sa mamie, encore plus bavarde que lui, est la seule à lui clouer le bec. Bavard, à un tel point que personne ne le croit quand il se lance dans un silencethon d'une journée complète pour la tombola annuelle. Aidé par un entraîneur de choc, sa maman, Louis apprendra qu'écouter peut être aussi passionnant que parler (...)

Liddy, qui élève seule ses deux enfants, a enfin rencontré un nouveau compagnon.

Un homme vraiment bien, qui ne rate aucune petite fête familiale. A vrai dire, il n'a guère le choix Liddy est quasiment mariée à ses trois sœurs - Stella, Bridie et Heather. Le bonheur... Jusqu'au jour où Stella, qui a eu vent d'une vague histoire de pédophilie au sujet de l'ami de Liddy, appelle Bridie. Celle-ci est catégorique : il faut alerter Liddy au plus vite. Mais Stella n'en est pas convaincue, Heather non plus.

Leurs discussions s'enveniment, raniment les conflits de leur enfance, et finissent par faire exploser l'idylle familiale si bien scellée par des années d'hypocrisies. Anne Fine s'empare de cette rumeur pour démonter à sa manière - cruelle, tendre et drôle - les rouages de la vie familiale. Avec une impertinence jubilatoire, elle renvoie chaque personnage à son inconséquence et confronte sa vérité à celle de l'autre.

description de l'éditeur :

Quand Imogène, la nouvelle, est arrivée dans la classe et que le maître a demandé un volontaire pour s'occuper d'elle la première semaine, tout le monde a levé le doigt. Tout le monde sauf Mélanie. Parce que Mélanie préfère les livres aux êtres humains. Pourtant, c'est tombé sur elle. Le maître la trouvait un peu solitaire sur sa chaise, un peu coupée du monde, avec ses romans plein la tête. Manque de chance, Imogène, elle, déteste les livres. Du moins c'est ce qu'elle dit. Un jour qu'elles rangent la bibliothèque ensemble, Mélanie voit Imogène toucher un livre puis sursauter et le lâcher comme s'il l'avait mordu avant de rougir comme une pivoine. Alors Mélanie, qui trouve déjà que c'est grave de ne pas aimer lire, comprend que le problème d'Imogène est bien plus grave. Et qu'elle est capable de l'aider à le résoudre. A coups d'imagination. Car, comme elle dit, à force de lire, on prend l'habitude des choses étranges et des gens bizarroïdes...

Timide, maladroit, soumis à une mère tyrannique, Colin mène l'existence terne d'un vieux garçon. Extérieurement. Car Colin a une vie intérieure autrement mouvementée. En secret, il s'absente pour rejoindre sa fiancée, une fille de papier nommée Suzie qui l'attend dans la remise. Et puis il y a Tamina, cette enfant de trois ans qui le subjugue, le fascine, et finalement le sauve. Sous le regard impitoyable d'Anne Fine, la chronique familiale prend des allures de guerre civile.

Claudia, Colin, Ralph, Pixie et Robbo n'ont pas eu la chance de pouvoir prendre le car avec les autres. Enfin c'est ce qu'ils croient. Ils se retrouvent donc dans le minibus avec M. Plumey. Ils sont en route pour un soi-disant château hanté. Arrivés avant tous les autres au château, ils montent dans les chambres. Le château est plongé dans l'obscurité, il y a un orage dehors, et entre deux éclairs, ils découvrent une pièce juste à côté de leur chambre. Grâce à cette pièce, ils se découvrent un point commun et racontent chacun à leur tour l'histoire de leur vie.

Lilith Collett, la "dame de fer", ne reviendra pas sur sa décision : le jardin familial doit être détruit. Et ce ne sont pas ses enfants qui l'en empêcheront.

Mais voici qu'entre en scène Miguel Angel Gippini Algaron Lopez de Rego, barman de son état et fiancé d'une des filles de Lilith. Ce redoutable séducteur, capable de semer la zizanie dans un couple d'homosexuels et de faire tourner la tête à Victoria et Gillyflower – les deux "méchantes fées" de ce conte cruel –, n'épargnera personne.

Tandis que le domaine familial et le jardin centenaire sont impitoyablement démantelés, chacun donne libre cours à ses pires inclinations.

Grinçante, caustique, cette comédie est certainement ce que l'Angleterre a produit de plus irrespectueux depuis longtemps.

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Descriptions en VO :

Lilith Collett lives in an Eden she is bent on destroying. If her family vex or thwart her in any way, the paradise of a garden that enchanted their childhood suffers for it. The vine, the rockery, the pergola - nothing at Cold Domain is safe from Lilith's ruthless slash-and-burn policy.

Enter Barbara’s astonishing Spanish suitor. A downtrodden daughter suddenly finds her voice and dares to defy her mother. And when William's lover Caspar joins the battle in his own subtle way, the fate of the Colletts and their garden is finally – and unexpectedly – sealed.

* * *

The four children persist in visiting their mother at Cold Domain - much to her irritation. Indeed, when any of them crosses her, she pulls out a plant from the garden which is the emblem, for them, of their blissful childhood. Not so for mother, who has secretly sold the garden for redevelopment.

" Les lèvres de bois demeuraient immobiles, figées dans leur éternel rictus. Les paupières étaient closes. - Je te hais, Billy le Transi ! dis-je au pantin. Chaque soir tu déverses une goutte de poison supplémentaire dans la vie de mon frère. Je me penchai plus près encore. - Mais ne t'imagine pas que tu vas gagner, chuchotai-je. Souviens-toi de ça. Tu passes toutes tes soirées avec lui, mais que sais-tu de moi ? Rien ! Et si l'on ne sait rien de son ennemi, comment peut-on espérer remporter la lutte ? Pour bien faire passer le message, j'assénai un coup de balai violent dans l'un des pieds de la table. Les yeux s'ouvrirent soudain. Le regard mort de Billy le Transi était fixé sur moi ! Je sais qu'il est en bois, mais, aujourd'hui encore, je jurerais qu'il y avait une expression nouvelle sur ce visage inerte. Et cette expression n'était autre que celle du triomphe. "

Chester Howard a survécu à pas mal d'établissements scolaires. Il a connu des uniformes qui grattaient, la prière cinq fois par jour, des profs qui se prenaient pour des psychothérapeutes et même une école où personne ne parlait sa langue.

Pourtant, il se demande comment il va survivre à Walbottle Manoir. Ici, les élèves semblent tous décérébrés, tellement ils sont mièvres, ici l'humour n'existe pas. Mlle Tate, l'institutrice, toute dégoulinante de sourires, accorde le droit d'effacer le tableau pendant une semaine comme elle offrirait un fabuleux trésor. Chester a peur de devenir fou. Heureusement, il trouve vite une raison de survivre : son voisin de table, Joe Gardener.

Joe est le plus phénoménal des cancres, mais c'est aussi un génie. Et ça, à part Chester, personne ne s'en est jamais aperçu. L'heure de la révolution a sonné.

À l’âge de sept ans, Youri sait déjà tout de « la Glorieuse Révolution ». Ou plutôt du « Glorieux Mensonge », comme le chuchote sa grand-mère pour ne pas être entendue des voisins.

Les Chefs de la Glorieuse Révolution ont renversé le Tsar pour délivrer le pays de la corruption.

En réalité, rien n’a changé. Les années passent, les gouvernements se succèdent. Le Père Trofim a éliminé les autres Chefs pour instaurer un régime de terreur.

Autour de Youri, des gens disparaissent. Car il suffit désormais d’un seul mot déplacé pour être envoyé « là-bas », à l’autre bout du pays. D’où personne n’est jamais revenu.

Youri a maintenant douze ans. Il a pris l’habitude de vivre avec les privations et la peur. Il se pose beaucoup de questions sur les fissures du système. Même s’il sait qu’il doit se taire pour rester en vie et protéger sa famille.

Jusqu’au jour où Youri ne parvient plus à contenir sa révolte.

Pourquoi Ralph doit-il rester enfermé dans sa chambre le jour de Noël ? Tout avait pourtant bien commencé.

Il avait envoyé sa lettre au père Noël pour demander : " Un furet, un vrai crâne, un scooter Px125, une toupie à moteur, un poster du Roi des Grenouilles, une promenade en ballon, une Game Boy Advance, un tour en avion biplan, un filet de saumon fumé, un casque stéréo GTS et une journée de canoë-kayak sur le Colorado. " Mais tout ce qu'il a obtenu, c'est : un oncle sadique, une tante gâteuse, une Grand-mamie odieuse, une cousine crâneuse déguisée en meringue, une mère surmenée, un père coupable, un voisin abandonné par des parents indignes, un Grand-père démolisseur, un oncle radin, une tante au régime...

Et une punition injuste. Il se venge en racontant sa version de l'histoire. Et attention : il dit TOUTE la vérité.

Bonny vient de déménager. En attendant de s'installer, sa mère veut l'inscrire à un cours passionnant, pour l'occuper pendant l'été. "Je travaille le bois" commence plus tard. "Pratique parentale" est destiné aux plus grandes. Reste " Charme Académie ". La mort dans l'âme, Bonny débarque au milieu d'un flot de petites filles (top) modèles, prêtes à tout pour gagner la titre de la Reine Suprême à la fin de la journée. Elles se décolorent les coudes au jus de citron. Elles se bavent des méchancetés à la figure. Elles sont obsédées par leur ligne. Elles sont horribles. Une seule solution pour échapper à cet enfer sucré et scintillant: se faire passer pour la nouvelle assistante de Maura, l'éclairagiste, et se réfugier toute la journée à la régie. Mais justement, ce samedi-là, Maura est absente.

Ce n'est pas tous les jours facile d'avoir une mère qui accroche des pendentifs en forme d'araignées à ses oreilles, se teint les cheveux en bleu, se promène en bikini à paillettes et en pantalon bouffant à pois roses, et ne verrait aucun inconvénient à se rendre dans cette tenue à un rendez-vous avec votre directeur d'école. Ce n'est pas facile non plus d'avoir une mère qui passe ses journées à regarder des films à la télé, en mangeant des chips en compagnie de son petit ami, même si ce dernier a suffisamment bon caractère pour apprécier le surnom de Pourri de Malheur, que vous lui avez affectueusement donné. Pourtant, Minna l'héroïne de cette histoire, tient le coup. C'est elle qui pense aux visites chez le dentiste, à changer l'eau du poisson rouge, et à terminer toute seule ses devoirs. Ca ne veut d'ailleurs pas dire qu'elle ne s'amuse jamais. Et de toute façon, une maman, c'est toujours une maman !

Vous allez le faire ? Ou pas ? Vous devriez ? Ou pas ? Vous l'avez déjà fait ? Un cadeau ? Ou un fardeau ? Faire l'amour pour la première fois. Huit histoires pour en parler sur tous les tons. Graves ou légères, drôles, poignantes ou tendres, des situations très différentes évoquent tout ce que vous voulez savoir sur la perte de la virginité et dont vous n'avez pas envie de parler avec vos parents. Par les plus grands auteurs de la littérature pour adolescents d'aujourd'hui : un indispensable!

Tout le monde est d'accord pour dire que les adolescents sont des gens infréquentables, et Will le premier. Depuis quelques temps, sa s½ur Estelle fait régner une ambiance explosive au 27, avenue des Métairies. Elle est aussi aimable qu'un bouledogue en proie à une rage de dents et s'habille comme la fille de Dracula. Côté parents ? Que peut-on penser d'une mère qui rentre chez elle par la fenêtre du salon pour éviter de parler à sa fille ? Et d'un père qui crie « Alerte ! » et disparaît sous sa couette quand sa fille - la même - pousse la porte de sa chambre ? La crise d'adolescence serait-elle contagieuse ? Cela signifierait alors que la guerre ne fait que commencer au 27, avenue des Métairies.

Personne ne veut être l'amie de Tulipe. Elle est trop étrange, trop insolente et elle raconte sans cesse des mensonges invraisemblables. Au début, Nathalie n'avait pas tellement le choix. Elle était nouvelle, intimidée... Ensuite elle a été fascinée. Car Tulipe n'est pas une amie comme les autres. Elle a une drôle d'intelligence, à croire qu'elle lit dans les pensées. Elle invente des jeux toujours plus étonnants, comme Silence de mort, Impasse des squelettes, Rats dans l'incendie... Et, de toute façon, il est presque impossible de lui résister. Cela pourrait être la plus belle, la plus forte des amitiés, mais Tulipe est réellement dangereuse. Personne ne peut la sauver du malheur et de la haine qui l'habitent. Pas même Nathalie.

Ce lundi-là, quand il se réveilla, Bill découvrit qu'il était une fille. Il n'était pas encore remis de ce choc, lorsque sa mère entra dans sa chambre et lui fit enfiler, le plus naturellement du monde, une délicieuse robe rose à manches ballon et boutons de nacre. Son père n'eut absolument pas l'air surpris quand il le vit ainsi, et à l'école non plus, personne ne s'étonna. Bill dut donc se résoudre à vivre la journée la plus pénible de toute son existence. Car il y a beaucoup d'inconvénient à être une fille en robe rose : se faire siffler dans la rue, ne pas pouvoir jouer au foot à la récréation, ne pas avoir de poches, et ça, ce n'est que le début. Mais au fait, parmi tous ces inconvénients, lesquels sont dus à la robe et lesquels au simple fait d'être une fille ?

Un matin, une fille étrange apparaît devant les grilles de l'école. Elle s'appelle Céleste. Elle porte une robe impeccable et ses cheveux dorés ressemblent à une auréole autour de son visage. Quand Céleste a décidé quelque. chose, elle s'y tient. Par exemple elle a décidé qu'elle ne ferait pas d'arithmétique et M. Fairway, l'instituteur, n'y peut strictement rien. Gronder Céleste est impossible. Elle n'a peur de rien ni de personne, pas même de Barry Hunter, la terreur de la classe. Grâce à elle, beaucoup de choses vont changer à l'école de Nisthill Road.

Stuart Terence Oliver, dit Stol ou Stolly, est un garçon unique.

Pour le dire, les adultes trouvent des mots variés qui traduisent mal leur embarras. Vivant. Bavard. Différent. Imaginatif. Menteur. Mythomane. Un peu fantasque. Complètement cinoque.

Ian, qui est peut-être le seul au monde à le connaitre vraiment, est devenu son ami à la vie, à la mort. Il adore ses inventions, le registre des paris, le Club des Enfants uniques, les statistiques étonnantes. Il admire sa capacité à dire les émotions et les angoisses les plus enfouies, à discuter avec Dieu et les esprits, à inventer des histoires horribles qui soulagent, à révéler à tous la vérité sur l'école. Il a besoin de sa franchise à toute épreuve.

StoIl a déjà eu plein d'accidents. Le dernier l'a laissé sur un lit d'hôpital, avec la clavicule, deux bras, six côtes, une jambe et une cheville cassés. Et la tête ailleurs. A son chevet, Ian se souvient de tout. Il décide d'écrire la biographie de Stol. Et, non content d'être son meilleur ami, il veut devenir son ange gardien.

Bien sûr, Tilly a quelques hésitations lorsqu'elle rencontre Geoff. Bel homme, galant, intelligent, il semble avoir tout pour lui... et il est père de deux enfants en bas âge. Pour cette jeune femme hors du commun - ingénieur de métier, bravant les tempêtes en haute mer sur des plates-formes pétrolières et collectionnant les amants -, adopter une famille entière relève du challenge, ce qui n'est pas sans lui déplaire. Se faire adopter, par contre, est une autre affaire. Surtout lorsqu'on vous octroie le dernier rôle, celui de la belle-mère qui n'a pas son mot à dire et sur qui pèsent tous les torts. De petites mesquineries en méchancetés anodines, les griefs s'accumulent et Tilly, tout comme Geoff, devient experte dans l'art de la manipulation, et de la vengeance...

Les bébés de farine. Il était peut-être fatal que cette expérience stupide tombe sur la 4èC, la classe des cancres et des cas désespérés, au moment de l'attribution des sujets pour la kermesse scientifique tu lycée.

Pendant trois semaines, chaque élève doit s'occuper d'un sac de toile rempli de farine comme s'il s'agissait d'un bébé, et tenir un journal quotidien. Les bébés de farine seront examinés et pesés deux fois par semaine. Toutes les taches, les fuites et les effilochures seront sanctionnées.

Ce qui a plu à Simon Martin, qui est l'un des "cas désespérés" et le héros de cette histoire, c'est l'idée que l'expérience se terminerait immanquablement par l'explosion de cinquante-sept kilos de farine dan la classe.

Mais depuis qu'il a son bébé de farine et qu'il fait de gros efforts pour le préserver des crocs de son chien, Simon a d'autres choses en tête.

D'abord, il s'est attaché à lui. Ou plutôt à elle, car c'est une fille

Et il se demande si ce petit sac aux jolis yeux ronds peut lui apprendre pourquoi son propre père est parti six semaines après sa naissance.

Depuis son plus jeune âge, Daniel Cunningham a vécu enfermé, avec pour seule compagnie les livres et sa mère - qui l'a gardé reclus, à l'écart du monde extérieur, et qui n'a cessé de lui répéter qu'il était malade. Un jour, des coups frappés à la porte vont tout changer. Des voisins ont découvert son existence, et résolu de libérer Daniel de l'emprise de sa mère. Pris en charge par le Dr Marlow et sa famille, il va découvrir peu à peu que tout ce qu'il tenait pour vrai jusque-là n'était qu'un tissu d'histoires racontées pour le protéger.

Mais le protéger de quoi ? De sa vie d'avant, Daniel n'a gardé qu'une maison de poupée. Et pas n'importe quelle maison de poupée : c'est la réplique exacte de la maison natale de sa mère, une maison qui recèle de nombreux et sombres secrets. Jusqu'à quels vertiges ces secrets conduiront-ils Daniel ?

À l’entrée du bateau, le contrôleur a dit quelque chose comme «Grine douskha sabédou ». Mais comment se douter que cela signifiait «Rien avant samedi ». Quand Harry et son oncle Tristram comprennent le sens de cette phrase, il est trop tard. Une fois sur l’île, ils sont coupés du monde pour une durée incompressible de sept jours. Belle-de-Jour, la petite amie de Tristram qui les accueille sur place, est très « nature ». Chez elle, pas d’ordinateur ni de télé. Pas même une radio. Heureusement, elle est très jolie, et la vie sur cette île n’est pas si ennuyeuse que prévu. Harry se dit qu’il aurait pu plus mal tomber. En attendant le ferry du retour, c’est terrine d’orties et beignets de pissenlits au menu, sauf le jour de la fête de l’île, où, paraît-il, on mange toutes sortes de choses (pâtés en croûte, hot-dogs, steaks, pizzas…), à condition qu’elles soient piquées sur des brochettes.

"Mentir est mal", dit Oliver. "Pas toujours", rétorque Laura. "Quelquefois, on ment pour un bien. " Et tous deux de se disputer... La tendresse tourne autour du bien! La tendresse tourne autour du vrai! Le pauvre Simon, quant à lui, n'a pas de temps pour la tendresse... Bien trop plongé dans ses problèmes, c'est un menteur pathologique, vraiment touchant de vérité. Les trois compères vont découvrir que, quand un "je" parle à un "tu", rien ne compte, sauf être soi-même. Et qu'il n'est pas de vérité définie, ni définitive. Ceux qui le croiraient trahiraient le langage, qui est un mystère. Conformistes, ils se confineraient en un "on" triste, accumulant télés, vidéos, stéréos, entre des murs plus ou moins gris... Et là, leurs bébés à venir, sans rien savoir, tendraient les bras vers des bras qui, à tant aimer s'être encombrés de superflu, oublieraient l'amour nécessaire.

«Il n'est pas question de nous séparer de Mamie, n'est-ce pas?» demandèrent les enfants. «Rien n'est définitif», dit Henry Harris embarrassé. «Ne vous inquiétez pas, rien ne presse! » Natacha, sa femme, jeta alors violemment la vaisselle dans l'évier. Elle commençait à en avoir vraiment assez, de Mamie. Les quatre enfants, eux, étaient consternés. Comment empêcher les parents de commettre une action aussi moche? Ils s'attaquèrent au problème avec ardeur, toute l'ardeur de leur tendresse pour Mamie, et avec leur imagination. Et la vie dans la maison de monsieur Harris devint très mouvementée. Sophie, l'aînée, eut l'idée de l'exposé sur La place des gens âgés dans notre société. Nicolas et Tanya étaient chargés de faire des cauchemars terribles. Quant à Yvan, sa devise devint: Ne faiblis jamais. Facile à dire! Un nouveau roman d'Anne Fine, l'auteur de Quand papa était femme de ménage et de L'amoureux de ma mère, traité avec plein de suspense, de rires, de gags.

Il revient de loin, Edward. Jusqu'à l'âge de sept ans, il a vécu enfermé dans un appartement avec sa mère, sous l'emprise d'un homme alcoolique et violent. Lorsqu'il est délivré de son bourreau, il peut enfin découvrir le monde qui l'entoure. Mais est-il libre pour de bon?

Recueilli par les services sociaux, puis ballotté de famille d'accueil en famille d'adoption, Edward se construit en tentant d'oublier son passé. Mais au fil des années ce passé le suit pas à pas et ne cesse de se rappeler à lui. La force, le courage et la volonté lui suffiront-ils pour lui échapper?

Irresistible tales of love, friendship, passion and betrayal from some of the top names in fiction.

A woman planning not just what she wants to wear to a school reunion, but who she wants to be...

A couple hoping to start a new life in Spain - and completely misunderstanding what they each want...

A girl who's brother falls in love with a beautiful male impersonator...

A woman haunted by ghosts from her past...

A newly divorced mother taking her teenage daughter to Crete for a holiday, longing to be young again, until she remembers how awful it is to be 17...

From Maeve Binchy to Jane Fallon, Adriana Trigiani to Alexander McCall Smith, this is the must-have collection of the year.

Rupert se souviendra longtemps de cette journée chez sa grand-tante. Son chien Roly aussi. Grand-tante Ada n'est pas très sensible au charme des chiots polissons. Elle interdit qu'on touche à ses massifs.

Elle n'a pas la télé, et si vous lui dites que vous vous ennuyez, elle vous fait passer l'aspirateur. Et en lignes bien droites et bien parallèles, s'il vous plaît.

Mais en fait, dans cette maison, il y a pire que Grand-tante Ada : c'est Gordon, le perroquet. Il vaut mieux se méfier de ses clins d’œil. Et de son don d'imitation. Gordon est un tyran, un véritable monstre !

Comment écrire dans un magnifique carnet quand on n’a pas la moindre idée de ce qu’on pense ? Je n’étais même pas sûre de ce que je ressentais. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, assise devant la fenêtre. En tout cas, j’avais la main toute moite à force de tenir mon stylo au-dessus de la première page. J’aurais pu commencer par des phrases qui sonnaient plutôt bien, comme "Ma mère est la personne la plus égoïste du monde" ou encore "Ma mère a gâché ma vie, celle de mon père et – j’espère, oh vraiment, oui, j’espère – la sienne". Mais aucune de ces phrases n’était tout à fait juste.

Dès que Gerald Faulkner a téléphoné pour emmener sa mère au cinéma, Kitty a su que ce serait la guerre. Sa manière de parler, sa manière de vivre, sa manière de vouloir tout régimenter, son ventre rond, sa calvitie, ses cinquante ans, sa petite imprimerie et ses opinions conservatrices dans tous les domaines en faisaient plus qu'un intrus, un ennemi, une bête d'une autre espèce. Mais assez rapidement, il est apparu qu'il s'incrustait de manière très efficace. Il a charmé Jude, la petite sœur de Kitty, il a commencé à faire de petits travaux dans la maison. Ensuite, il y a eu deux épisodes dramatiques : l'affaire de la chambre, et puis celle de la manifestation anti-nucléaire. Lors de la manifestation, le moins que l'on puisse dire c'est que Gerald Faulkner s'est fait remarquer ! Mais si Kitty raconte tous ces événements avec une verve incroyable, elle sait aussi reconnaître qu'elle n'a pas toujours eu raison à 100%. Surtout, elle finit par se demander s'il est absolument indispensable que tout le monde soit fabriqué sur le même modèle : la vie réserve des surprises.

Cette année, Miranda Hilliard a besoin de quelqu'un pour s'occuper de ses trois enfants, Lydia, Christopher et Natalie, et de la maison. Pourquoi pas moi ? propose Daniel, son ex-mari, un acteur au chômage. Pas question, réplique Miranda. Elle veut une personne de confiance, quelqu'un de solide, avec des principes et sans aucune fantaisie. Tout le contraire, pense-t-elle, de Daniel. Alors arrive Madame Doubtfire. Une vraie perle. Du moins en apparence. Car un père acteur peut être prêt à tout, et même à se déguiser en gouvernante poudrée pour être avec ses enfants. Mais comment va-t-il faire pour n'éveiller les soupçons ni de ses enfants ni de Miranda? On comprend que le projet mirifique de Daniel Hilliard ait enthousiasmé Robin Williams, sa femme Marsha et leurs enfants et que Madame Doubtfire soit devenu un film de Chris Columbus.

Comment ouvrir un magnifique carnet pour commencer à écrire dedans, quand on n'a pas la moindre idée de ce qu'on pense ? Je n'étais même pas sûre de ce que je ressentais. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, assise devant la fenêtre. En tout cas, j'avais la main toute moite à force de tenir mon stylo à pointe fine au-dessus de l'épais papier blanc crème de la première page. J'aurais pu commencer par des phrases qui sonnaient plutôt bien, comme "Ma mère est la personne la plus égoïste du monde." ou "Ma mère est une imbécile."ou encore "Ma mère a gâché ma vie, celle de mon père et - j'espère, oh vraiment oui, j'espère - la sienne." Mais aucune de ces phrases n'était tout à fait juste.

Chaque saison offre à Tiffou autant d’occasions de partir à l’aventure et de profiter de la vie. Une histoire pleine d’humour qui fait défiler les plaisirs quotidiens de la longue vie d’un chien aussi espiègle qu’épicurien.

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Printemps, été, automne, hiver... Chaque saison offre à Tiffou autant d'occasions de partir à l'aventure. Une histoire pleine d'humour, qui fait défiler les plaisirs quotidiens de la longue vie d'un chien aussi espiègle qu'épicurien.

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Descriptions en VO :

Ruggles likes visiting all his friends in the town - in a highly unauthorised fashion! Follow this soppy shaggy dog through all seasons, as he disappears from the garden to the wider world outside - Colditz style! He knows the dogcatcher really well, but he also knows all the children in the park. In the winter, though, the cosiness of the house could be just tempting enough.

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Ruggles like to visit all his friends in town. Follow him through the seasons, as he disappears from the garden into the wider world outside. Anything will help him go, from open gates to buckets left close to walls to be used as steps.

Camille possède un journal intime aux couleurs de l'arc-en-ciel mais elle ne sait jamais quoi écrire. Moi, c'est le contraire, je déborde d'idées... mais je n'ai pas de journal intime. Une certaine rivalité, beaucoup d'exaspération et de grandes réconciliations : voici une histoire d'amitié par l'un des auteurs les plus drôles d'aujourd'hui. Après avoir lu cette histoire, retrouve ses personnages dans les pages du supplément illustré.

Ce matin, quant Tasha et Nicky se réveillent, Maman n'est pas là. Elle a dû partir tôt, les laissant se débrouiller seuls. Pour que tout se passe bien, elle a eu une idée de génie : elle a enregistré ses instructions sur un magnétophone. Il faut habiller Petit Joe, lui donner sa bouillie, préparer ses affaires, et surtout, ne pas réveiller Papa. En entendant la voix de Maman tout près de lui, Petit Joe éclate en sanglots. Pas de panique, maman l'avait prévu. A-t-elle vraiment tout prévu ? Oui, presque. Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

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Lucas, Emma et bébé Léo doivent se préparer tout seuls sans réveiller Papa ! Heureusement, Maman a enregistré ses instructions sur magnétophone... Les préparatifs s'annoncent mouvementés !

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