En conclusion, c’est un roman sympa qui a l’avantage de se lire vite. Le cadre offert par la forêt enneigée, à la fois oppressant et poétique est manié avec précision, sans redondances. De même, la couleur locale, représenté fidèlement avec le mélange de l’Ancien et du Nouveau Monde, possède une cohérence propre, autre qu’historique.

Pour ceux qui écrivent un roman à plusieurs voix, voici un très bon exemple à ne pas reproduire, même s’il part avec de bonnes idées. Je suis sorti de cette lecture frustrée, avec un relent de bâclé pour les personnages et d’inachevé pour l’intrigue autour de la Dame. En terme d’analyse, hélas pas grand-chose non plus à se mettre sous la dent.

Je ne tire aucun plaisir à le descendre, mais il faut bien avouer que sans l’accumulation de ces points négatifs, il aurait sans doute été une très bonne œuvre.

Chronique complète :
https://biblideleona.wordpress.com/2017/10/09/bit-lit-notre-dame-des-loups-par-adrien-tomas/

Ambiance Western, mêlant paysage enneigé nord américain et mythe du loup-garou façon Wendigo.

Je dois avouer que je suis restée assez mitigée après ma lecture. Il y a du bien, mais surtout du moins bien. Car ce qui domine le plus est sans doute une grande frustration. Certes, j'ai beaucoup apprécié l'ambiance, l'univers et l'idée directrice de l'histoire. Mais pour ce qui est du reste, je ne peux cacher ma déception.

Un rythme soutenu il faut le dire, où chaque chapitre est du point de vue d'un des huit personnages. On suit l'histoire à travers eux, avec leurs propos et leur réflexions personnelles. Un chapitre, un personnage, une parole, une seule fois. Une bonne idée de prime abord. Pourtant, ce choix n'aident pas à s'immerger dans leur mésaventure. On n'a pas le temps de les connaître et de s'attacher à eux (si je puis dire). D'autant qu'ils sont très clichés...
La narration va trop vite en besogne quand on souhaiterai prendre le temps d'en savoir davantage. C'est trop court et très prévisible. Cela aurait mérité d'être plus développé, plus conséquent, plus long. Quant à la fin, que dire ?... Elle est carrément expédiée, si ce n'est presque bâclée. Blasant. L'auteur nous tient en halène sur ce face à face avec la sacralisée Dame des Loups durant tout le roman pour finalement nous accordé un épilogue extrêmement bref et sans saveur. Une impression d'inachevé. Le dénouement et le destin des personnages laisseraient presque de marbre...
Dommage, car d'une vue d'ensemble, le potentiel est là. Il n'a tout simplement pas été exploité à sa juste valeur. Et en fin de compte, un roman vite lu et tout aussi vite oublié.

Il fut un temps, j’aimais bien lire un western par moments, mais je crois bien que la lecture de celui-ci à la sauce « werwolf », et donc fantastique, m’a fait passer l’envie de recommencer.
L’idée de déplacer le mythe du loup-garou « Gévaudanais » d’Europe au Far West enneigé du nord juste après la guerre de Sécession était intéressant, mais...
Bien que très rythmé, l’intrigue aussi répétitive qu’un Winchester Henry à seize coups et des personnages clichés (*) aussi sympathiques que des bouses qui ne font que passer et trépasser, m’ont obligée à me faire violence... pour terminer ce petit roman de série B. (Il manquait la bande-son qui se serait de toute façon limitée à des « pan-pan-pan », des hurlements bestiaux et des expirations humaines).
Vite lu et probablement tout aussi vite oublié.

(*) = Un ex-reporter de guerre imbu de lui-même, une espèce de « Van Helsing » allemand, une ancienne esclave haïtienne investie par un esprit Loas, un cow-boy playboy tirant sur sa braguette plus vite que son ombre, un maître de chasse teigneux, un vieux croûton re-mouleur de plombs argentés et une indienne absolument « nawak »... contre des lupus-gargarus en meutes, trop nombreuses pour leur prêter crédibilité.

Durant toute la longueur de ma lecture je fus tiraillé entre différents sentiments. Certains passages sont vraiment bons voire brillants quand d'autres sont à la limite de l'amateurisme. De manière plus synthétique et sans spoil voici les points positifs et négatifs selon moi.

Au rayon des points positifs :
Une ambiance Western hivernale assez folle, un monde plein de potentiel, un rythme très soutenu.

Pour ce qui est du négatif :
Un final extrêmement décevant et tiré par les cheveux, des incohérences au niveau de la narration, le format très court castre l'univers qui aurait gagné a pouvoir s'étaler sur un ouvrage plus conséquent, une pluralité de points de vue à la première personne du singulier qui déservent le propos et l'engagement du lecteur.

L'ouvrage aurait vraiment gagné à pouvoir s'étaler plus longuement, developer son univers, ses personnages mais le réel problème du roman est son final expéditif et capilotracté. En somme, un énorme potentiel qui finit en demi-teinte. Malgré tout j'ai pris plaisir avec cette lecture.

J'ai du passer à côté, car j'attends toujours une fin avec un vrai dénouement. C'est pas clair, et l'histoire est vue et revue

Décevant sur les dernières pages

Je n'ai vraiment pas accroché avec les illustrations. Et comme je connais déjà par coeur, par les livres et la série, l'histoire...bah du coup je me suis ennuyée ferme !

Certaines expressions pour les visages sont caricaturales...Et j'ai été troublée -dérangée- par le fait que l'adaptation des physiques soient pour certaines la représentation des acteurs de la série et d'autres non. J'aurais préféré trouvé au choix:
- exactement le même type de physique pour tous les personnages
- ou alors une interprétation libre mais dans ces cas là pour TOUS les protagonistes.

Je ne lirais pas la suite.

Une bonne adaptation du roman du Trône de fer, mais je suis assez mitigée quant aux graphismes...

J adore cet auteur et pourtant cette fois je n ai pas apprécié.

La trilogie Hunger Games est en première position dans ma liste diamant et j'aurais aimé pouvoir y ajouter cette préquelle, mais j'ai été relativement déçu. On y retrouve bien la plume de Collins, très agréable à lire, ainsi que ses thèmes de prédilection dans la saga originelle.
Néanmoins, je n'ai pas été emporté par le scénario comme j'avais pu l'être dans les autres tomes, pour plusieurs raisons. La principale étant que le personnage central est évidemment antipathique et ne connaît pas vraiment d'évolution au cours de l'histoire.

Spoiler(cliquez pour révéler)

On le découvre isolé, seul avec son ambition, et on le quitte isolé, seul avec son ambition. Il s'est simplement rapproché de la Dr Gaul et de son point de vue sur la cruauté humaine, et s’est sorti de la "pauvreté". Ok. Et sinon ? Il n'appréciait pas Sejanus, s'est légèrement rapproché de lui en début de partie 3, pour s'en éloigner (définitivement). Il s'est rapproché de Lucy Gray, l'a considérée comme sienne (alors qu'en soit, ils se sont très peu côtoyés, d'ailleurs) et s'en est éloigné. D'accord, bon... Il avait d'entrée de jeu été décrit comme manquant de sentiments, ayant des problèmes avec l'amitié et l'amour, l'issue de ses relations n'a donc rien apporté à son caractère et prouve juste qu'il n'a pas évolué. [/spoiler] Tout ce qui arrive à Coriolanus est une succession et une accumulation d'évènements qui n'apportent pas grand chose et sont pour certains incongrus, improbables, j'ai même envie de dire "forcés". [spoiler]Tigris est sa cousine. Il vit à l'étage de l'immeuble qui comme par hasard va devenir celui de Katniss dans le centre des tributs. Il se trouve être de la seule et unique génération d'étudiants impliquée dans les Jeux et c'est lui qui va donner naissance aux Hunger Games à venir (en 10 ans, aucun adulte n'avait pensé à faire des paris, vraiment ? Et d'ailleurs, pourquoi leurs professeurs ne leur ont pas demandé leurs idées pour améliorer les jeux avant que les Hunger Games ne commencent ? Il fallait vraiment attendre J-3 avant le début des jeux pour leur demander leurs idées ? Enfin bon, ils ont été réactifs pour mettre en place les paris, apparemment.). Il découvre d'ailleurs au final que c'est à cause de son père, comme par hasard, que les jeux existent. Il écope de la fille du district 12, qui comme par hasard n'est pas comme les autres et se fait remarquer, et qui semble être à l'origine de la mode vestimentaire future du Capitole. Il est systématiquement impliqué dans tous les évènements invraisemblables qui arrivent avant les jeux, même une explosion de l'arène, imputée aux rebelles (ils n'avaient rien de mieux à faire exploser au Capitole ?), et qui est leur seule action dans la capitale dont on entende parler. Dès qu'il entend parler des geais moqueurs, il les prend en grippe sous prétexte qu'ils ne devraient pas exister (et les mutations génétiques alors ?). Etc.[/spoiler] Et même au-delà de ce qui arrive au personnage principal, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de références/clins d'oeil à la trilogie, ce qui est plutôt lourd et un grand manque de subtilité à mon goût. [spoiler]On retrouve les noms de famille Crane, Heavensbee, Flickerman, Cardew. Ok, c'est peut-être des familles importantes du Capitole, mais quand même. On a les références aux serpents et aux geais moqueurs, à croire qu'il n'y a pas d'autres animaux. Toutes les chansons que Katniss a appris de son père viennent de Lucy Gray et des Covey (ce n'est qu'une théorie mais il est probable que Maude soit même la grand-mère de Katniss). Etc. Le point de vue à la troisième personne a sûrement également joué. Bref, ce livre me donne l’impression que Suzanne Collins a voulu faire du fan-service en créant une multitude de liens entre Snow et Katniss, ce que je ne trouve pas crédible et même dommage. J’aurais préféré qu’elle développe d’autres pistes plutôt que de rester dans un vase clos…

Un bon Peter James, mais qui ne sort pas du lot malheureusement.
L'ambiance creepy et angoissante était là (même pour un cœur bien accroché) ! Je déplore le manque de surprise et d'originalité de la fin !

Je n ai absolument pas apprecie la fin

Très déçue. Livre très prometteur mais au final très prévisible. Une coupable qu'on ne distingue jamais et pourtant elle est là. Décevant et aucune surprise.
Je ne le conseille pas du tout.

on se doute malheureusement de la fin... meme si tout le long on a été en haleine

Une fois n’est pas coutume j’avais envie de changer un peu de style et me tourner vers le fantastique/maison hantée pour un peu voir si je n’adhère vraiment pas ou …
Bon ba je sais que ce n’est pas mon domaine de prédilection du tout  Malgré les bons retours moi j’ai lu ce livre (qui se lit très bien) mais sans sensations de « peur » ou d’angoisses.
J’attendais plus de suspens en fait … Et les personnages ne m’ont pas embarqués dans leur peur. Je lis tellement de thriller plus glauques que celui-ci m’a paru peut être un peu « fade ». La fin de plus est prévisible, l’ambiance anxiogène n’est pas vraiment là … vraiment non peu d’engouement pour cette histoire de fantômes.
Une famille achète un Manoir sans connaitre tous les drames qui se sont passés ici ultérieurement et plus les jours passent, plus des choses suspectes se passent ; des ombres défilent, des plafonds s’effondrent mais malgré tout Ollie, Caroline et jade souhaitent la rénover et y rester.
Bref pour moi donc malgré un bon moment de lecture ce livre ne restera pas longtemps en tête et du coup je me demande si je vais réitérer dans ce style …

Bon, il faut que vous sachiez qu'à la base, j'adore les histoires de maisons hantées et de fantômes en général. Du coup quand je suis tombée sur ce roman et plus particulièrement, sur la couverture qui me donnait déjà des frissons rien qu'en la regardant, je me suis dit "whao, ça s'est une histoire que je dois absolument lire".
Et puis je l'ai lu et là j'ai juste envie de crier "quoi tout ça pour ça ?!!"
Pourquoi ? Parce que déjà, j'ai dû supporter le style de l'auteur qui n'est déjà pas terrible, terrible, mais en plus la fin est mauvaise de chez mauvaise.
On a l'impression que l'auteur est arrivé à court d'imagination et qu'il ne savait pas comment conclure son histoire, du coup il a simplement abandonné et écrit quelques lignes vite fait bien fait.
Gros n'importe quoi. Je n'arrive pas à y croire.

Plutôt déçu par le dénouement auquel on s'attend. Il n y paq vraiment de suspens quant à l histoire de la maison. Le résumé m avait attiré je suis déçue, c est plat, l histoire ne décolle àaucun moment.

Une bonne lecture même si je l'ai trouvé longue à lire. J'ai cru que j'arriverai jamais au bout, c'est peut être dû au style de l'auteur. En effet , les dialogues sont intégrés à l'intérieur du texte et cela m'a beaucoup dérangé.
Sinon, l'histoire est très prenante surtout quand Grace raconte son histoire.
J'avoue que la fin m'a énormément frustré car c'est à nous de nous faire notre propre opinion sur Grace.

Une très belle histoire sur le premier Noël, que mon fils et moi avons pris plaisir à découvrir ensemble.

Très deçu par ce premier volume, je n'ai pas accroché aux dessins, je préfère largement le roman ou la serie.
Je tenterais peut etre la suite mais sans conviction.

Étant une grande fan de "Games of Thrones", je lis ou regarde tout ce qui s'en rapproche. C'est comme ça que je me suis laissé tenter par cette BD. Cependant je trouve que l'adaptation en dessin perd un peu de la complexité de l'histoire.

Fidèle à la série TV et même si j’ai trouvé les dessins un peu « grossier », ils respectent bien l’univers de l’auteur des livres.