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Jean Mabire

Auteur

88 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par Biquet 2012-01-21T23:17:13+01:00

Biographie

Jean Mabire, né à Paris (Île-de-France) le 8 février 1927 et mort le 29 mars 2006 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), est un écrivain, journaliste et critique littéraire français.

Sur le plan politique, il est un acteur engagé des milieux régionalistes normands et de l'extrême droite française, proche de la Nouvelle droite et défenseur d'un néo-paganisme. Il est l'auteur de nombreux livres consacrés à l'histoire, notamment à la Seconde Guerre mondiale et aux Waffen-SS.

Né à Paris d'une famille originaire de Bayeux et de Vire, Jean Mabire fait ses études secondaires au Collège Stanislas, où il obtient un baccalauréat philosophie-lettres, puis entre à l'École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art, tout en militant à l'UNEF.

Il débute sa carrière en 1949, en créant la revue régionaliste Viking, qu'il dirige jusqu'en 1955 (les revues Heimdal et Haro lui feront suite). Il effectue ensuite son service militaire, d'octobre 1950 à octobre 1951, à l'École des troupes aéroportées de Pau, où il obtient son brevet de parachutiste. Aspirant au 1er Bataillon parachutiste de choc à Montauban, il en sort sous-lieutenant de réserve.

En 1954, il fonde à Cherbourg, avec sa première épouse, un atelier d'art graphique, « Les imagiers normands », qui produit surtout des dépliants touristiques. Rappelé en octobre 1958 pour un an en Algérie, au Centre d'entraînement à la guerre subversive (à Philippeville), il est affecté au 12e Bataillon de chasseurs alpins, à la tête d'un commando de chasse composé aux deux tiers de musulmans. Le soldat est démobilisé en octobre 1959 comme capitaine de réserve. Pour ses états de service, il est décoré de la Croix de la Valeur militaire, de la Croix du combattant et de la Médaille commémorative des opérations de maintien de l'ordre en Algérie. Et voit par ailleurs reconnaître, à la faveur de cette guerre, sa vocation littéraire, en obtenant le prix François-Jean Armorin du meilleur reportage de la presse de province (1961) pour Conversations et réalités algériennes, série de dix articles parus dans La Presse de la Manche6.

C'est en effet en tant que journaliste que Jean Mabire contribue à de nombreuses publications. En 1956, il débute comme reporter à La Presse de la Manche, puis collabore à Historia, mais aussi, entre autres revues, à Défense de l'Occident (de Maurice Bardèche), à L'Esprit public (où il est l'adjoint de Philippe Héduy), à Europe-Action (dont, « débauché » par Dominique Venner, il devient rédacteur en chef en juin 1965), puis, par la suite, à Éléments. Tenant d'un « nationalisme » se donnant pour idéal le rassemblement de tous les peuples d'Europe, l'écrivain se réclame du « socialisme européen » et influence par ses écrits une génération de militants : « [c'est] sous l'impulsion de J. Mabire, écrit le politologue Pierre-André Taguieff, que les nationalistes issus de l'OAS se [convertissent] à l'Europe des ethnies (ou des peuples). » Anne-Marie Duranton-Crabol (op. cit.) insiste quant à elle sur son rôle central dans « l'effort de réflexion visant à dépasser l'Algérie » qui aboutira sur la « Nouvelle Droite ». Jean Mabire devait, plus tard, résumer d'une formule lapidaire sa visée de l'époque : « profiter de la défaite de l’Algérie française pour engager les survivants de cette aventure sur la voie de la France européenne ».

Parmi les fondateurs (avec, entre autres, le député Pierre Godefroy et Didier Patte), en 1968, de l'Union pour la région normande — qui donne naissance en 1971 au Mouvement normand, dont il était resté président d'honneur —, il participe également, dans le droit fil de son « tropisme » euro-païen, à la création du Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne (GRECE). Un temps rédacteur à Minute, ayant également travaillé dans l'édition (notamment en tant que directeur de la collection « Les Grandes Aventures Maritimes » des éditions Versoix, puis de la collection « Action » des éditions Art et Histoire d'Europe), l'auteur normand tient jusqu'à sa mort une chronique littéraire dans l'hebdomadaire National-Hebdo. Et contribue également fidèlement à La Nouvelle Revue d'Histoire, dirigée par son vieil ami Dominique Venner.

Marié en 1952, veuf en 1974, Jean Mabire, qui se remaria en 1976 avec Katherine Hentic, a trois enfants, prénommés Halvard, Nordahl et Ingrid. Habitant successivement Cherbourg, Évreux, Caen et Chevry, il s'était installé en 1982 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), dans le quartier de Saint-Servan.

L'Association des Amis de Jean Mabire, domiciliée à Boissey-le-Châtel, « a pour but de regrouper les amis de l'écrivain Jean Mabire, afin de mieux faire connaître son œuvre littéraire, historique et artistique, à la diffuser et la rendre accessible au plus grand nombre, éviter de la voir dénaturée, assurer le regroupement et la conservation de ses archives et de la documentation qu'il a réunie. L'association se donne aussi pour mission de défendre, le cas échéant, l'auteur et son œuvre. »

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Note moyenne : 7.42/10
Nombre d'évaluations : 19

0 Citations 20 Commentaires sur ses livres

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de Jean Mabire

Sortie Poche France/Français : 2015-02-06

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Lily-Ann 2016-02-15T00:22:06+01:00
Les Vikings

La passionnante histoire des vikings. Un livre instructif, où on y trouve tout pour comprendre leurs vies.

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Commentaire ajouté par Syracuse 2017-09-21T09:42:53+02:00
La bataille des Alpes 1944-1945

Un des rares - si ce n'est le seul - livre sur la bataille des Alpes de 1944-1945, bataille oubliée et peu - voire pas du tout - connue.

Une plongée au coeur de l'Histoire et au plus près des combats pour des "pitons arides et des paysages désolés" aux côtés des chasseurs alpins, lesquels, la grande majorité venant des maquis de la région, se sont engagés volontairement et sont allés défendre leur pays à 3000 mètres d'altitude, réalisant des combats relevant de l'héroïsme et sont allés jusqu'au bout d'eux-mêmes.

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Légendes de la mythologie nordique

Un livre très intéressant pour ceux qui ont envie de découvrir les légendes nordiques

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Ungern, l'héritier blanc de Gengis Khan

Né en 1885, le jeune baron von Ungern-Steinberg, noble estonien d’origine germanique, est un enfant difficile, plus intéressé par les bagarres que par les études. Au début de la première guerre mondiale, il déserte de l’école navale où il est élève officier pour s’engager dans les armées du Tsar comme simple soldat. Il combat en Galicie et acquiert une réputation de bravoure. Étant cinq fois blessé, il obtient l’ordre de Saint-Vladimir, de Saint-Stanislas et est décoré de l’ordre de Saint-Georges. En 1917, il combat les armées rouges et remporte quelques victoires avec la division de cavalerie asiatique qu’il a créée de toutes pièces, avant d’être investi d’une fonction officielle par le Bogdo Khan, ce qui l’amène à tenter de créer un empire mongol indépendant à l’est du lac Baïkal. Mais sans base arrière, ni alliés, ni secours possible, son échec est programmé. Ses propres officiers l’abandonnent quand ils comprennent que l’aventure touche à sa fin. Capturé par les Rouges, il est jugé le 15 septembre 1921, à Novonikolaïevsk. Les chefs d’accusation retenus contre lui sont de s’être battu contre la révolution, d’avoir été un agent des Japonais et d’avoir commis des crimes. Il est reconnu coupable sur tous les points, condamné à mort et immédiatement exécuté.

« Ungern, l’héritier blanc de Gengis Khan » se présente comme la courte biographie d’un des contre-révolutionnaires les plus flamboyants et les plus sauvages de l’histoire russe. Il fut surnommé le « Baron fou » et demeura une sorte de mystère pour les historiens. Il se proclamait bouddhiste mais semblait avoir fait partie de sociétés secrètes ésotériques satanistes comme la « Golden Dawn » et avoir eu un rôle d'espion. Il détestait les Russes mais s’était vaillamment et loyalement battu à leurs côtés dans les armées du Tsar. Il était brutal et impitoyable comme seul un ascète et un sectaire peut l’être, mais comme on ne prête qu’aux riches, on lui attribua plus de massacres qu’il n’en commit réellement. Il était capable de galvaniser les foules tout comme de perdre leur confiance. On le disait supérieurement intelligent et pourtant, il commit de grossières erreurs de tactique en se lançant à l’assaut des immensités russes avec un petit millier d’hommes et en voulant se mesurer à un ennemi plus de dix fois supérieur en nombre ! Petit ouvrage intéressant et bien écrit qui donne envie de se documenter un peu plus sur ce personnage hors du commun.

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Commentaire ajouté par lelette1610 2019-10-10T10:32:59+02:00
La Mâove

La Révolution se profile à l'horizon. Chacun va choisir son camp : révolutionnaire ou royaliste.

Le pays se déchire en intrigues de toute part.

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Commentaire ajouté par AnG_L 2022-10-12T12:41:37+02:00
Histoire de la Gestapo, Tome 4

Ce tome couvre deux points importants : les français qui ont aidé ou travaillé pour la Gestapo et ce qu'il est advenu des membres de la Gestapo, à la fin de la guerre. Une lecture intéressante.

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Légendes de la mythologie nordique

un livre à la hauteur des Mémoires de Zeus de Druon.

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Commentaire ajouté par VinFuriana 2023-06-20T16:30:34+02:00
La brigade Frankreich

Destins tragiques des français qui ont servi sous les armes de la Waffen SS. Ce livre parle de combats et des soldats et non pas d’idéologie (ce que certains ne comprennent toujours pas).

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Légendes de la mythologie nordique

Beaucoup moins connue que les mythologies grecques et latines, leurs homologues nordiques sont assez différentes, tout en ayant néanmoins bien des points communs. (La création du monde, les personnalités des dieux, les incarnations du Mal (Loki) et du Bien (Balder), la fin du monde, le Ragnarok, cette terrible Apocalypse du Septentrion, etc.) Toutes ces légendes commencent par un meurtre. Aidé de ses deux frères Vili et Vé, Odin tue le géant Ymir. Son petit-fils Bergelmir réussit à s’enfuir avec toute sa famille sur un navire voguant sur des eaux écarlates. Il donnera naissance à de nouveaux géants élevés dans la haine et l’esprit de vengeance. Du corps du géant Ymir va naître la terre. Le sol est formé de sa chair, l’océan de son sang, les montagnes de ses os, les forêts de ses cheveux et les cailloux de ses dents. Son crâne donnera le ciel et son cerveau les nuages. Et les dieux fabriqueront à partir de deux arbres, le premier homme Ask (le frêne) et la première femme Embla (l'orme). Ils sont dotés d’un beau teint clair et de cheveux blonds qui les distinguent de la race si sombre des géants. Et pour ne rien gâter, tous deux sont beaux, bons et sages…

« Légendes de la mythologie nordique » est un essai de vulgarisation sur un sujet rarement abordé. Les dieux de l'Asgard ayant été à la fois méprisés et ignorés dès l'arrivée du christianisme, l’auteur est retourné aux sources, les « Eddas » islandaises et les sagas danoises et norvégiennes pour nous présenter une mythologie tourmentée, bien à l’image des peuples et des climats qui en furent la matrice. Le lecteur aura sans doute un peu de peine à s’y retrouver dans la multitude de dieux, de géants (leurs perpétuels ennemis), mais aussi d’elfes, de nains et de monstres en tous genres. Ces histoires pleines de bruit et de fureur n’en demeurent pas moins relativement poétiques, et surtout terriblement symbolique, même si la lutte, le combat, la violence, en marquent quasiment tous les épisodes. Il est aussi noble pour les dieux de brandir une épée que de vider une corne à boire. Ce qui est ignoble, c’est la lâcheté, le mensonge et le parjure. Cet ouvrage agréable à lire pourra servir de référence pour qui veut s’initier aux anciens mystères du Nord. On y trouve d’ailleurs en fin de volume un important index regroupant une courte présentation de tous les intervenants qui sera très utile pour s’y retrouver dans ce foisonnement.

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Chasseurs alpins: Des Vosges aux Djebels

Le corps des chasseurs qui portait alors le nom de « compagnie de chasseurs d’essai » fut créé en 1837 par le duc d’Orléans, fils de Louis XVIII, qui voulait en faire un bataillon d’élite. Il s’appellera ensuite « chasseurs à pied », puis pour un temps, « Chasseurs d'Orléans », en hommage à leur créateur. Leur premier fait d’armes a lieu en Algérie en 1845, du côté de Sidi-Brahim où ils durent se battre à un contre cent face aux guerriers de l’émir Abd-El-Kader. Retranchés dans un fortin, les derniers survivants vécurent un équivalent de ce que fut Camerone pour les légionnaires. Ils se battirent jusqu’au dernier, jusqu’à la dernière cartouche sans jamais accepter de se rendre. Le 24 décembre 1888, un projet de loi fixe à 12, le nombre total de bataillons de chasseurs à pied, affectés spécialement à la défense du massif alpin. Leur nom officiel sera « Bataillon alpin de chasseurs à pied » que l’usage simplifiera en « Chasseurs alpins » (BCA). Ils s’illustrent dans de très nombreux combats lors de la pacification des djebels marocains. Puis ils se retrouvent dès le début de la guerre de 14 dans les Vosges, en première ligne face aux Allemands. Ils y paient un très lourd tribut. Pendant la seconde, ils sont sur tous les fronts, à Narvik, dans les Vosges, dans la Somme, et les derniers à essayer de bloquer le déferlement de la Wehrmacht avec les Cadets de Saumur. Ils font ensuite partie de l’armée d’armistice. Et quand elle est dissoute, ils entrent dans la Résistance. Ils se battront sur le plateau des Glières, dans le Vercors et dans la région de Grenoble. Ils participeront ensuite aux guerres d’Indochine et d’Algérie en restant toujours fidèles à leur devoir.

« Chasseurs alpins » est une étude historique particulièrement intéressante d’un corps d’élite particulièrement prestigieux au sein de l’armée française. L’ouvrage, parfaitement documenté est illustré de nombreux documents photographiques. Le style de l’auteur est très vivant. Il comporte de nombreux dialogues et se lit comme un roman. L’auteur consacre une très grande partie de son propos aux deux guerres mondiales (les exploits dans la résistance et les batailles inégales et sans espoir aux Glières et dans le Vercors sont particulièrement émouvantes). Le lecteur lambda et pas particulièrement « fana mili » pourra y trouver de beaux exemples de courage, de témérité, de bravoure, d’abnégation, d’esprit de sacrifice au service de la patrie, autant de qualités dont on se demande où elles sont passées aujourd’hui. Les jeunes Résistants des années 40 voulaient égaler leurs pères, les Poilus de 14, quitte à se battre avec des pétoires contre des Allemands lourdement équipés et bien supérieurs en nombre. La liste est longue de tous ces soldats qui y laissèrent la vie. Autrefois, ils étaient considérés comme des héros et montrés en exemple. Cet ouvrage passionnant, mais qui aurait pu s’étendre un peu plus sur les deux derniers conflits, s’achève par un rappel détaillé de tous les combats de chacun des bataillons.

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Dédicaces de Jean Mabire
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Presses de la Cité : 7 livres

LGF - Le Livre de Poche : 4 livres

Editions Famot : 4 livres

Fayard : 3 livres

Editions de Cremille : 3 livres

Balland : 2 livres

Grancher : 2 livres

Editions L'Ancre de Marine : 1 livre

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