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Norbert Merjagnan

Auteur

47 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par Jessy3252 2011-06-10T23:06:58+02:00

Biographie

De nationalité Française.

Il est né à Sisteron en 1968

Norbert Merjagnan est un auteur de SF.

Diplômé de l'IEP de Grenoble et titulaire d'un DEA d’Administration Publique.

En 1996, il rejoint le siège du Crédit Agricole où il prendra en responsabilité les activités Internet et e-commerce au sein du département "Entreprises et Collectivités locales" jusqu'en 2005.

En 2005, il quitte Paris et part s'installer près de Nantes, en bord de Loire, avec son épouse et leurs enfants.

Il entend dès ce moment se consacrer exclusivement à l’écriture.

Les Tours de Samarante (Éditions Denoël, Lunes d'encre, mars 2008), son premier roman, est lauréat du Nouveau Grand Prix de la Science-Fiction française (Prix du Lundi) 2008. Le roman paraît chez Folio SF en avril 2011.

Norbert Merjagnan est l'un des auteurs de l'anthologie 69 (ActuSF octobre 2009), dans laquelle il a publié la nouvelle : "Louis ionisée", nominée au Grand Prix de l'Imaginaire.

Son second roman, Treis, Altitude Zéro, paraît aux Éditions Denoël, Lunes d'encre en mars 2011.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.75/10
Nombre d'évaluations : 12

0 Citations 12 Commentaires sur ses livres

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de Norbert Merjagnan

Sortie France/Français : 2024-04-10

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Cuyckie 2015-01-14T15:28:19+01:00
Treis, Altitude Zéro

Ce livre échappe de peu à la liste "Je n'ai pas aimé" car l'histoire est intrigante, trop intrigante!! On ne comprend rien à ce qu'il se passe, des paragraphes entiers où l'écrivain perd son lecteur et le laisse loin, loin, très loin derrière lui sans se retourner. On ne comprend pas ce que sont, qui sont, et que veulent, les personnages. Tout est flou, retors ou sibyllin... Bon courage pour démêler tout ça!

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Commentaire ajouté par Adanson 2015-12-06T09:40:48+01:00
Les Tours de Samarante

Ce roman de Norbert Merjagnan qui apparemment se déroule sur une planète lointaine ou peut être dans une autre dimension nous conte trois histoires et trois destins qui finalement n'en feront qu'un.

Tout d'abord il y a Cinabre, femme magnifique crée par l'homme en laboratoire, ensuite il y a Triple A, une sorte de gavroche venu des quartiers pauvres de Samarente et dont le rêve est d'escalader l'une des tours de la ville et enfin nous trouvons le héros du livre Oshagan Sémuramat dont le but est de se venger de ceux qui ont massacré sa famille une décennie auparavant.

Résumé comme ça, rien n'a l'air bien neuf. Pourtant c'est sans compter sur l'inventivité de l'auteur et son imagination féconde: armes (sortes de tubes) capable de modifier le climat, maladie détruisant les machines etc...

La seule petite critique concerne les premières pages où le style qui est pourtant assez fluide s'encombre d'un langage inconnu qui sans le glossaire de fin serait difficilement compréhensible.

Pour conclure, ce roman procure un excellent moment de lecture et lorsque l'on sait que c'est un premier roman on n'a aucune crainte sur la réussite de son travail futur.

Je le conseille vivement.

Adanson Marco.

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Au bal des actifs : Demain, le travail

Les auteurs des nouvelles de science-fiction présentes dans ce recueil n'ont pas une vision joyeuse du monde du travail dans le futur, c'est le moins qu'on puisse dire : travailler jusqu'à la mort, multiplier les jobs pour réussir à s'en sortir avec l'ubérisation poussée à son paroxysme, vente de son corps, nouvelles technologies au service de l'exploitation des hommes et des femmes où l'intimité même disparaît, la quête de l'argent remplace l'art, tout le monde est lui-même évalué. Certaines nouvelles m'ont fait penser à des thèmes d'épisodes de la série d'anticipation Black Mirror.

Comme dans toute anthologie, la qualité des oeuvres est variable, ou en tout cas certains thèmes m'ont moins plu. Le principe même de la nouvelle empêche de s'attacher à certains personnages avec la rapidité et l'effet de chute.

Et puis... il y a la nouvelle d'Alain Damasio, à la fois cruelle et poétique, virtuose et touchante, avec une belle femme créatrice et vivante. L'important, ce n'est pas le travail au sens du trepalium romain, l'instrument de torture, mais l'art et l'amour.

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Au bal des actifs : Demain, le travail

J'ai beaucoup apprécié ce recueil, que ce soit pour les histoires, les concepts ou les styles que nous proposent les différents auteurs. A travers un contenu divertissant et accessible, ces nouvelles permettent de prendre conscience des dérives de certaines pratiques du monde du travail.

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Au bal des actifs : Demain, le travail

Ce recueil m'a vraiment interpellée à sa sortie, et pour cause: pointant au chômage, tandis que je galérais à obtenir formations et stages pour faire aboutir ma reconversion professionnelle, j'étais plus qu'intriguée de savoir ce que les auteurs de SF imaginaient de beaux pour le futur alors que je galérais au présent.

Le moins qu'on puisse dire après avoir pris connaissance de toutes les nouvelles, c'est que la vision des auteurs français est sacrément sombre. Les lendemains heureux, c'est vraiment pas pour tout de suite et certainement pas pour demain. Il semblerait même que pour eux l'expression "se tuer au travail" soit à prendre au pied de la lettre. Pas très joyeux pour qui recherche une petite lueur d'espoir ! Donc oui, il ne vaut mieux pas être un chômeur ou un travailleur mal dans sa situation quand on lit ce livre...

Passé ce sentiment général de lendemains noirs et déprimants qui donnent envie de se liquider tout de suite pour couper court, on ne peut que constater l'inégalité des nouvelles. Probablement parce que certaines plumes sont diamétralement opposées. Entre celles qui jouent sur le flou des mots, celles qui submergent de vocabulaire technique inventé, celles qui se raccrochent à notre réalité ou celles qui réinventent le monde, il y en a à peu près pour tous les goûts et toutes les sensibilités.

Personnellement, je me suis plus laissée toucher par celles qui faisaient preuve d'un brin d'optimisme et de poésie. Malheureusement, ce sont celles qui étaient en toute petite minorité. C'est ainsi que la nouvelle d'Alain Damasio est vraiment ressortie du lot et m'a plus que convaincue qu'il était grand temps que je m'attaque à un de ses romans. Pour les autres, ma progression dans le recueil a été très laborieuse. Trop de pessimisme, de noirceur, de glauque même. Trop de langage technique aussi. Vraiment pas ce dont j'avais envie et pas totalement ce à quoi je m'attendais en ouvrant ce livre qui, de fait, présente un sérieux déséquilibre.

Je n'ai jamais mis autant de temps à lire un recueil de nouvelles ! Il faut dire que mon état de fatigue n'a pas aidé: enceinte jusqu'au yeux sur la fin, je butais sur pratiquement tous les mots et ne parvenais à progresser de façon conséquente que quand le sujet et l'approche piquaient réellement mon intérêt, sans quoi je m'endormais au bout de peu de pages, et ce, malgré la brièveté de pas mal de nouvelles.

Au final, je garde une impression plutôt mitigée. Mais j'ai quand même eu le plaisir de noter les noms de quelques auteurs pour les découvrir sur des oeuvres plus longues et plus abouties.

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Cross the Ages, Tome 1 : La Rune & le Code

Whaou mais que dire de ce livre ! Un mélange passionnant de fantasy et de fantastique. Ce livre est magnifique avec une couverture et un jaspage trop beau. On rentre très facilement dans l’univers, on s’imagine très très bien dans le livre aux cotés des personnages, ou dans les gradins de l’Appologium. L’histoire est prenante et originale je ne m’attendais pas du tout à cela mais le mélange de ces deux univers est super bien réalisé. Ce premier tome presque trop court dont j’attends la suite avec impatience est vraiment une mise en place de l’univers, de l’histoire du monde d’Artellium. On y découvre les Arkantes utilisateur de la magie, les Mantris qui repoussent les limites de la technologie et le Rift zone post apocalyptique à la frontière entre les deux précédentes factions. Les personnages sont eux aussi incroyables. Le style d’écriture est tout à fait agréable à lire, quelques jeux de mots et une belle finesse de plumes. Je recommande vivement ce livre emprunt de magie de tumulte et de pleins de surprises...

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Cross the Ages, Tome 1 : La Rune & le Code

Cross the Ages, l'ovni livresque des éditions Bragelonne qui fait mouche !

Arnaud Dollen et les cinq autres auteurs qui l'accompagnent nous immergent dans un monde où Science-Fiction et Fantasy cohabitent avec brio, deux genres aux codes strictes qui pourtant s'épousent à merveille. Deux genres qui accueillent le lecteur dès la couverture, un magnifique travail d'illustration de Johann Papayou Blais.

Je ne suis pas férue de SF, tout du moins j'ai toujours eu quelques difficultés à me fondre au coeur des univers créés par les auteurs du genre, et pourtant, tout ou presque m'a semblé fluide dans Cross the Ages.

Le monde, l'Artellium, est divisé en trois civilisations : les Mantris (côté SF), les Arkhantes (côté fantasy) et les Riftiens (un mix des deux ?). Chaque partie se trouve au coeur d'une guerre froide que la moindre étincelle peut transformer en incendie ravageur. Pour entretenir un semblant de "justice" et apaiser les esprits en quête de vengeance, des jeux sont annuellement organisés : un combat, l'aballition, où l'alliance des deux principales civilisations menera paradoxalement à la perte de l'une ou de l'autre partie (les Riftiens étant historiquement interdits de jeu). Ce combat fera éclore un personnage clé qui changera la destiné de l'Artellium, sclérosé par des complots et affaibli par une nature en perte de vitesse qui menace la magie des Arkhantes et les ressources des Mantris.

J'avoue avoir une préférence pour la civilisation Arkhante, pour sa culture et sa magie même si les Mantris, ce peuple ultra-connecté et extrêmement doué en terme de robotique, n'est pas en reste. J'apprécie l'organisation royale des Arkhantes et leur magie, ces sept puissances qui leur donnent un avantage certain depuis des siècles : l'arkhome (ou magie) de l'Air, de la Terre, du Feu, de l'Eau, de l'Ombre et de la Lumière. Chacune de ces puissances est décrite de façon subtile par les auteurs : dès que l'un des Primus (les maîtres des mages) apparaît au coeur de l'histoire, le vocabulaire revêt les apparats qui les concerne (par exemple pour l'Eau, les adjectifs et verbes sont choisis en conséquence), rendant le lecteur complice des émotions et ressentis des personnages.

J'ai vraiment été sensible à la choralité du récit qui propose ainsi différents points de vue et à l'ensemble de ses plumes qui se sont unies pour donner une écriture de qualité qui use sans vraiment abuser de métaphores et comparaisons (procédés stylistiques qui sème la graine de l'imaginaire en nous). Ce premier tome (sur sept) comporte pas mal de descriptions, certains pourront accuser quelques longueurs, mais c'est idéal pour poser les bases des futurs tomes (un par an, l'attente va être longue). C'est un roman qui, au-delà de nous raconter une histoire fictive et post-apocalyptique, met également l'humain au pied du mur de ses capacités : quelles sont les limites à la création ? quelles sont les limites du "toujours plus" pour rendre l'Homme plus fort ? jusqu'où la liberté d'entreprendre peut-elle aller sans empiéter sur les libertés d'autrui ?

Les personnages sont nombreux, les principaux reviennent régulièrement tandis que d'autres apparaissent et disparaissent aussitôt, non sans laisser une trace importante dans le déroulé du récit. Une richesse "protagonistique" qui donne de la matière au roman, même si cela a pu me perdre par moment (surtout au début). Si je ne devais retenir qu'un personnage, je dirais que j'ai été sensible à Solis, cette reine si humaine qui évolue au sein d'un environnement où justement l'humain à chuter de plusieurs mettre dans la chaîne des valeurs. Sa puissance et son esprit font mouche. J'ai également un petit crush pour l'Ordonnateur, un personnage énigmatique qui promet pas mal de rebondissements (je trouve d'ailleurs qu'il est un peu le reflet masculin de Solis). En revanche, malgré sa position, Aurèle m'a un peu agacé... (comprendront qui liront :D )

En somme, à la lecture des premières pages, je n'imaginais pas que "Cross the Ages" serait un coup de foudre, la première phrase un brin alambiquée m'ayant fait penser que le roman risquait d'être complexe. Mais plus j'avançais dans ma lecture, plus je me fondais dans l'environnement et m'attachais aux personnages. Un véritable film qui s'est imprimé dans ma rétine et qui offrera je l'espère une belle saga littéraire (d'ailleurs, je me suis penchée sur le jeu de cartes Cross the Ages histoire que l'attente du prochain tome soit moins rude :p).

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Cross the Ages, Tome 1 : La Rune & le Code

J'ai reçu ce roman grâce à l'opération lire avant tout le monde sur Booknode et j'étais tellement contente d'être sélectionnée pour lire ce roman que je n'ai pas attendu bien longtemps avant de commencer la lecture. Ce roman mélange la fantaisie et le fantastique et je dois avouer que j'ai été agréablement surprise par ce mélange assez original. Personnellement j'ai eu une légère préférence pour les Arkantes bien que les deux univers soient extrêmement bien développés et très complets. Ce roman met en avant des questions que nous pouvons également nous poser nous lecteurs vivant dans notre société actuelle et bien que nous n'ayons pas encore la réponse à toutes les questions, elles mettent en avant les bases du roman. Ce roman a été écrit par 5 auteurs différents mais la plume est très fluide et le roman se lit très facilement. Ce tome est le premier tome d'une très longue série et j'ai hâte de découvrir la suite. Il faut savoir que ce roman est inspiré d'un univers de jeu vidéo et en tant que joueuse, ce roman m'a donné envie de découvrir le jeu et d'y jouer. Mention spéciale à la couverture et au design du livre qui est vraiment top et qui retranscrit parfaitement l'univers.

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Cross the Ages, Tome 1 : La Rune & le Code

Rentrer dans La rune et le code m'a demandé un brin d'effort. Comme dans un bon roman de S.F, nous sommes tout de suite entraîné dans un autre univers, les noms propres et les explications foisonnent, et on peut vite perdre le fil.

Mais si on s'y accroche, à ce fil, l'univers de l'auteur (des auteurs et autrices même, il y a du monde derrière ce livre) se dessine rapidement, et efficacement, servit par une plume intelligente et spirituelle. J'ai souvent, au grès de ma lecture, éprouvé une sensation de vertige. Arnaud Dollen maîtrise les mots et joue avec, piochant dans ces termes qui nous sont désormais familiers (AI, Réalité Virtuelle, etc) pour bâtir un monde très éloigné du notre, et pourtant très proche. Guerres, multinationales écrasantes, épuisement des ressources, manipulations des lobbys et des gouvernements, malheureusement, nous, nous ne sommes pas dans une fiction, et Artellium nous parle.

C'est un monde où deux nations s'affrontent, un peuple de science et de technologie, un autre de magie et de sorts. Et entre les deux, le Rift, sorte de frontière, ou de fosse où l'on vit, et surtout on l'on meurt, puisque c'est à la limite de ces deux nations que se célèbre, à grands coups de combats à mort, la fin de la Guerre des Héros.

Une guerre qui ne s'est jamais tout à fait éteinte, car une fois posée l'Histoire, c'est l'intrigue qui se déroule, et les personnages nous posent peu à peu leurs enjeux.

Des personnages, il y en a pléthore dans La rune et le code, mais nous en suivons surtout trois. Solis, la toute nouvelle Malkah des Arkhantes, ces gens de magie. Le grand Ordonnateur chez les Mantris, corpocratie d'adeptes dévots à la science et à la technologie. Et puis il y a Aurele, qui n'est ni l'un ni l'autre, mais qui nous est peut-être le plus accessible. Chacun se bat à sa manière, pour son peuple, pour ses idéaux, pour ses convictions, ou ses intérêts.

Ce premier tome a donc tout pour lui, des personnages bien construit, une écriture intelligente et une intrigue originale, pleine de rebondissement. Je ne m'attendais vraiment pas à plonger dans une histoire si dense.

Si l'on peut être d'abord un peu perdu par la complexité de la plume, par le rythme narratif, qui alterne fréquemment entre moments présents, description des sentiments et souvenirs du passé, une fois habitué, on se laisse vraiment transporté au cœur de l'intrigue, des luttes et des buts que chacun a besoin d'atteindre, pas pour lui même, mais pour quelque chose de bien plus grand, et pour ça, tous les coups sont permis.

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Cross the Ages, Tome 1 : La Rune & le Code

Je dois dire que ce livre est une agréable surprise. Une lecture cool, bien que difficile de rentrer dans l'univers au début.

Tout d'abord, la plume est très agréable et belle, j'aime beaucoup adaptabilité des expressions selon le point de vue, qui rend le tout vivant ! Même si parfois il y a un peu trop de métaphores, je me perds entre ce qui se passe et la métaphore.

J'aurais préféré que ce soit écris au passé simple plutôt qu'au présent mais c'est une préférence personnelle j'avoue, car l'auteur me le fait vite oublié. ( Ahh qu'est-ce que c'est bien écrit. J'ai beaucoup aimé " Le paternel et la mère, la mer et l'éternel." par exemple.)

Le world building est très intéressant, ce mélange fantasy/sf marche bien ! C'est logique et intriguant, même si au fond, le Problème est simple et je pense que c'est sa force. C'est déjà assez complexe.

Seul défaut pour moi, le début est trop lourd. On a trop d'exposition, c'est pathos, alors qu'il y a beaucoup d'action, on s'y perd. Je pense qu'un chapitre introductif pour mettre doucement en place certaines notions clés aurait été nécessaire, surtout qu'il y a en plus du vocabulaire spécifique.

C'est un livre chorale, donc on suit plusieurs point de vue, dont certains principaux et d'autres secondaires. Si tous les personnages sont plus ou moins intéressant ( j'adore Solis et l'Ordonnateur par exemple, ainsi que Sassaki) j'aime pas du tout Aurèle. D'ailleurs Spoiler(cliquez pour révéler)le côté séducteur de ce dernier tombe comme un cheveux sur la soupe, et pour moi ne se voit pas du tout surtout que pendant les 100ères pages, on le voit comme un assassin, j'arrive pas à le voir crédible en charmeur...

Parfois le livre est inégale, certaines scènes sont incroyables et déchirantes Spoiler(cliquez pour révéler)La mort de Julian, j'ai pleuré, vraiment on ressent la douleur d'Arhax. Le pire, je savais qu'il allait mourir, mais wow, la description du ressenti d'Arhax m'a soufflée. Alors que d'autres scènes ont moins d'impact qu'elles devraient Spoiler(cliquez pour révéler) Tout ce qui touche à Aurèle. Je sais pas pourquoi mais je le trouve pas assez attachant alors que Julian et Arhax oui. OUI, cette scène m'a trauma ;w;

Dernière chose, monsieur Damasio, si vous passez par ici, j'aurais une toute petite suggestion pour la suite ( à prendre à la légère) Spoiler(cliquez pour révéler) Puisque Shado à tuer le seul couple gay présenté, il doit le remplacer, et je trouve que Sassaki ferait un parfait partenaire, non vraiment ! Leur alchimie, ce respect mutuel dans l'art du combat, cette rivalité dans l'honneur ! UN COMBAT QUI FINIT PAR UN BISOU, UN CALIN MUY CALIENTE.... hum pardon je m'égare. Ce n'est qu'une suggestion mais vous feriez une lectrice très heureuse.

Tout ça pour dire, que c'est pas un coup de cœur, mais c'est un livre qui annonce une saga prometteur. Si je n'étais pas sure de vouloir lire la suite dans les 100 premières pages, les 100 dernières m'ont convaincue de lui laisser une chance.

Aussi, il y a un chapitre post-crédit, et ça c'est génial.

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Editeurs

Denoël : 2 livres

La Volte : 2 livres

Gallimard : 1 livre

Folio : 1 livre

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Dystopia : 1 livre

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