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Je ne peux pas en dire plus.
Lisez-le.
Ce que le jour doit à la nuit
La plume est accessible tout en étant soignée, les profils sont superbement travaillés, et l'histoire, qui s'étire sur plusieurs décennies, est fantastiquement bien menée.
En plus d'être immersif, le roman est instructif sur une multitude de plans, notamment sur la période de la guerre d'Algérie et ses répercussions sur les rapports entre les algériens de souche et les colons, et par ricochet sur leurs descendants, les "pieds-noirs".
Entre bouleversements divers, conflits, amitié profonde, amour et autres drames, Yasmina Khadra nous offre un récit abouti et tout simplement passionnant.
Ce que le jour doit à la nuit
Ce que le jour doit à la nuit
C'est ma deuxième rencontre avec cet écrivain et cette fois encore, je me suis laissé séduire par l'écriture et la puissance d'évocation de cette plume.
Il ne s'agit pas d'une fulgurance de scénario ou d'une élégance littéraire supérieure. Ce qui, je crois, m'a touché tient davantage à la sincérité du propos, à l'épaisseur des personnages, à la simple vérité d'une histoire d'hommes et de femmes confrontées à leur humanité, sur fond de fin d'Algérie Française. de mémoire, il m'a semblé retrouver cette ambiance si particulière que décrivait Camus dans La peste.
L'espace de quelques heures, ce récit à la première personne, m'a fait entendre les cigales, m'a fait sentir la chaude caresse du soleil sur ma peau, m'a fait frissonner des tourments d'une déchirure.
A l'heure des lectures estivales, c'est un livre de poche facile à glisser dans un sac.
Ce que le jour doit à la nuit
Ce que le jour doit à la nuit
Ce que le jour doit à la nuit
Ce que le jour doit à la nuit
Pour l'amour d'Elena
Ici, il n'y a qu'un personnage principal, Amine, qui est lui-même le narrateur, ce qui m'a permis de m'investir totalement dans son récit. J'ai "accroché" dès les premières lignes.
À la suite d'un attentat qui va tout chambouler dans sa vie, Amine cherche des réponses et nous emmène malgré lui vers un chemin tortueux en plein cœur du conflit israélo-palestinien.
C'est un roman court, mais intense. Là encore, l'auteur a su dépeindre les émotions d'Amine avec justesse, son sentiment de trahison, ses désillusions, son incompréhension. Il décrit également le contexte historique de manière très réaliste et efficace. J'avais beaucoup apprécié la plume de Yasmina Khadra dans "Les hirondelles de Kaboul", je l'ai reconnue ici, toujours aussi subtile, forte, percutante, faisant preuve de justesse et de réalisme.
Malgré toute l'horreur des événements , ce roman transpire l'humanité et la vie. J'ai beaucoup aimé.
L'Attentat
Les personnages sont un peu toujours les mêmes, et c’est mon plus grand regret, j’ai l’impression de toujours lire les mêmes, et à force ils manquent de consistance. L’intrigue qui parle d’un peu tout et rien à d’abord pour sujet, selon moi, cet Olympe où une communauté de marginaux se regroupent pour vivre plus ou moins en harmonie loin des regards, c’est souvent chaotique mais un lien fort les unis.
J’ai trouvé qu’on manquait de recul sur beaucoup de personnages, et l’intrigue tient surtout des liens entre eux, je suis donc passé à côté de ce roman. Si c’est un bon livre pour découvrir l’auteur, il est beaucoup moins intéressant quand on le connait déjà, le sujet trop vague entre les liens humains, il l’a mieux abordé dans sa trilogie consacrée au conflit entre Orient et Occident (Les hirondelles de Kaboul, Attentat, et Les sirènes de Bagdad), livres que je recommande car plus profond tout en gardant une certaine légèreté troublante.
Sans détester je n’ai pas apprécié, un sentiment de déjà lu s’est vite emparé de moi et je sais que l’auteur à déjà fait mieux, toutefois si c’est votre première lecture de Yasmina Khadra, il pourra vous convaincre d’en lire plus de cet auteur.
L'Olympe des infortunes
Pour l'amour d'Elena
L'Attentat
Des mots par la fenêtre
Entre une élève qui décroche scolairement durant le confinement, la vie pendant le confinement d'une célibataire, les leçons de moral sur l'éducation des enfants (car les parents devraient mettre à profit le confinement et blah blah blah), les nouvelles sur le voyage alors qu'on ne peut plus vraiment partir et que je trouve donc à contre-pied, et celles qui parlent des morts de la peste ou de la grippe espagnole... JOIE.
Bref, il n'est pas spécialement mauvais, et si c'était à faire je le rachèterai pour supporter les hôpitaux, mais je crois que le moment était juste mal choisi pour le lire, car remuant le couteau dans la plaie encore un peu plus.
Des mots par la fenêtre
Pour ma part je trouve qu il y a des moments un peu long mais la fin est vraiment poignante. En plus l'écriture est toujours excellente.
Les anges meurent de nos blessures